Les ondes électro-magnétiques, notre santé et la 5G

Cet article constitue une synthèse simplifiée et très courte sur ce sujet, ô combien "brûlant" actuellement.

De plus en plus de maladies dites pudiquement émergentes ou orphelines font surface, sans que la médecine chimique ne puisse fournir d'explication satisfaisante sur leur origine. Et du coup, elle se contente de faire des soins quasi palliatifs lorsque des symptômes induisent des problèmes physiques palpables et pondérables, parce que pour la médecine pasteurienne le corps humain n'est qu'une usine chimique, dont on peut interchanger sinon supprimer les organes qui ne font plus leur travail. Ou de répondre abruptement à ce qu'elle ne comprend pas, "c'est dans la tête"… Tout le monde est conscient de l'explosion des cas de cancer, d'autisme, de maladies neuro-musculaires dégénératives, scléroses en plaque, sclérose latérale amyotrophique, etc. etc. La détection de plus en plus généralisée et précoce de ces cas, pompeusement et faussement appelée prévention, n'explique pas à elle seule l'ampleur de ce phénomène. Les taux de "guérison" annoncés ne sont en fait que des survies plus ou moins courtes ou longues, dans des conditions souvent très discutables. Les détecter tôt ne sert à rien du fait qu'il n'y aura pas de traitement ensuite qui puisse vraiment guérir. Toutes ces pathologies étant multifactorielles, il y a bien évidemment d'autres facteurs à prendre en compte, que nous aborderons aussi.

Notamment avec le début du déploiement de la 5G, de plus en plus de questions se posent quant à la prolifération anarchique d'ondes artificielles de toute nature, auxquelles il devient de plus en plus difficile, sinon impossible, d'échapper.

L'industrie des télécoms et ses experts ont accusé les nombreux scientifiques qui ont étudié les effets du rayonnement des téléphones portables de susciter la peur chez les consommateurs au sujet de l'arrivée de la 5G. Pourtant, plus de 500 études ayant passé le Peer-review (relecture par les pairs) ont été publiées dans des revues scientifiques sur ce sujet, montrant l'existence d'un risque sur la santé lors de l'exposition à de tels rayonnements, et ceci même en-dessous des seuils d'exposition réglementaires.

Les limites admises jusqu'ici par la FCC américaine (Commission fédérale des communications), comme les autres organismes des autres pays, sont basées sur un changement de comportement chez des rats exposés au rayonnement de la gamme des micro-ondes, et ces limites seraient conçues pour nous protéger des risques de lésions radiatives à court terme dus à une exposition à des rayonnements de RF (radiofréquence). Cependant, ces normes s'appuient sur des recherches datant des années 1980, et depuis, des centaines de recherches ont mis en évidence des effets nocifs sur les organismes biologiques et donc la santé, résultant d'exposition à des RF trop faibles pour causer des dommages thermiques importants, tels que caractérisés par les directives internationales.

Plus de 240 scientifiques ont signé un appel international qui appelle à des limites d'exposition plus fortes. Mais serait-ce suffisant ?

Toujours est-il que le CIRC (Centre international de recherche sur le cancer) de l'OMS a classé les Rayonnements de radiofréquence (RFR) comme "potentiellement cancérigènes" pour l'homme en 2011 déjà. Et ceci pas seulement pour une "G" ou l'autre, c'est TOUTES les ondes dites "radio" !

La 5G utilisera pour la première fois les ondes millimétriques, en plus des micro-ondes (centimétriques) utilisées jusqu'ici par les 2G, 3G et 4G. Compte tenu du fait que plus on monte en fréquence, plus leur portée est limitée, il sera donc nécessaire de placer des antennes relais tous les 100 à 200 mètres en fonction de l'environnement, voire moins. Le 5G utilise aussi de nouvelles technologies, comme des antennes dites actives, capables de former un faisceau en jouant sur le déphasage entre l'émetteur et le récepteur, et la technologie MIMO (entrées et sorties multiples, donc antennes d'émission et de réception multiples avec commutation automatique de l'une à l'autre) qui utilise un multiplexage utilisé dans les radars par exemple. Comme toutes ces technologies sont nouvelles, il n'existe bien évidemment aucune étude sur leur impact sur le vivant. Le cancer n'étant pas le seul risque, très loin de là.

