Covid, traitements et masques

Mise à jour de l'article le 21 octobre 2020

La Doctoresse Margarite GRIESZ-BRISSON MD, PhD est une neurologue consultante et neurophysiologiste titulaire d'un doctorat en pharmacologie, spécialisée en neuro-toxicologie, médecine environnementale, neuro-régénération et neuroplasticité.

Voici son opinion sur les masques faciaux et leurs effets sur le cerveau :

"La ré-inhalation de notre air expiré créera sans aucun doute une carence en oxygène et un excès de dioxyde de carbone. Nous savons que le cerveau humain est très sensible à la privation d'oxygène. Il y a des cellules nerveuses par exemple dans l'hippocampe qui ne peuvent pas être plus de TROIS minutes sans oxygène, elles ne peuvent pas survivre.

Les symptômes d'avertissement aigus sont les maux de tête, la somnolence, des étourdissements, des problèmes de concentration, un ralentissement du temps de réaction du système cognitif.

Cependant lorsque vous avez une privation chronique (régulière) d'oxygène, tous ces symptômes disparaissent, parce que vous vous habituez, mais votre efficacité restera altérée et la sous-alimentation en oxygène continuera à progresser.

Nous savons que les maladies neurodégénératives mettent des années, voire des décennies à se développer. Si aujourd'hui vous oubliez votre numéro de téléphone, le déclin de votre cerveau aurait déjà commencé il y a 20 ou 30 ans.

Alors que vous pensez que vous vous êtes habitué à porter votre masque et à respirer votre propre air expiré, les processus dégénératifs de votre cerveau s'amplifient à mesure que votre privation d'oxygène se poursuit.

Le deuxième problème est que les cellules nerveuses de votre cerveau sont incapables de se diviser normalement. Ainsi, au cas où nos gouvernements permettraient généreusement de se débarrasser de nos masques et de recommencer à respirer librement l'oxygène dans quelques mois, les cellules nerveuses perdues ne seront plus régénérées. Ce qui est parti est parti.

Je ne porte pas de masque, j'ai besoin de mon cerveau pour réfléchir. Je veux avoir la tête claire lorsque je traite avec mes patients et ne pas être sous anesthésie induite pas le dioxyde de carbone.

Il n'y a pas d'exemption médicale infondée des masques faciaux car la privation d'oxygène est dangereuse pour chaque cerveau. Ce soit être la libre décision de chaque être humain s'il veut porter un masque qui est absolument inefficace pour se protéger d'un virus.

Pour les enfants et les adolescents, les masques sont un non-sens absolu. Les enfants et les adolescents ont un système immunitaire extrêmement actif et adaptatif et ils ont besoin d'une interaction constante avec le microbiome de la Terre. Leur cerveau est aussi incroyablement actif, car il a tant à apprendre. Leur cerveau a soif d'oxygène. Chez les enfants et adolescents chaque organe est métaboliquement actif.

Priver un cerveau d'enfant ou d'adolescent d'oxygène, ou le restreindre de quelque manière que ce soit, n'est pas seulement dangereux pour leur santé, c'est absolument criminel. Une carence en oxygène inhibe le développement du cerveau et les dommages qui en résultent NE PEUVENT PAS ETRE INVERSÉS.

L'enfant a besoin du cerveau pour apprendre, et le cerveau a besoin d'oxygène pour fonctionner. Il n'y a pas besoin d'étude clinique pour confirmer cela. C'est une physiologie simple et incontestable. Une carence en oxygène induite consciemment et intentionnellement est un danger pour la santé absolument délibéré et une contre-indication médicale absolue.

Une contre-indication médicale absolue en médecine signifie que ce médicament, cette thérapie, cette méthode ou cette mesure ne doit en aucun cas être utilisée. Pour contraindre une population entière à utiliser par la force une contre-indication médicale absolue, il doit y avoir des raisons précises et sérieuses à cela, et les raisons doivent être présentées à des organismes interdisciplinaires et INDEPENDANTS compétents, pour être vérifiées et autorisées.

Quand, dans dix ans, la démence va augmenter de façon exponentielle et que les jeunes générations ne pourront pas atteindre leur plein potentiel, cela n'aidera pas à dire "nous n'avions pas besoin de masques".

Comment un vétérinaire, un distributeur de logiciels, un homme d'affaires, un constructeur de voitures électriques et un physicien peuvent-ils se prononcer sur des questions concernant la santé de l'ensemble de la population ? S'il vous plaît, chers collègues, nous devons nous réveiller.

Je sais à quel point la privation d'oxygène est dommageable pour le cerveau, les cardiologues savent à quel point elle est dommageable pour le cœur, les pneumologues savent à quel point elle est dommageable pour les poumons. La privation d'oxygène endommage chaque organe.

Où sont nos services de santé, notre assurance maladie, nos associations médicales ? Il aurait été de leur devoir de s'opposer à véhémence au verrouillage et de l'arrêter dès le début.

Pourquoi les commissions médicales imposent-elles des sanctions aux médecins qui accordent des exemptions aux gens ? La personne ou le médecin doit-il sérieusement prouver que la privation d'oxygène nuit aux gens ? Quel type de médecine nos médecins et associations médicales représentent-ils ?

Qui est responsable de ce crime ? Ceux qui veulent l'appliquer ? Ceux qui laissent faire et jouent le jeu, ou ceux qui ne l'empêchent pas ?

Il ne s'agit pas de masques, ni de virus, ni de santé. C'est bien plus encore. Je ne participe pas. Je n'ai pas peur.

Vous pouvez le remarquer, ils prennent déjà notre air pour respirer. L'impératif actuel est la responsabilité personnelle. Nous sommes responsables de ce que nous pensons, ce ne sont pas les médias qui doivent nous le "souffler". Nous sommes responsables de ce que nous faisons, pas nos supérieurs. Nous sommes responsables de notre santé, pas l'Organisation Mondiale de la Santé. Nous sommes responsables de ce qui se passe dans notre pays, pas du gouvernement".

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30 septembre 2020

Qu'est-ce que le COVID-19 aussi appelé Sars-Cov 2 ?

https://www.inserm.fr/information-en-sante/c-est-quoi/c-est-quoi-coronavirus

Pour les biologistes, ce virus fait partie de la famille des Coronavirus d'origine animale et qui auraient sauté la barrière des espèces. Ainsi au tout début de l'épidémie on supposait que des chauves-souris (qui nichent quand même à … plus de 800 kms de Wuhan), auraient réussi à contaminer un ou des pangolins, qu'un chinois aurait mangé, et se serait à son tour retrouvé contaminé (petit sourire, jaune, on cherche toujours qui a mangé le chinois contaminé !).

Plus sérieusement, celui, ou plus exactement celle  par qui la contamination mondiale aurait débuté (le ci-devant accusé patient zéro) serait une chinoise fréquentant le marché aux animaux vivants de Wuhan. Et elle aurait été détectée dans les tous derniers jours de l'année 2019. Mais, car il y a un mais, il se trouve que petit à petit d'autres patients présentant les mêmes symptômes ont été identifiés avant elle, et de plus en plus tôt, en Chine, où l'on est remonté dans un deuxième temps jusqu'à la mi-octobre 2019, et là où ça devient de plus en plus bizarre aussi …. En EUROPE !

