Vous pensez que le masque vous protège ? Lisez donc ceci :

L’obligation du port du masque en extérieur dans la plupart des grandes villes françaises depuis courant août n’a pas enrayé la progression des cas positifs Covid-19, démontrant l’inutilité de ces mesures sanitaires supplémentaires. Que l’on porte un masque ou pas en extérieur ne change rien à l’évolution de la circulation du virus.
Quelles sont les recommandations de l’OMS sur le port du masque ?
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) écrit dans son rapport du 5 juin 2020 : "À l’heure actuelle, on ne dispose pas encore de données factuelles directes de qualité attestant l’efficacité du port généralisé du masque par les personnes en bonne santé dans la communauté et il faut procéder à un bilan des avantages et des inconvénients à cet égard".
L’OMS liste les effets indésirables/inconvénients potentiels, dont les auto-contaminations dues aux mauvaises manipulations et à l’humidité du masque, les maux de tête et les gênes respiratoires et cutanées, la fausse impression de sécurité et les répercussions psychologiques particulièrement chez les enfants…
L’OMS insiste sur le fait que les masques médicaux (chirurgicaux, type FFP, N95) doivent être utilisés seulement par des professionnels de la santé et seulement face à des malades présentant des symptômes. « Le port de masques non médicaux constitués de tissus et/ou de matériaux non tissés ne doit être envisagé que pour la lutte à la source (port par des sujets infectés), au sein de la communauté et non à des fins de prévention. Ils seront portés pour des activités particulières (par exemple dans les transports publics lorsqu’il n’est pas possible de respecter les règles de distanciation physique) et leur utilisation doit toujours être associée à un lavage fréquent des mains et à la distanciation physique ».
Enfin, le dernier rapport de l’OMS du 1er décembre 2020 souligne le fait qu’à l’extérieur, le port du masque est recommandé uniquement lorsqu’une distanciation physique d’un mètre ne peut être respectée, et en particulier pour les personnes fragiles de plus de 60 ansiv. En conclusion, l’OMS mentionne qu’aucune étude scientifique ne prouve l’efficacité du masque à l’extérieur. Le lavage régulier des mains et la distanciation physique d’un mètre restent les mesures les plus efficaces.
Étude danoise sur l’effet protecteur du masque chirurgical à l’extérieur.
Au Danemark, une étude nationale a été réalisée entre avril et mai 2020 pour savoir si le port d’un masque chirurgical à l’extérieur permettait de réduire le taux d’infection de participants volontaires sains.
Le port du masque venait alors en complément des mesures sanitaires déjà mises en place dans le pays (distanciation physique, nettoyage des mains, limitation des rassemblements de personnes et des visites en centre de soins et fermeture des restaurants et des bars). Le taux d’infection a été mesuré par des tests moléculaires de type PCR, sérologiques ou encore des diagnostics en milieu hospitalier.
4 862 participants répartis en deux groupes (porteur ou non porteur de masque) ont participé à l’étude. À l’issue des tests, 42 participants (1,8 %) dans le groupe masqué et 53 (2,1 %) dans le groupe témoin ont été testés positifs, soit une différence statistique non significative.
Ces résultats suggèrent que le port du masque chirurgical à l’extérieur ne protège pas d’une infection par le SARS-CoV-2, dans un contexte où la distanciation physique et d’autres mesures de santé publique étaient en vigueur dans le pays.
Lors d’une audition au Sénat en septembre 2020, le ministre de la Santé Olivier Véran annonce que le masque ne protège pas de la grippe saisonnière. Or, les virus « grippaux » du genre Influenza virus A, B, C et D ont une taille similaire au virus SARS-CoV-2. Comment un masque qui ne nous protégerait pas du virus de la grippe protégerait-il du SARS-CoV-2 ?
Certains fabricants de masques chirurgicaux stipulent qu’ils ne protègent pas des virus, d’autres qu’ils protègent de la poussière, des bactéries et des pollens. Les fabricants de masques en tissu mentionnent que le masque n’est pas un dispositif médical et ne protège pas contre les infections.
L’OMS insiste sur le fait que le masque seul n’est pas une protection en tant que telle, même lorsqu’il est manipulé correctement, et que les mesures régulières de distanciation physique et le lavage de mains s’avèrent indispensables.
Au vu de tous ces éléments, la protection de la transmission virale par les masques semble loin d’être prouvée scientifiquement.
En conclusion, le port du masque à l’extérieur partout et tout le temps ne nous protège pas du virus SARS-CoV-2 et s’affiche comme une mesure infantilisante sans effet sur la protection de la population.
Cette politique nous place dans une peur permanente, ayant pour conséquence des situations ubuesques et incohérentes comme le masque seul : dans sa voiture, dans la forêt, sur un trottoir, à vélo, dans les cours de récréations quand les enfants courent sans brassage avec d’autres classes, etc.

L'article intégral ici :

https://reinfocovid.fr/science/port-masque-exterieur-protection/?fbclid=IwAR0MijfAmSLmgejp5MZ0FXq9keRtWVUQDJPIghkBS9C6lx7mK8-OiUKz6So

© 2020 Collectif Fédérateur. All rights reserved. Powered by Cofé.