TOUTES les ondes électromagnétiques, quelle que soit leur source, leur forme ou leur puissance ont une composante qui est totalement ignorée jusqu'ici, mais qui explique les effets que l'on constate. Et du fait de cette ignorance, on ne peut justement les comprendre.

Très schématiquement, pour ne pas alourdir cet exposé pour les non spécialistes, il convient de noter une différence fondamentale entre les deux "types" d'ondes électromagnétiques connues à ce jour. Il s'agit des ondes hertziennes (découvertes par Heinrich Hertz et les ondes scalaires, découvertes et expérimentées par Nikola Tesla à la même époque).

En fonction de la forme de l'antenne d'émission nous produirons des ondes hertziennes dont la direction de propagation se fait dans l'axe d'émission ou des ondes scalaires qui elles se déplacent en quelque sorte en "hélice" comme montré ci-après :

onde scalaire

 Schéma d'une onde "spirale" ou scalaire

Il faut bien avoir présent à l'esprit que CHAQUE EMETTEUR d'ondes hertziennes (Radio, Tv, Satellites, etc,) comporte AUSSI une composante plus ou moins importante d'ondes scalaires (ce sont les ondes dites "stationnaires" à proximité des antennes d'émission et de réception, qui diminuent le rendement de cette antenne.

Or la forme de ces ondes, en hélice, est analogue à la double hélice de notre ADN, dont voici une représentation :

brin adn

Il y a donc un risque évident que ces ondes puissent entrer en résonnance avec notre ADN. Les conséquences possibles n'ont bien entendu jamais fait l'objet de la moindre évaluation, puisque c'est un aspect totalement ignoré de la recherche scientifique.

Un autre aspect de ces ondes scalaires est qu'elles rayonnent uniquement entre un émetteur et un récepteur "synchronisé" (en résonnance), alors que les ondes hertziennes rayonnent dans toutes les directions.

Dernière particularité notable, les ondes hertziennes se déplacent dans le vide à la vitesse de la lumière, soit approximativement 300 000 km par seconde. Alors que les ondes scalaires du fait de leur forme de propagation peuvent, purement théoriquement, se déplacer à une vitesse variable entre zéro et l'infini ! Tesla aurait d'ailleurs mesuré une vitesse de propagation de 1,6 fois celle de la lumière lors de ses expériences

Le seul aspect retenu actuellement pour "évaluer" un éventuel effet toxique des ondes sur l'être humain est la mesure de l'échauffement local obtenu au bout d'un temps x par exemple lors de l'utilisation d'un téléphone portable. On fixera donc une "limite" purement arbitraire, comme toutes les limites par exemple de colorants et autres additifs chimiques dans notre alimentation. Il s'agit dans le cas de la téléphonie mobile du DAS (Débit d'absorption spécifique). A noter que ce DAS n'est valable que pour les fréquences comprises entre 100 kHz et 10 Ghz. Pour la 5 G nous sommes avec certaines des fréquences retenues très largement au-dessus. La norme européenne NF EN 50360 fixe ce DAS à 2Watts/kg.

Pour faire les essais en laboratoire il faut savoir qu'on utilise des souris, génétiquement modifiées. Malgré le fait que l'on ne peut simplement transposer le résultat de ces expériences en laboratoire à l'homme dans son environnement, ce sont deux choses totalement différentes, on s'obstine à vouloir prétendre que si une souris soumise à une onde (ou un polluant) ne développe pas de cancer pendant un court laps de temps "x", ce sera aussi le cas chez l'homme. Alors que certains cancers ne se développeront qu'après plusieurs décennies…

Un autre point qui n'est jamais pris en compte, c'est l'effet des faibles doses d'exposition (en dessous de ces fameux seuils, même à l'état de simples traces) mais de longue durée.

Malgré toutes nos technologies, nos cinq sens ne nous permettent de percevoir qu'une très faible partie de notre environnement. L'ouïe "entend" les fréquences en général entre 20 et 16 000 hertz. Mais le début de notre plage de vision, elle, ne commence, juste au-dessus de l'infra-rouge qu'à 4000 Ghz (4000 milliards de hertz) et s'achève juste en-dessous de l'ultra-violet. Entre les deux, c'est le néant, nous ne percevons rien, en tous cas de façon consciente. Et pourtant cette plage comprend toutes les ondes, radio, Tv, téléphonie mobile, etc.