En effet, en France,  certains praticiens hospitaliers se souviennent de cas "inexpliqués" comme à l'époque en Alsace :

https://www.fondation-diaconat.fr/images/Presse/2020/CP-HAS-Imagerie-mdicale-7-mai-2020.pdf

Le Docteur Michel Schmitt de l'Hôpital Albert Schweizer à Colmar (Haut-Rhin) a effectué une étude rétrospective et est remonté ainsi au 1er novembre 2019. Le 16 novembre, un premier cas est apparu sur les imageries pulmonaires effectuées. Ce qui prouverait que ce virus circulait déjà en France, depuis AU MOINS début novembre, sinon avant (il serait intéressant de remonter le temps encore un peu plus). Ce qui pulvérise complètement la thèse du marché de Wuhan et aussi celle que le rassemblement évangélique de Mulhouse en FEVRIER 2020 soit l'origine de l'épidémie française. Tout au plus un éventuel détonateur sur un terrain déjà très fortement miné….

Dans le nord de l'Italie, le virus aurait été détecté depuis début décembre 2019, soit environ deux mois avant son apparition officielle… 

https://www.letemps.ch/sciences/nord-litalie-coronavirus-etait-present-eaux-usees-decembre-2019

En octobre 2019 avaient aussi lieu en Chine, et très exactement à Wuhan, les jeux olympiques militaires. Plusieurs athlètes auraient eu des symptômes identiques au Covid.

https://www.liberation.fr/sports/2020/05/07/coronavirus-interrogations-sur-les-jeux-militaires-de-wuhan_1787662

Nous ne savons donc strictement rien à ce jour sur l'origine réelle de ce virus qui peut avoir en fait trois origines possibles :

  • Origine naturelle de contamination plus ou moins proche de la thèse officielle, avec le "saut" de la barrière des espèces entre l'animal et l'Homme.
  • Origine toujours naturelle, mais cette fois le virus naturel, étudié dans divers laboratoires à travers le monde, aurait pu s'échapper d'un laboratoire de haute sécurité (P4) situé tout près du marché de Wuhan. Cette "escapade" pourrait être purement accidentelle (négligence dans les protocoles de sécurité, ou maladresse dans la manipulation, ou essai insuffisamment sécurisé, par exemple). Ce laboratoire P4 a été construit en partenariat avec le laboratoire Pasteur-Meyrieux et il existe toute une saga autour de cette coopération :

https://www.franceculture.fr/sciences/le-laboratoire-p4-de-wuhan-une-histoire-francaise

  • Une dernière thèse, dont nous n'avons à ce jour aucune preuve (pas plus que pour les deux premières au demeurant) serait une origine plus ou moins artificielle, et/ou volontaire et délibérée. Bien que différentes déclarations fracassantes aient été faites par différents chercheurs, y compris des Prix Nobel, nous n'irons pas plus loin sur ce terrain très glissant jusqu'à ce que de nouvelles informations indiscutables ne nous obligeraient à y revenir. Il n'est pas question ici de faire des suppositions, mais de s'en tenir à des faits vérifiables, bien que plusieurs faits parfaitement documentés déjà actuellement, puissent au moins poser de très sérieuses questions. Nous reviendrons ultérieurement sur ces derniers points dès que le cours de évènements nous y obligera.

Il faut en tous cas remarquer plusieurs choses importantes :

  • - Si ce virus est, comme nous le prétendent les biologistes, un cousin du Sras de 2002/2004, dont le génome serait identique à 80% on devrait donc pouvoir s'attendre à un taux de mortalité approchant celui de l'époque. Parti de Chine lui aussi (!) en novembre 2002, environ 8000 personnes auraient été infectées et 774 personnes seraient décédées. Cette épidémie est considérée comme éteinte depuis mai 2004.

https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89pid%C3%A9mie_de_SRAS_de_2002-2004

Si l'on s'en tient aux chiffres avancés, la mortalité serait donc de 774*100/8000 soit 9.675 % donc presque 10 %, mais sur quasi deux ans !! A remarquer que tout comme aujourd'hui le nombre de "cas" réel était probablement infiniment supérieur, ce qui réduirait d'autant ce pourcentage.

Rapportés à la population mondiale, 774 décès en presque deux ans sont purement anecdotiques, si l'on ne perd pas de vue que rien qu'en France, actuellement, il meurt, bon an mal an, un peu plus de 600 000 personnes chaque année dont quelque 8 000 à 15 000 de la grippe saisonnière … et qu'au niveau mondial il y a environ 57 millions de décès par an toutes causes confondues …

https://www.notre-planete.info/actualites/4378-causes-mortalite-monde#:~:text=Chaque%20ann%C3%A9e%2C%20environ%2057%20millions,7%2C6%20milliards%20de%20personnes

Que les maladies respiratoires comme la grippe saisonnière font jusqu'à 650 000 morts par an

https://www.who.int/influenza/surveillance_monitoring/bod/WHO-INFLUENZA-MortalityEstimate_fr.pdf?ua=1

On voit donc que les pourcentages que l'on nous présente doivent être pris avec énormément de précautions, surtout lorsqu'ils sont sortis de leur contexte.

L'ADN de ce virus de 2002-04 appelé aussi SRAS-Cov-1 (qui en fait est un virus à ARN) a été entièrement séquencé (identifié et décrypté). L'ADN (Acide DésoxyriboNucléique) est composé d'une multitude de "briques de bases", les nucléotides, arrangées dans un ordre bien précis, et c'est cet arrangement qui constitue notre génome, notre ADN. Celui du SARS-Cov-1 comporterait ainsi 29 700 nucléotides. https://fr.wikipedia.org/wiki/SARS-CoV

Il faut savoir aussi qu'il existe des coronavirus saisonniers (dits "humains" – hCov – identifiés HCoV 229E, OC43, NL63 et HKU1) qui ne nous posent pas beaucoup plus de problèmes que la grippe saisonnière dont les premiers ont été identifiés depuis les années 1960 (ce qui ne veut pas dire qu'ils ne circulaient pas depuis très longtemps avant). Ces coronavirus humains présentent un mode évolutif qui fait intervenir plusieurs paramètres : la génération de nombreux mutants lors de la réplication, responsable d’une distribution en quasi-espèces de la population virale, la capacité à établir des infections persistantes, la possibilité de délétions importantes, la grande flexibilité du génome due à un fort taux de recombinaisons homologues et hétérologues, la capacité à franchir les barrières d’espèces et à s’adapter au nouvel environnement. Les coronavirus (hors SARS-CoV) sont ubiquitaires et circulent sous forme épidémique. Les différents HCoV co-circulent avec une distribution entre les types qui est variable selon les années et les régions géographiques. Ce sont essentiellement des virus responsables d’infections respiratoires hautes et basses. Le SARS-CoV est, lui, un virus émergent responsable de l’épidémie de pneumopathies atypiques dont le pic a eu lieu entre novembre 2002 et juillet 2003.  Et le SARS-Cov 2 (Covid19) serait donc aussi un nouveau virus émergeant.

Même si le coronavirus actuel pourrait être plus "virulent" que celui de la grippe classique, au moins chez des personnes affaiblies, aucun virus n'a jamais fait l'objet jusqu'ici de cette diabolisation extrême. Même en 2009, notre Roselyne Bachelot nationale n'a pas été plus loin que de faire une commande de 50 millions de vaccins. Donc elle envisageait quand même de vacciner pratiquement toute la population….

https://www.liberation.fr/societe/2010/01/05/grippe-h1n1-bachelot-resilie-la-commande-de-50-millions-de-vaccins_602664

Mais pas de confinement, de distanciation sociale et aucune autre de ces mascarades, et tout ce qui peut être ressenti à juste titre comme des brimades dictatoriales d'une extrême violence et qui nous sont imposées, manu militari, et par le chantage à l'amende actuellement et qui en fait n'ont aucun fondement sanitaire.

