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Lettre ouverte à tous les enseignants et leurs Syndicats, et à tous les parents d'élèves,

Vous trouverez en bas de page le suivi des éventuelles réactions à l'envoi de ce courrier pour les premiers en date du 02 novembre 2020

Suivi Envoi Réponses Parents d'Elèves et Suivi des Syndicats d'enseignants

Les mesures gouvernementales "pour lutter contre" un virus grippal nommé SARS-Cov2, alias Covid-19, apparaissent de plus en plus totalement disproportionnées et injustifiables, par rapport aux risques sanitaires réels encourus.

L'augmentation des hospitalisations en cette saison est un phénomène naturel qui a lieu TOUS LES ANS. En automne, puis en hiver et jusqu’à la fin du printemps, on est plus souvent malade, et donc forcément le nombre d'hospitalisations, puis de réanimations et de décès augmente aussi. C'est immuable, et rien ni personne n'y pourra rien. Même pas le gouvernement de Monsieur Macron et son Conseil Scientifique qui déclarent la guerre à un virus.

En ce qui concerne les décès, il est à relever que la moyenne d'âge en France des personnes déclarées décédées avec le Covid (mais pas forcément du Covid) est largement supérieure à 80 ans. Et ces personnes présentaient dans l'immense majorité des comorbidités multiples. Comme pour toutes les maladies, des plus jeunes peuvent aussi être touchés plus ou moins gravement, c'est aussi inévitable, qu'on le veuille ou non, hélas. A noter que dans tous les départements français la mortalité globale (toutes causes confondues, donc y compris Covid en 2020) est toujours inférieure ou égale à celle des années précédentes, et ce, depuis fin avril 2020 jusqu'à fin octobre inclus. Pourquoi donc persister à maltraiter nos enfants et toute la population ?

Il est à noter aussi que si la courbe de décès cette année venait à dépasser celle des années précédentes, il faudrait aussi considérer le phénomène bien connu et documenté par les biologistes et les virologues, des anticorps facilitants (ADE) phénomène pouvant être provoqué, entre autres, par la vaccination contre la grippe saisonnière, qui cette année est particulièrement suivie (beaucoup de pharmacies en rupture de stock !). Ce phénomène pourrait faire en sorte que les personnes vaccinées contre la grippe saisonnière développent d'avantage des formes graves de Covid.

Le port du masque, d'abord jugé inutile dans la population générale, lorsque le stock disponible au plus fort de la première vague était insuffisant pour le personnel soignant, est petit à petit devenu de plus en plus obligatoire, au fur et à mesure des approvisionnements. D'abord distribués gratuitement dans certains cas, ils sont devenus maintenant, hors quelques rares exceptions, payants. Ce qui grève d'autant un budget de plus en plus restreint pour les parents de plusieurs enfants, d'autant plus pour ceux qui sont au chômage, complet ou partiel, voire sans ressources.

Pour l'aspect sanitaire du port du masque, il est à noter qu'aucun d'entre eux n'est homologué explicitement pour stopper des virus, quels qu'ils soient. Dans toutes les homologations on ne parle toujours que de "particules". Ce fait est d'ailleurs signalé sur les emballages par les fabricants de masques eux-mêmes ! Les masques chirurgicaux, les plus usités, sont faits pour être utilisés en milieu opératoire. Mais en aucun cas en milieu ouvert, par la population générale, et encore moins les enfants de 6 ans comme imposé aujourd'hui.

Même s'ils peuvent dans certains cas freiner la projection directe de postillons entre interlocuteurs, ils présentent finalement plus d'inconvénients graves que d'avantages supposés. Des enfants assis sur leur banc de classe côte à côte seraient plus contagieux que les même assis à la cantine en train de manger, forcément sans masque ?

En effet, et contrairement aux dénégations gouvernementales, le masque freine le débit d'air (dans les deux sens). La preuve, observez le masque lorsque quelqu'un parle, il est alternativement "aspiré" puis "repoussé". Or, pour pouvoir respirer correctement un certain débit dans les deux sens est indispensable. Si ce débit n'est plus assuré pendant des heures de temps d'affilée, autant à l'inspiration qu'à l'expiration, on diminue son oxygénation sanguine et simultanément, on augmente son taux de Co2 (maux de tête bien connus dans le monde hospitalier en général et opératoire en particulier). En plus, avec l'humidité générée par la condensation, on va créer une vraie culture de bactéries et de champignons de toutes sortes, qui ne manqueront pas à la longue de créer de graves problèmes d'infections bactériennes et fongiques. D'autant que le port du masque est obligatoire pendant plusieurs heures d'affilée et régulièrement, tous les jours. A ce niveau, il est d'ailleurs admis officiellement que la "respirabilité" des masques dits FFP diminue avec leur niveau de "protection". Les FFP3 par exemple ne sont réservés qu'à des utilisations tout à fait spécifiques.

Imposer cela à des enfants d'abord à partir de 11 ans et maintenant à partir de 6 ans, est non seulement un absolu non-sens sanitaire, mais représente de plus une vraie TORTURE autant physique que psychique. Et relève à ce titre de la maltraitance infantile, donc punissable juridiquement ! C'est totalement INACCEPTABLE ! Et ne rien faire contre, c'est en être complice !

Comment imaginer les dégâts dans l'esprit de nos jeunes enfants, de la perception qu'ils auront du monde qui les entoure ? Ses propres parents, les instituteurs, tout le monde, masqués "pour se protéger et protéger les autres" leur dit-on, alors que nous voyons que cela ne sert strictement à rien, bien au contraire est contre-productif.  La meilleure preuve c'est "l'explosion" du nombre de cas de contamination, avancée par ceux-là même qui veulent nous imposer le port du masque généralisé. Comment se fait-il donc qu'en étant masqués continuellement et partout, la contamination s'étend de plus en plus fort et vite ? Ne serait-ce pas finalement le port généralisé de ce masque qui favorise aussi cette "explosion" de cas ? Tout comme en premier lieu les tests RT-PCR qui sont calibrés en France avec un coefficient d'amplification (CT) de 40 à 45, qui ne détecte que des fragments d'ADN de virus MORTS, donc non-contagieux. La preuve : la courbe de décès devrait rester proportionnelle dans son ascension à celle des (fausses) contaminations. Ce n'est pas le cas. Voir la réalité des tests RT-PCR ici.

Comment se fait-il que dans des pays où le port du masque n'est pas obligatoire ni généralisé, la mortalité globale ne soit pas supérieure à celle des pays les plus stricts ?

Nous sommes donc obligés d'admettre que nos autorités sanitaires font fausse route. Et qu'il est de notre devoir de parents et d'enseignants de refuser de se soumettre à des diktats qui n'ont aucune justification sanitaire, AUCUNE ! Il n'y a donc aucune raison de les accepter passivement. Notre devoir d'Humains et de parents est de le refuser. Catégoriquement !

Et pour cela, il n'y a qu'une solution, chacune et chacun d'entre nous doit se responsabiliser, penser à l'avenir de nos enfants, les protéger réellement, avec des mesures d'hygiène sensées, mais faire bloc, tous ensemble, contre ces mesures totalement inappropriées, et qui n'ont aucune justification sanitaire.

Pour le Collectif Fédérateur :

Pierre Legras, Joël Bavagnoli, Daniel Buob

Aups, Le 2 novembre 2020

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