Si nous reculons dans les années 1930, lorsque les premiers rapports de biocompatibilité ont été fournis, ils décrivaient des maux de tête, des étourdissements, des manques de concentration et autres indispositions des opérateurs radio, lorsque les premiers usages médicaux par thérapie à haute fréquence ont été testés. A l'époque il s'agissait d'ondes courtes, alors qu'aujourd'hui nous sommes dans la gamme des micro-ondes.

Communication cellulaire

Chaque cellule correspond avec les cellules voisines au moyen d'ondes, désignées par ondes biologiques, et qui peuvent être mesurées par des impulsions électriques. Ces signaux sont particulièrement détectables lors de la mort d'une cellule qui informe ainsi la nouvelle cellule amenée à la remplacer. Les effets biologiques des champs magnétiques et leur efficacité en tant que tels, n'est aujourd'hui plus contestée. Les discussions tournent autour des valeurs maximales, des puissances de champ, des bandes de fréquences, depuis l'entrée en scène de la téléphonie mobile, ainsi que la forme de modulation (AM, FM, Impulsionnel/Numérique, etc.).

Les centrales énergétiques de nos cellules sont les mitochondries, qui du fait de leur structure, peuvent capter des neutrinos et les matérialiser. Pour que les porteurs de charge résultants n'attaquent ni n'endommagent sans discrimination aucune molécule ou autre partie de la cellule en tant que radicaux libres, ils doivent être liés et éliminés immédiatement. Pour Le Pr. Konstantin Meyl, c'est l'oxygène dans le sang qui s'en charge, oxygène qui est un accepteur d'électrons idéal. En cas de manque d'oxygène ou de stress, lorsque d'avantage de neutrinos sont capturés, et que d'avantage d'énergie est disponible que celle qui peut être transportée, l'aspect autodestructeur des radicaux libres entre en jeu. L'ADN peut aussi être attaqué, ce qui affecte principalement les informations génétiques des mitochondries elles-mêmes.

Dans un premier temps les mitochondries s'usent, ce qui diminue le nombre de convertisseurs d'énergie en fonctionnement, et dans un deuxième temps elles dégénèrent. La conséquence sera un manque d'énergie pour la cellule, que l'organisme cherchera à compenser en premier lieu par une division cellulaire, pendant qu'en deuxième lieu les nouvelles mitochondries créées ne seront plus fonctionnelles. Le déficit énergétique continue donc de s'accentuer, les cellules reçoivent donc l'ordre de continuer à créer de nouvelles cellules qui seront de nouveau endommagées, et ainsi de suite. Le processus de renouvellement anarchique de cellules non fonctionnelles est ainsi enclenché et conduit au cancer par manque d'énergie.

Une tumeur cancéreuse est seulement guérissable lorsque TOUTES les causes sont connues. La recherche médicale devrait donc s'orienter vers l'aspect d'énergie neutronique des cellules dans le cadre des communications intercellulaires par ondes scalaires.

La médecine conventionnelle se cramponne à ses explications et méthodes sur les mesures et analyses qu'elle est en mesure de comprendre. Ce qui fait que toute la nature et donc l'être humain est réduit à quelques réactions chimiques. Toute l'industrie pharmaceutique vit de cette erreur qui se révèle depuis longtemps être une impasse autant médicale que financière. Cette politique de santé n'est plus justifiable, ni bénéfique, et la question se pose s'il est raisonnable de continuer dans cette impasse, alors que l'on peut obtenir les mêmes résultats avec de faibles impulsions électriques.

Il faudrait déjà rechercher et comprendre d'où un organisme vivant tire son énergie et comment il communique. Dans cette optique, les ondes scalaires sont incontournables. Les processus chimiques, incontestables, ne sont en fait que des conséquences de cette énergie, et non pas la cause. Pour cette raison avec des médications chimiques, on ne peut au mieux qu'atténuer des symptômes mais pas guérir réellement.

Dans les recherches médicales actuelles on utilise la technique dite de l'électroporation qui permet, entre autres, d'insérer des gènes étrangers par exemple dans des fragments d'ADN. Lorsqu'on soumet une cellule à un champ magnétique on constate que les membranes cellulaires sont déstabilisées, ce qui augmente leur perméabilité, aussi longtemps que le champ magnétique persiste. Lorsqu'il cesse, la cellule se "referme" pour autant qu'elle ne meurt pas !