Quels sont les traitements  ?

Lorsqu'on parle de traitement du Covid 19, on pense infailliblement à celui que le Professeur Raoult a mis en avant, associant l'Hydroxychloroquine (HCL) et l'Azithromycine.

Le premier nommé (en abrégé HCL), est un très ancien remède utilisé depuis près de 60 ans dans le traitement des fièvre tropicales, comme le paludisme. Ce médicament, comme tous les médicaments, doit être prescrit à bon escient et aux doses adéquates pour éviter au maximum la survenue d'effets secondaires ou indésirables plus ou moins graves. Jusqu'à ce que le Professeur Raoult s'en "empare" pour traiter le Covid, l'HCL n'a jamais fait parler d'elle, des patients la prennent quasi à vie, et curieusement auraient eu moins tendance à développer des symptômes covidiens.

Etant donné son ancienneté, ce médicament ne coûte presque rien, surtout que son prix est adapté aux marchés des pays tropicaux… Et qu'il n'y a plus de royalties de licence à payer. Sa forme la plus courante le Plaquenil ® commercialisé par Sanofi-Aventis coûte actuellement 4.17 €uros. Ce qui est dérisoire.

Dans son protocole, le Professeur Raoult recommande de l'utiliser dès le tout début lors des premiers symptômes qui pourraient être dus au Covid. Selon ses propres dires, il n'a jamais prétendu "sauver" qui que ce soit, mais uniquement faire baisser rapidement la charge virale chez la personne supposée contaminée de façon à éviter la contamination de son entourage.

L'Azithromycine est commercialisée par plusieurs laboratoires au prix de 8.39 € les 6 comprimés. C'est un antibactérien, destiné à éviter les surinfections bactériennes que le Covid pourrait provoquer chez certaines personnes.

Bien entendu, comme les deux molécules peuvent avoir des conséquences cardiaques, il convient de surveiller étroitement ce point lors du traitement.

Bien entendu aussi ce traitement a fait l'objet d'une controverse d'une virulence rare, et qui a défrayé les chroniques, et qui n'est à ce jour pas terminée.

Parmi les reproches faits à Raoult on trouve de tout, et les "mauvaises langues" vont bon train :

Il aurait "pompé" ce traitement chez les chinois, il aurait effectué un essai clinique alors qu'il n'aurait pas demandé le consentement à ses patients, l'HCL ne servirait à rien, avec ou sans Azithromycine, puisque les patients traités dès le début des symptômes guériraient de toute façon.

Du côté de Raoult, toutes les études qui tentent de discréditer son protocole ne l'appliquent pas correctement, en ce sens qu'ils ne respectent pas les doses recommandées par Raoult, et de plus ne le réservent qu'a des cas graves, ce qui est totalement opposé à ce qu'il recommande, à savoir le prescrire dès le tout début des premiers symptômes. On est donc en droit de se demander si l'on ne cherche pas volontairement à "casser" ce traitement qui a l'avantage pour la Sécu d'être bon marché, mais l'inconvénient pour la pharmacie de ne pas lui rapporter grand-chose.

Une vraie guerre de tranchées, où chacun depuis le début reste sur ses positions.

Pour l'instant, plus de 6 mois plus tard, nous n'avons pas avancé d'un iota.

Pour comprendre un peu les dessous de cette guerre, il faut mettre en parallèle le prix du protocole Raoult comparé à celui proposé par Giléad, le Remdévisir. Ce dernier coûte, pour un traitement "standard" de 5 jours la bagatelle de 2 085 € pour 6 flacons. (deux mille et 85 euros !)

https://www.industriepharma.fr/covid-19-gilead-fixe-le-prix-du-remdesivir,111716

Et il y a aussi, en toile de fond, une question de budget de l'IHU (Institut Hospitalier Universitaire) de Marseille qui, selon la cour des comptes passait au rouge au …. Printemps 2020, par suite du retrait de l'accréditation de l'INSERM (Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale) lorsque Yves Lévy, mari de l'ancienne ministre de la Santé Agnès Buzyn, en était président.

Toute cette guéguerre pourrait donc n'être qu'un écran de fumée qui masque une affaire de gros sous. Au détriment (si le protocole Raoult est vraiment efficace) des personnes malades.

Tout le monde aura entendu parler de la fameuse "étude" parue dans un journal médical qui se voudrait "sérieux" et scientifique, qui n'est qu'un tissu d'odieux mensonges destinés à discréditer Raoult.

https://www.lemonde.fr/sciences/article/2020/06/04/hydroxychloroquine-trois-auteurs-de-l-etude-du-lancet-se-retractent_6041803_1650684.html

Tous les opposants au traitement de Raoult font exactement l'inverse de ce qu'il préconise, ils l'administrent uniquement dans les cas graves pour pouvoir constater "que ça ne marche pas", alors que Raoult a toujours dit (et fait) qu'il faut l'administrer dès l'apparition des premiers symptômes.

D'autres traitements plus "exotiques" ont aussi fait parler d'eux, comme l'ARTEMISIA ANNUA, qui a été officialisée à Madagascar par exemple.

L'institut allemand Max Plank a publié un article sur l'ARTEMISIA :

https://www.plantes-et-sante.fr/articles/phytotherapie/3854-lartemisia-annua-efficace-contre-le-covid-19-selon-linstitut-max-planck

Et bien sûr l'INSERM avance sinon à reculons, au moins en crabe, avec un titre destiné à jeter le doute, bien que l'article ne rejette pas les possibles propriétés de la plante dans le cas du Covid.

Mais le "traitement" phare qui motive des investissements énormes est bien entendu le Vaccin. Sauf que, celui-ci sera élaboré dans une précipitation sans précédent, sera aussi pour certaines des versions programmées d'une nature plus que discutable (OGM), etc. Un volet particulier sur les Vaccins est consultable dans ces pages.

Pour l'instant, en automne 2020, il n'y a pas de traitement connu, ou plus précisément reconnu par tous, en tous cas dans les formes graves.

En effet, au tout début de l'épidémie, on considérait que les personnes qui arrivaient en réanimation manquaient d'oxygène, ce qui a fait qu'on les a placées forcément sous oxygénation. On s'est aperçu ensuite, au vu de l'échec trop fréquent de cette stratégie, qu'en fait ce n'était pas un manque d'oxygène dont souffraient ces personnes, mais un manque d'oxygénation du sang, car la partie inférieure des poumons présentaient des coagulations, qui empêchaient l'échange de l'oxygène avec le sang. Pour cela il a fallu faire des autopsies sur les personnes décédées, malgré l'interdiction de l'OMS (pour quelle obscure raison celle avancée étant le risque de contamination ?). Des médecins italiens et allemands ont passé outre, et se sont rendu compte de ce phénomène de coagulation anormal. Ils ont constaté aussi que sur 12 personnes autopsiées, 11 présentaient des pathologies circulatoires préexistantes ce qui donnerait à penser que ces formes graves ne touchent que très majoritairement que des personnes prédisposées à des dysfonctionnements circulatoires. D'autre part, l'ARN viral se trouvait encore dans le sang et divers organes, jusque dans le cerveau, 5 jours après le décès.

https://www.lemonde.fr/blog/realitesbiomedicales/2020/05/11/covid-19-ce-que-les-autopsies-nous-apprennent-sur-les-caillots-sanguins-et-embolies-pulmonaires/

https://www.inserm.fr/actualites-et-evenements/actualites/covid-19-dosage-sanguin-pour-predire-risque-complications-vasculaires

D'autres traitements font face à celui du Pr Raoult, comme le Remdésivir®.