Les impulsions électriques provoquent la formation de pores, ce qui permet à des molécules telles que de l'ADN, des protéines, des virus, des bactéries, etc. de pénétrer dans la cellule. Le mécanisme exact serait actuellement toujours soumis à controverse, aussi parce que mal compris. Si l'on n'a pas présent à l'esprit que ce n'est pas la composante hertzienne de l'onde qui est ici en action, mais bel et bien la composante scalaire, il est évident que l'on n'arrivera pas à expliquer correctement le processus.

Nous avons ci-dessous la description de la technologie d'électroporation et les utilisations dans les laboratoires telles qu'elles sont mises en œuvre actuellement, ainsi que les conséquences observées sur les cellules.

Les paramètres mis en jeu dans l'électroporation

Tels qu'ils sont présentés par les laboratoires qui l'utilisent :

Deux paramètres primordiaux sont mis en jeu : la puissance du champ et la longueur de l'impulsion. Un troisième paramètre peut également intervenir : la forme de l'impulsion, mais celle-ci dépend essentiellement du type de générateur utilisé.

La puissance du champ exprimée en kV/cm (kilovolts par centimètre) résulte de la différence de potentiel que l'on obtient entre les deux électrodes. Lorsque ce potentiel atteint une certaine valeur il provoque une rupture réversible de la membrane. En général, le voltage nécessaire pour provoquer une rupture de la membrane est inversement proportionnel à la taille de la cellule. La rupture de la membrane donne naissance à des pores multiples à travers lesquels des macromolécules peuvent passer. La puissance du champ peut être modifiée en faisant varier le voltage du générateur, ou la distance entre les électrodes.

La longueur de l'impulsion représente le temps pendant lequel la cellule est soumise au champ électrique. Ce paramètre varie de la microseconde à plusieurs millisecondes. La longueur de l'impulsion peut être choisie de façon à obtenir le meilleur résultat pour chaque type de cellules. La forme de l'impulsion est classée en deux catégories : I'onde carrée et la décharge capacitive exponentielle. Elles sont générées par la décharge partielle ou complète du condensateur.

Une grande partie des applications de l'électroporation fait appel à la décharge capacitive exponentielle. Elle permet une très bonne transfection (transfert de gènes), mais en contrepartie, elle peut provoquer la mort de cellules plus fragiles. Les ondes carrées seraient moins agressives pour les cellules qu'une décharge capacitive exponentielle.

Les multiples possibilités offertes par l'électroporation

L'électroporation présente de nombreux avantages sur les méthodes plus conventionnelles qu'elles soient chimiques ou biologiques. Cette méthode est facile à réaliser et ainsi parfaitement reproductible, rapide, avec des rendements excellents, et surtout jugée par ceux qui l'utilisent, non toxique, chimiquement parlant. Contrairement aux agents chimiques, I' électroporation n'altère pas ou peu la structure biologique de la cellule ciblée, ni son fonctionnement biologique. Cette méthode permet également de s'affranchir de vecteurs biologiques comme les virus qui peuvent présenter certains inconvénients.

La perméabilisation réversible de la membrane cellulaire soumise à champ électrique permet d'introduire toute sorte de molécules dans la cellule. Cette méthode s'est donc très vite développée pour la construction de vecteurs en transférant des gènes dans des bactéries, ou pour l'étude de l'activité cellulaire après introduction de métabolites, protéines, anticorps dans les cellules. L'électroporation s'est aussi révélée être une méthode de choix pour les manipulations génétiques des cellules de mammifères ou des embryons. L'application d'un champ électrique peut également être le facteur déclenchant de phénomènes particuliers. Ainsi, la parthénogénèse peut être induite en stimulant un œuf non fécondé, et de la même façon, on peut faciliter la fécondation en appliquant un pulse au sperme (ce qui entraine une amélioration de la réaction acrosomique).

http://www.ipubli.inserm.fr/bitstream/handle/10608/4881/MS_2002_1_91.html

L'électrofusion

Lorsque des cellules soumises à un champ électrique sont en contact, elles peuvent fusionner, c'est l'électrofusion. Le contact cellulaire préalable peut être effectué par une manipulation mécanique ou, comme c'est en général le cas, par un champ électrique oscillatoire de haute fréquence et de basse intensité. 

Les possibilités offertes par l'électrofusion sont multiples. En effet, cette technique qui présente les mêmes avantages que l'électroporation est très utilisée dans l'agronomie, pour la fusion de protoplastes et la création de plantes résistantes à des maladies dues à des champignons ou à des insectes. C'est également un outil extrêmement efficace pour la création d'hybridomes (fusion de deux cellules vivantes de provenance différente) dans le cadre de la production d'anticorps monoclonaux. La production et le rendement de cellules hybridomes sont améliorés d'un facteur 100 par rapport aux techniques chimiques.

Electroporation et électrofusion (pour le clonage) sont, selon les laboratoires qui les utilisent, des techniques d'une grande fiabilité et dont les applications concernent des domaines multiples. Il est également intéressant de souligner que l'électroporation ouvre la voie à de nombreuses autres possibilités. Ainsi plusieurs laboratoires travaillent sur cet outil.

Electrofusion : http://www.clonage.universite-paris-saclay.fr/index.php?option=com_content&view=article&id=53

Ceci constitue un exemple de ce que certaines formes d'ondes appliquées aux cellules vivantes peuvent provoquer. Dans la description donnée ci-dessus par un laboratoire, on contrôle ce qu'on fait, bien que le but et l'éthique peuvent être plus que discutables, pour ne pas dire condamnables.

Cependant, lorsqu'on extrapole ces phénomènes à notre environnement qui se trouve être actuellement un magma infame d'ondes de toute sortes qui forcément interfèrent les unes sur les autres, et produisent donc des harmoniques totalement ignorées et incontrôlables, on ne peut que rester songeur devant les dévastations qui peuvent survenir dans nos cellules, donc aussi notre ADN.

Nous avons ici LA PREUVE INCONTESTABLE que les ondes ont une action sur nos cellules, et que cette action est INFINIMENT PLUS GRAVE que l'échauffement local constaté pour les utilisateurs de téléphones sans fil ou smartphones et qui sert de base pour définir les seuils "à ne pas dépasser", les fameux DAS (Débit d'Absorption Spécifique), et dont on n'a actuellement pas la moindre idée de la responsabilité de ce phénomène dans "l'explosion" de pathologies de toutes sortes. 

Les DAS évoqués plus haut sont d'ailleurs très disparates d'un pays à l'autre, ce qui démontre à l'évidence qu'ils ne reposent sur rien de concret. Par exemple, aux USA, la norme exige que le DAS soit inférieur à 1,6Watts par kg pour une moyenne de 1 gramme de tissu, alors qu'en Union Européenne la limite est de 2 watts /kg mais pour une moyenne de 10 grammes de tissus. Actuellement la majorité des smartphones se situe à moins de 1 W/kg pour 10 grammes de tissus.

Bien que certaines études craignent l'ouverture de la barrière hémato-encéphalique par perméabilisation membranaire, on n'y trouve pas d'explication sur le processus en cause.

Nous en sommes donc au stade de "l'ouverture" de la membrane cellulaire par l'exposition à un champ magnétique et nous savons maintenant que c'est la composante scalaire de cette onde qui provoque cette "porosité" de nos cellules corporelles.

Nous avons vu aussi que du fait de la particularité de la propagation de ces ondes scalaires, elles peuvent entrer en résonance avec nos cellules, ou nos organes, en fonction de la forme de ces ondes, de leur modulation, leur longueur d'onde, ou leur fréquence. Ces deux derniers paramètres n'étant pas forcément liés comme pour les ondes hertziennes, du fait que la vitesse de propagation n'est pas limitée par celle de la lumière, théoriquement elle peut varier de zéro à ... l'infini !!! 

A partir du moment où l'on peut insérer des gènes et finalement tout ce qu'on veut dans une cellule en la soumettant à un champ magnétique, même de faible puissance, il est absolument évident que lorsqu'on est soumis en permanence, 24/24 h et 7/7 j à un brouillard aussi intense que celui qui a été développé ces dernières décennies, nos cellules sont fragilisées en permanence, rendues "poreuses", et donc ouvertes à toutes sortes "d'informations" totalement anarchiques, du fait de leur extrême diversité. La conséquence ne peut être que pathogène, puisque totalement incontrôlée. 