Mais les résultats ne sont en tous cas pas à la hauteur : https://www.revmed.ch/RMS/2020/RMS-N-697/Remdesivir-et-Covid-19-resultats-negatifs-mais-methode-de-recherche-enfin-appropriee

Beaucoup d'incertitudes sont liées à l'efficacité de ce médicament selon la Haute Autorité de Santé :

https://www.has-sante.fr/jcms/p_3201940/fr/evaluation-des-traitements-de-la-covid-19-la-has-publie-son-evaluation-du-remdesivir

http://www.francesoir.fr/societe-sante/l-entreprise-gilead-aurait-elle-dissimule-la%20vraie-toxicite-du-veklury-remdesivir

D'autres outsiders de Raoult sont en lice, mais il y a ce jour toujours un point d'interrogation (sinon plusieurs) derrière leur possible efficacité et leur absence d'effets secondaires

https://www.doctissimo.fr/sante/epidemie/coronavirus-chinois/coronavirus-chinois-covid2019-quels-traitements

Il y aussi le Lopinavir/Ritonavir qui a fait surface pour tenter, il faut le dire, de faire barrage à Raoult

Ce médicament s'est distingué par des atteintes hépatiques graves ce qui le met immédiatement sur la touche. Ce qui ne l'empêche pas de faire partie, sous le nom de KALETRA® de la "panoplie" déployée pour "traiter" le VIH – Virus de l'Immunodéficience Humaine - (Sida), les tristement célèbres tri-thérapies.

Les masques

Depuis le début de cette épidémie, on nous dit selon la théorie pasteurienne, que la contamination, peut POTENTIELLEMENT toucher tout individu en contact rapproché avec un porteur de ce virus, et que le seul moyen efficace de s'en protéger serait bien entendu d'avoir un vaccin (efficace et sans danger).

A défaut de vaccin, on nous a appris à grand renfort de spots télévisuels et d'interventions gouvernementales médiatisées à outrance qu'il faut nous résoudre à maintenir nos distances en toutes circonstances (variable d'ailleurs selon les pays, entre 1 mètre et 2 mètres 50), dans un premier temps surtout en milieu clos, puis très rapidement aussi dans les espaces publics extérieurs. Jusqu'à certains centres-villes, de plus en plus nombreux à imposer le port du masque en continu et tout récemment des Maires et Préfets font manifestement du zèle en voulant obliger le port du masque en toutes circonstances.

Ensuite se laver les mains continuellement, au gel lorsque le savon n'est pas disponible, ne plus se serrer la main pour se saluer et encore moins s'embrasser. C'est ce qu'on appelle la distanciation sociale ou physique.

Jusqu'à ce qu'un "candidat vaccin présentable" fasse surface dans l'une ou l'autre des start-ups qui se sont lancés à fond dans ce créneau ô combien juteux. A noter en passant que les grands laboratoires ont été jusqu'ici, et au-moins depuis 2002-2004, incapables de mettre au point un produit qu'ils puissent baptiser vaccin. Pourtant des start-ups issues du néant prétendent nous en pondre des dizaines en quelques mois… On peut, en l'état au moins, avoir de très gros doutes sur les questions d'efficacité et de sécurité de ces produits. Voir l'article spécifique sur les vaccins.

En attendant donc, nous sommes obligés de porter un masque sensé nous protéger et protéger les autres, notre entourage, notre famille, et tous ceux que nos activités nous font croiser à longueur de journée.

Nous ne reviendrons pas sur les danses en zig-zag des divers ministères et responsables depuis le tout début de l'épidémie qui nous claironnaient fièrement que le masque ne sert à rien pour le grand public (vous et nous), qu'il fallait réserver pour le personnel soignant les quelques-uns d'opérationnels qui restaient du stock de guerre que Roselyne Bachelot s'était constitué en 2009, et que de toutes façons, selon la porte-parole gouvernementale d'alors, l'inénarrable Sibeth Ndiaye, les français moyens étaient comme elles, et ne sauraient pas le mettre correctement. Ses mimiques nous avaient bien fait rire, mais finalement, lorsqu'on regarde aujourd'hui comment la majorité le sort, chiffonné, de la poche révolver de son pantalon, ou de son sac à main, où il côtoie sans problème mouchoir et autres objets improbables, le décroche de son rétroviseur ou de son bras, le pose n'importe où, le tripote recto et verso continuellement, on est bien obligé d'admettre que même s'il pouvait effectivement nous protéger d'un quelconque virus, dans ces conditions, c'est mission impossible. Il faudra donc que nos autorités finissent par admettre que rien ni personne ne peut s'opposer à la propagation d'un virus, quel qu'il soit, et quelle que soit son origine. Mettre les près de 8 milliards d'individus dans une bulle permettra évidemment de ralentir la propagation, mais JAMAIS de la stopper, n'en déplaise au va-t'en guerre Emmanuel Macron qui veux vaincre le virus en lui déclarant la guerre. Vaincre le virus qui fait partie intégrante du vivant, c'est tuer la vie, non ? Et en ralentissant la propagation on n'empêchera pas les plus fragiles de développer des formes graves, voire mortelles.

A l'origine, le masque recommandé pour le personnel hospitalier était une protection dans une salle d'opération, autant du personnel que du patient en cours d'opération pour protéger les uns et les autres des projections de liquides de toutes sortes, y compris sang, postillons, salive, etc. Le protocole très strict pour le revêtir est inapplicable hors des salles d'opérations, qui sont de plus sur pressurisées, pour éviter l'entrée indésirable d'éléments extérieurs. Petit à petit ce masque est sorti des salles d'opérations pour se généraliser dans les services et situations de possible contagion.

 https://www.chudequebec.ca/getmedia/fe2f9c07-e00b-41ce-90f9-a63970713367/NI_06_09_tenue_vest_VF.aspx

La peur de la contamination par le Covid aidant, devant la pénurie des masques, décrétés inutiles, les français ont commencé à les réclamer, tant et si bien que le gouvernement après moult atermoiements en a commandé en masse. Quelques distributions gratuites par ci par là, beaucoup de petites mains qui se sont dévouées pour en confectionner artisanalement avec les moyens du bord, et nous sommes arrivés au stade vers la fin du confinement, où ces masques, pour l'immense majorité importés de Chine, se sont trouvés par millions sur les étals de tous les commerces. A vendre. Puis ils sont devenus obligatoires d'abord en intérieur si les distances physiques ne pouvaient pas être respectées, puis systématiquement dans tous les lieux clos, et de plus en plus dans tous les milieux ouverts, même lorsqu'on se trouve tout seul, au bord d'un étang de pêche…

On assiste ainsi à une progression inexorable vers l'obligation de le porter en tout temps et tous lieux, et ce, pour une période impossible à définir.

Sous prétexte de nous protéger d'un virus (comme si c'était le premier virus que l'humanité croise sur son chemin), on nous oblige donc de masquer la plus grande partie de notre visage, et ce, à partir de 11 ans. Debout il faut mettre le masque, assis à l'école on le garde, mais assis au restaurant on peut l'enlever. Les plus trouillards ont entendu que le virus peut pénétrer par les yeux, et ils mettent en plus du masque une visière. Le stade suivant c'est le scaphandre de cosmonaute.