Conséquences concrètes sur notre santé 

Dans le brouillard électromagnétique qui nous enserre de plus en plus, il est évident que l'être humain à de plus en plus de mal à tenter de survivre dans ce "mélange" infame d'ondes porteuses de toutes fréquences, modulées à l'infini par des paquets d'ondes pulsées à très hautes fréquences, et qui produisent un chapelet infini d'harmoniques dans toutes les bandes de fréquences.

En effet, toutes nos cellules corporelles (y compris celle de nos cerveaux) sont en permanence soumises à ce magma, et sont de ce fait, comme nous l'avons vu, atteintes dans leur intégrité, c’est-à-dire que leur membrane qui devrait constituer une "carapace" pour tout ce que l'organisme considère comme non utile à sa biologie, se retrouve reléguée au rang de vulgaire passoire ouverte à tout et n'importe quoi.

J'insiste encore une fois sur le fait que la 5G SEULE, n'est probablement pas bien pire que la 4G SEULE, hormis le fait que certaines des fréquences en jeu, cette fois se retrouvent exactement sur celle de l'eau, notre eau corporelle (!), et aussi le fait de la multiplication démentielle du nombre d'antennes et des bandes de fréquences de plus en plus larges utilisées. Le "trop-plein" qui pourra être ressenti par les plus sensibles (ou les plus fragiles) vient du sur-ajout de toutes les pollutions électromagnétiques qui devient de plus en plus ingérable par un organisme "normalement" constitué.

Que dire d'un organisme affaibli en plus par des pathologies parfois multiples et donc des traitements "lourds" au long cours qui détruisent totalement, entre autres, le microbiote intestinal, siège principal de nos défenses organiques ?

Maladies virales – Corona virus, SRAS, Mers et autres Influenza

Si l'on considère les derniers évènements en date en ce printemps 2020, à savoir "l'épidémie" de Corona virus rebaptisée tout de suite en pandémie Covid-19, on ne peut s'empêcher, si on veut rester un tout petit peu logique, de faire certains constats.

Ceci en dehors de toute spéculation sur les causes naturelles ou accidentelles, voire économico-politico-criminelles, qui ont permis l'émergence et la dissémination de ce virus.

A propos de l'émergence, justement. Petit rappel : On nous dit tout d'abord que l'épidémie aurait démarré sur un marché aux poissons chinois de la ville de Wuhan, par suite de la contamination de pangolins, ou de poissons sauvages ou d'autres bestioles consommées par les chinois, dans des conditions d'hygiène douteuses sinon désastreuses, comme des chauves-souris qui auraient contaminé les pangolins, dont le "nid" le plus proche serait situé à …. 800 kms. Devant l'incohérence de toutes ces versions, on reste dans l'expectative quant à l'origine réelle de la contamination, puisqu'une proportion importante de cas de contamination n'a jamais fréquenté le fameux marché aux poissons de Wuhan. Et d'autre part le "vrai" départ de l'épidémie en Chine aurait eu lieu déjà à la mi-novembre, sinon avant selon les versions.

La proximité d'un laboratoire P4 (Pathogénie 4, niveau maximum), inauguré en 2017 et construit en collaboration avec l'Institut Pasteur français, éveille des soupçons qu'un "accident", ou une "maladresse" aurait permis à la méchante bébête de franchir les multiples sas de sécurité. Bien sûr, c'est du pur conspirationnisme, que de simplement l'évoquer. A noter qu'on parle beaucoup moins d'un deuxième laboratoire du même type situé à Wuhan, au 666 Gaoxin Road, et qui s'appelle Wuxi Phamaceuticals fondée par le Docteur Ge Li, situé en plein épicentre de l'épidémie, non loin de l'institut de virologie P4. Ce laboratoire Wuxi Pharma est financé par George Soros et … la fondation Bill et Melinda Gates tous les trois se présentant comme philanthropes, le couple Gates étant incontournable dans tout ce qui touche les vaccins.

Enfin, puisque nous avons revêtu un instant le masque (sans jeu de mots) du conspirationniste, une curieuse coïncidence se trouve dans le fait que lors de la précédente épidémie, rebaptisée par l'OMS en pandémie, en 2009, on retrouve exactement le même scénario. A savoir que notre Président de l'époque, Nicolas Sarkozy, accompagné du Président de Sanofi-Aventis, inauguraient ensemble un nouveau laboratoire P4, construit en partenariat entre la France et le Mexique, le dernier nommé se félicitant dans son discours d'inauguration que le Mexique soit doté d'une nouvelle unité de production de vaccins … en prévision de la pandémie à venir. Ce discours se tenait à La Garda, à quelques kilomètres à vol d'oiseau de l'endroit où est apparu le premier cas de grippe en 2009. Bien entendu, il n'y a aucun lien, comme il n'y a aucun lien avec la Chine… Pur hasard, voyons !

Et encore comme de bien entendu, on a autant de versions que de déclarations, entre le fait que le virus en question serait en circulation depuis longtemps, et qu'il aurait muté tout récemment, (sans que l'on sache si ladite mutation soit naturelle ou ait bénéficié d'un coup de pouce volontaire ou non), le rendant ainsi plus contagieux, voire plus virulent. Alors que d'autres nous disent que sa mortalité (actuelle) n'est pas supérieure à celle de la grippe saisonnière de ces dernières années, les uns et les autres, bien évidemment avec de belles courbes à l'appui de leurs thèses, diamétralement opposées et toutes totalement fantaisistes comme nous allons le voir.

Car pour tous ces chiffres si fièrement annoncés actuellement, il faut remarquer que les tests RT-PCR (Reverse Transcriptase-Polymerase Chain Reduction = Transcriptase Inverse – Réaction en chaîne par polymérase) utilisés pour détecter l'infection au Covid-19 (le même procédé de base est utilisé par les tests Western Blot pour détecter le syndrome du SIDA qui serait causé par le VIH, et la maladie de Lyme) ces tests donc, ont une fiabilité selon certaines sources au mieux de 50%, et en étant très optimiste environ 70%, selon le NIH (National Health Institut) américain, en tous cas très aléatoire :

"Étant donné que les tests rapides d'antigène et la culture virale ont une faible sensibilité (19,2% et 34,6%, respectivement), aucune des méthodes de test n'est suffisante pour déterminer le type de procédures d'isolement à mettre en oeuvre en milieu hospitalier."

Extrait de : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3715378/

Ce qui veut dire que l'on peut être décrété porteur du virus en cas de test positif, mais que ce soit en fait un "faux positif", et inversement être déclaré sain, mais que cette fois ce sera un "faux négatif". Comme cette malheureuse jeune fille de 16 ans, mise à grands cris en vedette post-mortem, a été testée par deux fois négative, et serait décédée quand même du fameux coronavirus. Question : de quoi est-elle morte vraiment ? Et pourquoi DEUX tests ??? Puisque l'immense majorité de ceux que l'on prétend être décédés autant de la grippe saisonnière que du Covid-19, avaient une, voire de multiples pathologies préexistantes, et donc forcément des traitements prescrits par leur médecin traitant, sachant que certains sont particulièrement à déconseiller dans le cas spécifique du Covid-19 à commencer par le simple paracétamol. De quoi meurent donc les patients hospitalisés car déclarés positifs (faussement pour plus de la moitié d'entre eux, sinon plus !) ???

Ce qui amène les milieux dits conspirationnistes à se demander si ce virus existe seulement, et si oui, quel est son réel degré de dangerosité par rapport à la grippe saisonnière, et qu'on ne nous monte pas tout ce cirque pour d'autres raisons, qui n'ont rien à voir avec une grippe, grave ou non. Je n'irai pas plus loin. L'avenir de ces tous prochains mois nous le dira.  

Enfin le fait d'être vacciné contre la grippe saisonnière serait un facteur aggravant lors d'une infection par le coronavirus selon certains médecins.

Or, tout le monde se bat pour se faire tester, car la panique, soigneusement entretenue et orchestrée, conduit à avoir une vraie terreur du "méchant microbe agresseur" selon la (fausse) théorie pasteurienne.

Aujourd'hui c'est la course contre la montre pour produire de nouveaux tests, plus fiables, (donc on admet implicitement que ceux utilisés jusqu'ici ne le sont pas tant que ça…) mais aussi de masques, de gants, de tabliers, et le Graal suprême, le vaccin qui fera mijoter et trépigner d'impatience, encore pendant quelques mois, les inconditionnels de cette supercherie, ledit vaccin arrivera probablement sur les étals pour la prochaine saison grippale.