La grande question que tout un chacun se pose est : le masque protège-t-il vraiment, et si oui dans quelle mesure et dans quels cas ? Et finalement, s'il n'était pas parfait, quelle est la balance bénéfices/risques. Y a-t-il plus d'avantages que d'inconvénients, ou inversement ?

Daniel Buob

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Voici des liens, avec leurs sources sélectionnés par Annelyse et Thomas Riondel, et qui nous démontrent que cette mascarade n'a aucune justification sanitaire :

« L’enfant et l’adolescent (jusqu’à 19 ans) n’ont aucune raison scientifique de porter un masque. »

Source : France soir le 2.09.2020

http://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/les-grands-parents-peuvent-aller-chercher-leurs-petits-enfants-lecole-et-les

ci-dessous quelques extraits :

Les masques courants en papier ou en tissu sont incapables d’arrêter les virus (c’est d’ailleurs spécifié sur leur emballage).

Ils ne sont pas destinés à protéger l’individu qui le porte mais ambitionnent de diminuer le risque de contaminer l’entourage.

Les masques courants, incapables d’empêcher la transmission d’un virus d’un enfant qui ne le transmet pas même sans masque n’a donc aucune justification chez l’enfant. Or il gêne les travaux scolaires, empêche la communication non verbale si précieuse pour apprécier le suivi d’un cours et sa compréhension par les élèves. Il retire une grande partie de leur humanité à ses voisins au moment où se nouent l’essentiel des contacts, des amitiés et des amours adolescentes. »

Sanitairement inutile chez l’enfant, il est scolairement et socialement très toxique

« Tribune : Lors de sa conférence du 26 aout, le premier ministre a déconseillé aux grands parents d’aller chercher leurs petits enfants à l’école. Une telle recommandation parait ignorer les données acquises de la science. Ses conseillers lisent-ils la littérature médicale internationale ? l’informent-ils ?

 Rassurez les grands-parents : ils ne risquent rien à embrasser leurs petits-enfants et ne leur font courir aucun risque (sauf s’ils sont malades). Ils peuvent aller les chercher à l’école en gardant seulement leurs distances des autres adultes surtout si ces derniers toussent.

 Les petits-enfants n’infectent pas leurs grands-parents.

Sur près de 25 millions de contaminations comptabilisés par l’OMS

le 30.08. 2020 et dans plus de 5000 articles étudiant les covid infantiles référencés par PubMed 

aucun cas de contamination de grands-parents par leurs petits-enfants n’a été démontré. 

On peut donc rassurer les ainés : le contact avec les petits-enfants (de moins de 19 ans) ne les expose aucunement à la contamination par le coronavirus. (Propagande avec les publicités mensongères incessantes à la télévision, pour que les enfants portent le masquent et restent à distance de leurs grands-parents)

Les enfants ne transmettent pas la maladie !

Les enfants ne propagent pas le coronavirus, ni à leurs grands-parents, ni aux autres adultes, ni à leurs camarades.

Les articles scientifiques qui mettent en garde contre la possible transmission par les enfants ne s’appuient pas sur des constatations cliniques ou épidémiologiques avérées, mais spéculent sur des considérations purement biologiques et émettent au conditionnel l’hypothèse que « cela pourrait favoriser la contagion ».

Mais les agences de presse, les médias et nos gouvernants s’empressent de transformer le conditionnel en indicatif pour continuer à affoler les populations.

De nombreuses études nationales ont spécifiquement tracé des enfants infectés pour savoir s’ils pouvaient contaminer leurs contacts.

Aucune n’a pu en mettre en évidence un seul cas.

http://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/les-grands-parents-peuvent-aller-chercher-leurs-petits-enfants-lecole-et-les?fbclid=IwAR3akQxe7H46ddvzH8KEYdBzggKyH-OgYsDfX5yGs0R75WTOptOPv0KD1j4#_ftn3%22%3E

Le port obligatoire du masque pour les enfants, c'est de la maltraitance !

http://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/le-port-du-masques-pour-les-enfants-cest-de-la-maltraitance

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 Le gouvernement français a refusé de soigner les gens avec l'HCQ et nos anciens ont même été aidés à disparaître dans l'isolement total en EHPAD avec le Rivotril. Les pays qui ont le moins de morts ont utilisé le protocole de Raoult : HCQ + AZ.

Il le tient d'ailleurs des premiers bons résultats obtenus en Chine au début de la crise.

France Soir a comparé la France et l'Allemagne qui a 5 fois mieux géré la mortalité grâce à l'HCQ.

 "24500 morts de trop en France Perronne francesoir"

Regardez "hcqtrial"  et observez que les pays qui ont utilisé l'HCQ de façon précoce ont 74,9% de morts en moins.

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Dr. Maria VAN KERKHOVE : L’OMS a déclaré le 8 juin 2020 que les individus asymptomatiques ne transmettent pas le COVID !!

Source vidéo : Lien

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Pr. Denis RANCOURT : « Aucune étude ne prouve une quelconque utilité du masque pour prévenir les maladies respiratoires virales, que ce soit en intérieur ou en extérieur. Point final. »

« Le virus se transmet par des particules aérosols et le masque ne peut rien contre cela. » « Il n’y a pas plus de gens qui meurent depuis 1972 de toutes les maladies respiratoires ou toute cause. »

« L’état impose une règle qui n’est pas basée sur la science, le danger c’est qu’on s’habitue à obéir à des règles absurdes de l’autorité pour un futur totalitaire. C’est une hiérarchie de dominance, migrer vers un état totalitaire » 

« Atteinte au souffle de vie, charge virale évacuée lors de l’expiration, en plein air il n’y a pas de stagnation de charge virale »

Regardez une traduction en français de l'étude du Pr Denis Rancourt portant des dizaines d'Essais Contrôlés Randomisés effectués sur des personnes bien réelles du domaine médical, qui sont donc formées à bien utiliser le masque.

Voici 2 liens vers la traduction française de l’étude : Lien  ou  Lien 

Voici le lien vers l’étude originale en anglais : Lien

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Les résultats de 14 Essais Contrôlés Randomisés de ces mesures n'ont pas permis de conclure à un effet substantiel sur la transmission de la grippe (confirmée en laboratoire). De même, nous avons trouvé des preuves limitées de l'efficacité d'une meilleure hygiène et d'un meilleur nettoyage de l'environnement »

Source : Lien

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Cette étude explique « Notre étude systématique a trouvé peu de preuves que l'utilisation de masques puisse réduire le risque d'infections respiratoires virales. Dans le cadre communautaire, nous n'avons trouvé aucune preuve concernant l'utilisation de masques par le grand public en dehors de la maison... »

Source : Lien

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Une petite dernière pour la route ? Elle explique que l’usage du masque dans le milieu médical ou le grand public n’apporte aucune différence en termes de transmission de maladies grippale confirmée en laboratoire.

Source :  Lien   

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Comment expliquer qu'en termes d'incidence COV1D (morts par million d'habitants), la Suède s'en tire mieux sans confinement et sans masques que la Belgique, le Royaume-Uni, l'Espagne, l'Italie, le Brésil et les USA ? 

"COVID-19 : où le taux de mortalité est le plus élevé statista".

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Dr. Steven GUNDRY : Pionnier de la chirurgie cardiaque chez le nourrisson. Le rôle du masque est de bloquer la chute de bactéries dans des plaies ouvertes en bloc opératoire. Il n'a jamais été question de filtrer des virus. Et même en bloc opératoire c'est UN DOGME, une tradition.

Car si le masque a été conçu pour filtrer les bactéries et non pas les virus (bien trop petits), l'abrasion de la peau par le masque génère des fragments (avec bactéries) qui se détachent et tombent quand même dans les plaies. 

https://advitae.net/articles-sante/2.Medecine-et-societe/La-science-demasquee-le-masque-facial-ou-chirurgical-protege-t-il-reellement-contre-les-maladies-infectieuses-respiratoires.905.htm

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Document officiel de l’OMS au sujet du masque : Lien

Il indique les « Effets indésirables/inconvénients potentiels » suivants :

« Les inconvénients probables de l'utilisation du masque par des personnes en bonne santé dans le grand public comprennent :

  • potentiel accru de risque d'auto-contamination en raison de la manipulation d'un masque facial et du contact ultérieur avec les yeux avec des mains contaminées.
  • une auto-contamination potentielle qui peut survenir si les masques non médicaux ne sont pas changés lorsqu'ils sont mouillés ou sales. Cela peut créer des conditions favorables à l'amplification des micro-organismes.
  • maux de tête potentiels et / ou difficultés respiratoires, selon le type de masque utilisé
  • développement potentiel de lésions cutanées du visage, de dermatite irritante ou d'aggravation de l'acné, en cas d'utilisation fréquente pendant de longues heures.
  • difficulté à communiquer clairement.
  • inconfort potentiel.
  • problèmes de gestion des déchets ; élimination incorrecte des masques entraînant une augmentation des déchets dans les lieux publics, risque de contamination des nettoyeurs de rue et danger pour l’environnement.
  • difficulté à communiquer pour les personnes sourdes qui se fient à la lecture labiale.
  • désavantages ou difficulté à les porter, en particulier pour les enfants, les personnes ayant des troubles du développement, les personnes souffrant de maladie mentale, les personnes âgées souffrant de troubles cognitifs, celles souffrant d'asthme ou de problèmes respiratoires ou respiratoires chroniques, celles qui ont subi un traumatisme facial ou une chirurgie buccale maxillo-faciale récente, et ceux qui vivent dans des environnements chauds et humides.
  • ... »

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Autre aspect important de cette mascarade : le budget masques jetables d'une famille avec 2 enfants. A 95 centimes d'euros le masque, il est estimé à plus de 220 euros par mois. Pensez-vous que des gens modestes qui ont perdu leur emploi avec le Covid-19 vont faire passer leurs derniers deniers dans des masques. Bien sûr que non. En revanche, par crainte de l'amende ou par peur du Covid-19, ils vont porter un masque souillé, périmé, dangereux et qu'ils auraient dû jeter depuis longtemps. Et s'il s'agit de masques en tissu, discutez avec les gens et constatez que le lavage de ce dernier n'est pas effectué ou de façon insuffisante.

Bref, un peu à la façon des médicaments dont nous ignorons les effets secondaires indiqués dans la notice sous prétexte de faire confiance à des praticiens désinformés voire achetés, nous portons des masques par pur dogmatisme et cela peut avoir de graves conséquences à long terme. Car on ne peut comparer des chirurgiens qui restent relativement statiques dans l'air aseptisé, conditionné d'un bloc opératoire à des gens qui déambulent activement, parfois à l'extérieur par plus de 30°C. Les effets secondaires des masques sont alors incomparables. 

La plupart du temps, le Covid-19 n'est qu'une infection bénigne, en particulier chez les enfants et les jeunes, même si quelques cas graves ont été recensés au sein de cette population.

Faut-il porter un masque médical ?

L’usage d’un masque médical est recommandé en cas de symptômes respiratoires (toux ou éternuement) pour protéger les autres. Quand on n’a aucun symptôme, il est inutile de porter un masque.

Si l’on porte un masque, il doit être porté et détruit conformément aux recommandations pour s’assurer qu’il soit efficace et éviter d’augmenter les risques de transmettre le virus.

Le seul usage du masque ne suffit pas à arrêter les infections et il faut en outre suivre les précautions exposées ci-dessus.

Lien Unicef :   https://www.unicef.fr/dossier/coronavirus

CHIFFRES COVID ? RIEN D'ALARMANT A SIGNALER !

Regardez le site du gouvernement, cela fait des mois qu'il n'y a rien d'alarmant à signaler (hospitalisations, réanimation et morts) en France.

Voyez "gouvernement.fr info-coronavirus carte-et-donnees" et vérifiez vous-même.

La recrudescence est due aux tests massifs et la sensibilité trop élevée des machines de tests en France (Ct à 40) qui trouvera des fragments de virus pouvant témoigner d'une ancienne contamination, en aucun cas contagieuse.

"Positif" ne veut pas dire malade, et encore moins mort.

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Pr. G. DESUTER : Laryngologue aux cliniques universitaires Saint-Luc (Bruxelles)

« Les enseignants masqués ne tiendront pas ! »

Un médecin laryngologue s’inquiète de la multiplication des pathologies qui découleront du port du masque imposé aux enseignants pendant plusieurs heures.

Une hérésie physiologique :

Dès lors, demander à un enseignant, ou toute autre profession vocale, de porter un masque en permanence est une hérésie physiologique. Non seulement les flux d’air sont ralentis mais le masque constitue une barrière à la propagation de l’onde sonore. Cela rend déjà la voix conversationnelle fastidieuse mais surtout cela rend la voix projetée im-po-ssi-ble ! A quoi le professionnel de la voix s’expose-t-il ? Outre une fatigue professionnelle d’installation quasi immédiate, il sera à haut risque de lésions traumatiques des cordes vocales. En effet, au déficit respiratoire répondra une tentative de compensation – bien illusoire – par un forçage laryngé créant hémorragies, polypes et nodules. Ces lésions rendent dysphonique et parfois même aphonique. La sanction est sans appel : chirurgie suivie d’une longue rééducation logopédique avec convalescence de trois mois. Certains présenteront malgré tout, des séquelles permanentes.

Déjà des premiers cas : En forçant les enseignants à porter le masque en classe, nous nous exposons à un afflux de pathologies vocales dans les mois qui viennent. Les premiers cas frappent déjà à nos portes de laryngologistes.

L’absentéisme massif menace et il n’est pas interdit de penser que la continuité des cours sera impactée.

Pour conclure je dirais qu’imposer le masque aux enseignants durant leurs cours est comparable à l’action de placer un sabot dans un métier à tisser tels qu’y procédaient les ouvriers nordistes au XIXe siècle afin de démarrer une grève. Mesdames, Messieurs les décideurs, sans modifications des règles vous allez casser l’outil… et ce sera du sabotage !

Le 07/09/2020 à 12:32 - source : Lien   

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Pr. PERRONE : Médecin et professeur des universités-praticien hospitalier  français, spécialisé dans le domaine des pathologies tropicales et des maladies infectieuses émergentes, et ancien président de la commission spécialisée Maladies transmissibles du Haut Conseil de la santé publique.