Je ne vais pas aller trop loin dans les méandres ténébreux de cette épidémie et de l'avalanche de nouvelles de toutes sortes qui nous inondent en permanence.

Comme des vols de masques, envoyés par la Chine ou les Russes qui dénotent le sordide dans lequel s'enfonce ce que devrions encore pouvoir nommer une humanité.

Je ferai juste une remarque qui nous ramène à notre sujet, les ondes électromagnétiques en général et la 5G en particulier.  

Wuhan, se veut être une région "pilote" dans le déploiement de la 5G en Chine, puisque la ville est complètement couverte par un opérateur depuis fin 2019 et que d'autres sont en train de déployer leurs propres réseaux. Nous sommes ici à l'épicentre supposé du départ de l'épidémie. La Chine est aussi un des endroits les plus pollués de la planète, puisqu'elle concentre la production industrielle et chimique de presque tout l'occident pour ne pas dire de toute la planète (pollution des cours d'eau par des résidus chimiques divers, arsenic et métaux lourds, atmosphériques, et chimiques). Ce qui participe très activement à la dégradation l'état de santé global des chinois.

En Italie, la Lombardie, et plus précisément à Milan, même chose, la ville est aussi, comme Wuhan, une ville "pilote" dans le déploiement de la 5G, et couverte depuis fin 2019. En prime, tout le nord de l'Italie, industriel, est pollué à l'extrême, les maladies respiratoires y sont depuis longtemps beaucoup plus fréquentes que dans le reste du pays. Le même cas de figure que la Chine, à l'échelle italienne bien évidemment.

En Espagne, à Madrid, Barcelone, Valence, Séville, Malaga, Saragosse, Bilbao, Vitoria, San-Sebastien, La Corogne, Vigo, Pampelone, Gijon, Logrono et Santander, 50% de la population de ces villes ont accès à la 5G, grâce à Huawei et Vodafone qui ont lancé le service dans ces 15 villes le 15 juin 2019. L'Espagne est le troisième pays européen en termes de nombre de cas. Alors que le Portugal, son voisin affiche un nombre étonnement bas autant de contaminations que de décès.

Pour l'instant il n'y a que corrélation, ce qui n'est pas une preuve, mais il est quand même curieux de constater que la 5G a été déployée et est opérationnelle juste avant le début de l'épidémie aux trois endroits jusqu'ici les plus touchés.

Jusqu'à preuve du contraire, et au vu de ce que nous avons exposé précédemment au sujet de l'action incontestable des ondes sur nos cellules, on peut quand même penser sans risque de se tromper que la 5G constitue au moins un facteur de fragilisation supplémentaire des organismes vivants, qui "ouvrirait la porte" à toutes sortes de pathologies, et pas seulement virales. Et dans le pire des cas avoir servi de "déclencheur" pour propager le Covid-19, peut-être déjà depuis longtemps en circulation, mais à l'état latent…  

Cela dit, il y peut aussi y avoir d'autres facteurs aggravants dans l'épidémie de Covid-19, aussi liés à l'incurie de certains pays à prendre des mesures adéquates en temps voulu. En France, nous sommes champions toutes catégories dans ce palmarès peu enviable. Bien que devant les énormes incertitudes de l'étendue de la contamination des populations (qui est infecté et qui ne l'est pas), il était de toute façon impossible d'isoler dès le départ les personnes contaminées pour éviter que la propagation ne se généralise.

Sans compter le fait que tout ceci n'est peut-être pas si "fortuit" ou accidentel qu'on veut bien le nous dire, d'autres facteurs n'apparaîtront peut-être que dans les mois à venir. Et comme notre "chère" (dans tous les sens du terme) médecine pasteurienne a la détestable habitude d'inverser causes et conséquences… Nous risquons fort de voir dans les tous prochains temps la cause réelle des conséquences réelles, elles aussi, hélas.

Affaire à suivre

Daniel Buob

Cet article constitue une synthèse très simplifiée de mon e-book accessible ici pour les personnes désireuses d'approfondir "techniquement" le sujet.

Les effets des ondes électromagnétiques sur le vivant

Liens divers : 

http://www.5gappeal.eu/signatories-to-scientists-5g-appeal/

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/25466607/

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