« Les masques ne servent à rien sauf pour les soignants, sauf pour les personnes qui ont des symptômes, pour leur entourage dans certaines circonstances. »

« Même dans les endroits clos, pour moi le masque à l’école c’est un délire total, alors que les gamins ne sont pas malades. Même dans les open space dans les entreprises ont devrait dire aux gens si vous avez des symptômes restez chez vous, appelez votre médecin faites un test, on vous dépiste l’entourage notamment les collègues au travail. Sinon on va le porter pendant des mois jusqu’au vaccin au printemps. » 

Source : Lien  

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Un comité de 200 médecins à lancé un message d’alerte mondial :

MESSAGE D’ALERTE INTERNATIONAL DE PROFESSIONNELS DE SANTÉ AUX GOUVERNEMENTS ET AUX CITOYENS DU MONDE :

STOP  à la terreur, à la folie, à la manipulation, à la dictature, aux mensonges et à la plus grande arnaque sanitaire du 21e siècle.

Le dossier contient 29 pages : Lien    

 Nous invitons les professionnels de santé du MONDE ENTIER à être forts et courageux et à faire leur devoir de dire la vérité, à nous rejoindre MASSIVEMENT dans le collectif : United Health Professionnals et à signer cette lettre en envoyant les 4 informations suivantes : prénom, nom, profession et pays à : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

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Dr. Martine WONNER : Médecin psychiatre et élue députée dans la 4ème circonscription du Bas-Rhin.

Elle rejoint le Pr. Perronne et confirme la « Privation de liberté » : car elle a voté contre la loi titrée : Sortie de l’état d’urgence sanitaire, mais cette loi votée avant l’été permet au gouvernement, à l’exécutif de prendre toutes les décisions qu’ils veulent sans les parlementaires, « c’est la première fois depuis la 5ème république que les parlementaires sénateurs ou députés, n’ont plus leur rôle fondamental à jouer, d’évaluation et de contrôle du gouvernement.

La démocratie aujourd’hui, elle est masquée, bâillonnée et les parlementaires aujourd’hui ne servent à rien. »  6.09.2020 Titre : Wonner - Perronne - Sibilia : Le débat 

Source : Lien   Ce lien Youtube a été suppimé au motif qu'il ne respectait pas les standards de YT. (SIC !)

Par contre, à ce jour il reste celui-ci :

https://www.youtube.com/watch?v=Pv4dcpvLyWY

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Docteurs Belges : Vingt-quatre professionnels de santé belges témoignent.

Collectif de médecins consciencieux, révélant tous la même compréhension, par l’expérience et l’analyse de la littérature scientifique actuelle. Cette compréhension du rôle de la respiration : première clé de la santé du corps physiques et mental.

Site du collectif de soignants belges Transparence Coronavirus : Lien  

Site d'Initiative Citoyenne : Lien  

Chaine Youtube Initiative Citoyenne : Lien

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Dr. Marisa GARCIA ALONSO : est pharmacienne spécialisée en analyse cliniques et directrice d’une pharmacie et d’un laboratoire microbiologique à Madrid. Elle est spécialiste en micro-immunothérapie, en microbiote intestinale et en maladie de Lyme. Marisa Garcia Alonso a décidé de faire des tests microbiologiques sur les masques qu’ils soient en tissu ou chirurgicaux, qu’ils aient été peu ou trop utilisés, mais dans tous les cas, des masques qui avaient été portés par des personnes réelles dans des situations réelles. Le 17.07.2020

Le Masque est dangereusement contaminé selon l’infectiologue espagnole .

Voici le masque et voici la plaque de l’empreinte de ce masque, nous allons voir ce qui a poussé dans laplaque d’Agar au sang. Regardez !  Photo jointe en bas de document, et dans la vidéo ci-dessous.

Source vidéo traduite en français : Lien   

Dr. Marisa : « Il faudrait qu’on les enlève avec des pincettes, puis les déposer dans un sac, de préférence en papier, ou en tissu, pour qu’il puisse absorber la transpiration, car les sacs en plastique favorisent la poussée des champignons. Les masques ont une utilisation limitée et surtout ils se contaminent vite, c’est surtout ça. »

 « Rallonger la vie d’un masque comme si l’on étirait ses élastiques pourrait occasionner de l’acné jusqu’au problème digestif. »

Dr. Marisa : « Plusieurs pathologies dermiques sur le visage, ou des patients qui ont présenté de la sinusite ou beaucoup d’autres avec des herpès sur les lèvres, ou des otites, des maux de gorge par infection. Il y a diverses pathologies si nous favorisons la prolifération des bactéries rhino-buccales. 

Le message de Maria Garcia Alonso est pourtant clair :

« Il existe des personnes dont les bactéries du type streptococcus pneumoniae ne causent pas de maladie. Ces personnes sont des porteurs sains.

Mais si cette bactérie trouve une opportunité pour se développer dans le corps, par exemple dans le cas de la présence ajouté du Covid, la bactérie dans un masque porté en continu peut devenir infectieuse et provoquer une pneumonie. L’utilisation des masques en continu, sans les changer, ni les laver régulièrement peut favoriser la prolifération anormale des bactéries dans notre cavité buccale.

« Je ne suis pas contre le port du masque, ils sont nécessaires dans les hôpitaux, où on utilise des masques spéciaux, ou dans les laboratoires, mais il faut les utiliser modérément, avec du bon sens !

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Dr. Eliane ROO : une dermatologue de l’Académie espagnole de dermatologie et vénérologie, explique : « Comment les températures élevées affectent la peau de notre visage quand celle-ci est couverte en permanence : Acnée, dermatite péribuccale, problèmes de rosacées, parce que les masques retiennent la chaleur et l’humidité »

Le bureau d’affaires sanitaires ordonne que les communes renvoient les masques FFP2 en provenance de Chine en raison d’incompatibilité avec la norme Européenne.

Il est intéressant de noter que les masques chirurgicaux (exigés dans les avions plutôt que les masques en tissu) sont souvent fabriqués dans des conditions d’hygiène déplorable. De plus il est marqué sur les boites de masques que ces derniers ne protègent pas contre les virus.

Source vidéo qui illustre cela : Lien  

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 Pr. Luc MONTAGNIER :

« On est dans un monde de fous, un monde de fous ! »

Source : Lien  

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Dr. Pascal TROTTA : « La vérité, c'est comme l'eau : ça finit toujours par passer. »

Source ThanaTV : Lien   

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François DUCROCQ chef d’entreprise :

« La pénurie des masques pendant l'épidémie du Covid 19 a été voulue, organisée et assumée. Tel est le sens de mon témoignage de chef d'entreprise à travers les nombreuses démarches, les mails reçus et échangés. La vidéo est longue, mais elle va vous permettre de comprendre ce qui s'est réellement passé. »

Voir la vidéo du chef d’entreprise : « Témoignage La pénurie voulue des masques, Francois

Ducrocq chef d'entreprise »

Source : Lien  

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PATRIOTE.INFO : Une expérience de Del Bigtree mesure l’oxygène sous un masque et montre le danger de le porter. Analyse du niveau de dioxyde de carbone et les problèmes de santé potentiels : 10 000 PPM en 10 respirations seuil extrêmement dangereux….

Source : Lien    

Une autre vidéo nous montre la baisse du niveau d'oxygénation lié au port du masque Source : Lien  

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Rapport du CDC aux Etats Unis : seul 6 % des morts du Covid19 n’étaient pas à risque (comorbidités).

Source CDC (voir le texte sous comorbidities) : Lien  

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Dr. Sandro PROVENZANO : Médecin généraliste

« Je fais une petite vidéo pour partager mon désaccord vis à vis de toutes les mesures soi-disant sanitaires, pour un virus qui n’est pas + dangereux qu’une grippe, mais dont on nous fait tout un plat. D’abord pendant la crise, on ne nous imposait pas le masque, qui là, peut-être aurait pu nous aider contre la transmission du virus, mais non, rien, aucun masque, rien du tout. Et puis maintenant comme n’importe quel virus, cette épidémie avec le temps perd de sa virulence, et là on essaye de nous affaiblir en nous forçant, obligatoirement porter le masque dans des endroits clos, maintenant même dans des endroits ouverts, on se balade en pleine nature et on doit porter des masques, c’est de l’ineptie. Je crois qu’en 25 ans de médecine je n’ai jamais vu une telle mascarade et alors quoi, il faut oublier tous nos cours, tous nos cours d’immunité, en immunologie de savoir que nous nous battons tous les jours contre des millions et millions de virus que nous avons des super anticorps, une bonne immunité et que nous gagnons chaque jour tous les combats, de temps en temps, si on est affaibli, oui un peu plus faible on peut développer une petite pathologie virale ou un état grippal. Mais ici nous empêcher de respirer librement, nous mettre cette muselière toute la journée, je plains les gens qui commence leurs journées avec un masque qu’ils portent pendant 9 à 10 heures toute la journée, qui doivent tenir ça jusqu’à la fermeture de leur restaurant, en diminuant leur capacité de respirer correctement avec en + la chaleur, la canicule qui n’arrange rien.

Notamment pour les personnes en difficulté respiratoire, les bronchites chroniques asthmatiforme, donc BPCO, les vieilles personnes, qui ont déjà pas mal de difficulté à trouver leur respiration, si en + on doit mettre un bout de tissu devant leur nez, devant leur bouche, qui en + doit pulluler de microbes, vu ce milieu humide, non aseptisé.

Puisque nous en salle d’opération, un masque ça se porte 2h ; 3h ; le temps de l’opération, on ne le touche pas, on se lave les mains, on met nos gants stériles on nous met le masque, quand c’est fini on le jette à la poubelle, ici quand je vois les milliers de gens qui mettent leur masque dans leur poche, sur le tableau de bord de leur voiture, dans leur vestes, qui n’arrête pas de le toucher, de le tripoter, une fois au-dessus du nez, une fois au-dessous du nez, une fois audessus de la tête.

Et pour aussi une question financière vous gardez le masque des semaines entières jusqu’au moment où il soit troué, là par contre on peut dire qu’ils sont à quelques millimètres d’une pollution microbienne et virale et même mycotique car il y a des champignons des aspergillus et d’autres microbes qui peuvent leur libérer des spores et autres.

Donc je dis on est loin du masque qui protège du virus qui est aseptique et qui joue son rôle médical de protection.

 Donc là on se pose quand même des questions, j’ai l’impression qu’on nous prend vraiment pour des cons, et le pire, c’est que les médecins se laisse avoir dans ce système.

Or que si on est un bon médecin, si on a appris la médecine, la science, on sait très bien à quoi peut nous servir un masque. Même quand je vois ça je me dis où va la médecine, mes propres enfants je n’ai même pas envie qu’ils fassent de la médecine parce que ce n’est plus ça la médecine, c’est de la prescription pour big pharma, c’est de suivre « les guidelines » inscrite pas par les scientifiques, mais de nouveau par les lobbyistes.

Et si c’est ça le monde, je préfère partir même sans coronavirus parce que la vie ne vaut pas la peine d’être vécue dans de telle condition.

Voilà c’était le coup de gueule du Dr. Brovenzano, j’espère que beaucoup de gens vont se réveiller de cette situation. Je pense vous êtes dans un rêve, un rêve éveillé si un jour on m’avait raconté cette histoire, j’aurai dit c’est une bonne histoire belge, et bien non, c’est la réalité, et le pire c’est que dans le monde entier, par cette capacité, ce pouvoir qu’on ces gens qui sont audessus de nous, qui pense que le peuple n’est pas fort mais, et, quand le peuple va se retourner ça va faire très mal. »

Source : Lien   

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COURRIER AU CONSEIL DE L’ORDRE DES MÉDECINS du Doubs du Dr.JeanMichelCrabbé : 

Conseil de l’Ordre des Médecins du doubs le 27 Août 2020

 Monsieur le président, mes chers confrères,

Je vous rappelle mon courrier du 13 mai ci-joint, resté sans réponse à ce jour, et qui m’a valu de nombreux encouragements venus de toute la France. Je demande la présentation de ces deux courriers à mes confrères du CDOM du Doubs.Dans le contexte « covid-19 », je dénonce publiquement de graves violations du Code de Déontologie et du Serment d’Hippocrate par l’Ordre-des-médecins-lui-même.

  • 1) Face aux discours apocalyptiques diffusés dans les médias par les hommes politiques et de soi-disant spécialistes, l’Ordre des médecins avait le devoir de rétablir la vérité et de fournir à l’ensemble des praticiens et au public les véritables chiffres issus des registres de l’État Civil et de différents services mortuaires hospitaliers ou autres : ces chiffres n’ont rien d’alarmant. Au cours des vraies épidémies comme la peste ou la tuberculose, il y avait des malades et des morts dans chaque maison, dans chaque famille, nous sommes très loin d’une telle situation.
  • 2) Face à la phobie du virus et à l’hystérie collective déclenchées par le risque de contamination par simple contact ou respiration à proximité des malades, l’Ordre des médecins devait rappeler que les professionnels de santé ne sont pratiquement jamais contaminés par leurs contacts multiples et répétés avec les malades, et que la contagion met en jeu d’autres facteurs mal connus.
  • 3) L’Ordre des médecins, garant des bonnes pratiques médicales basées sur des études scientifiques, devait rappeler que le port du masque, l’isolement des sujets en bonne santé et la distanciation sociale sont des mesures inventées en 2020, qui ne s’appuient sur aucune expérience passée, sur aucune étude scientifique, et ne figurent dans aucun ouvrage de médecine.
  • 4) L’Ordre des médecins est le garant ultime de la bonne formation des praticiens en exercice, et la toxicologie est une discipline aussi importante que la bactériologie. L’Ordre des médecins ne peut pas ignorer que les praticiens sont privés de formation en toxicologie depuis des décennies, et incapables d’assurer la prévention et les diagnostics toxicologiques face à un nombre croissant de substances et de médicaments toxiques, ou encore face aux effets nocifs des radiations ionisantes, de la pollution de l’air et de l’eau, des ondes électromagnétiques, du bruit, etc. La pollution environnementale peut jouer un rôle important et négligé dans le contexte actuel « covid-19 ».

« Au service des médecins dans l’intérêt des patients », l’Ordre des médecins devait informer les praticiens d’une façon objective, dénoncer les mesures de prévention non validées scientifiquement et dangereuses, veiller à la formation des médecins dans ce domaine essentiel, la toxicologie, rassurer une population rendue hystérique par les déclarations mensongères des médias.

Au lieu de cela, l’Ordre des médecins garde un silence complice des objectifs occultes d’un pouvoir politique au service d’une oligarchie mondialiste. Sous prétexte d’épidémie, une administration aveugle, des spécialistes dont l’expérience professionnelle reste à prouver, l’ensemble du système de santé sont instrumentalisés pour nuire à la population, la terroriser, la priver de liberté, de travail de relations-humaines.

En conclusion, l’Ordre des médecins doit être traduit devant ses propres instances disciplinaires et jugé pour manquements graves aux missions qui lui sont confiées et à l’éthique médicale. Recevez mes meilleures salutations confraternelles et dévouées.

Dr Jean-Michel Crabbé

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