Pourquoi le Covid19 n'est pas un virus grippal ordinaire et donc que les vaccins ne sont pas ce qu'ils prétendent être

Suite au dernier Live de L'info en question # 47 avec Jean-Jacques Crèvecoeur, voici quelques informations qui devraient faire réfléchir… Dans le "bon-sens"..

La partie importante de la vidéo se trouve ici 

"Frédéric Merle, ingénieur informatique au Conseil départemental du département de l'Essone, en pleine forme à l'âge de 41 ans, est décédé le 10 avril 2021, 10 jours après l'injection du vaccin AstraZeneca.

Un scanner général a été réalisé puisqu'il était donneur d'organes. Ce qui a permis de localiser de nombreuses thromboses atypiques, dont les plus importantes étaient localisées aux poumons, au foie et au cerveau. Ce qui a généré une rupture d'anévrisme, fatale en quelques heures. Son père fait appel à un avocat."

A tous ceux qui pensent qu'une fois une partie importante de la population vaccinée, la vie pourra reprendre plus ou moins comme avant, il y a ici des éléments qui devraient pouvoir les faire réfléchir.

Sans entrer dans des détails trop "techniques", et pour rester compréhensible du plus grand nombre, depuis fin décembre 2019, on nous prévient qu'une catastrophe sanitaire est en cours. Sans qu'on en connaisse vraiment son origine… Selon les dires officiels.

Lorsqu'on regarde les courbes de surmortalité de l'année 2020, on constate, dans les régions où il y a eu réellement d'avantage de décès (pas partout !!!), c'était surtout, pour ne pas dire uniquement PENDANT LES PERIODES DE CONFINEMENT plus ou moins sévère. Soit, en France à partir de la mi-mars jusqu'à fin avril et ensuite en automne, puisque depuis fin octobre nous sommes toujours en semi-confinement, couvre-feu et autres mascarades.

Un détail important : dès le début les autopsies étaient interdites. Ce qui a empêché de constater que les gens ne décédaient pas d'une grippe, donc de "simples" difficultés respiratoires, et ne manquaient donc pas d'un apport d'oxygène, mais de thromboses disséminées (coagulation sanguine anormale surtout dans les bas des poumons, qui empêche l'échange oxygène/sang).

Depuis début janvier en France, la campagne de vaccination contre cette grippe qui serait due à un virus à corona, a débuté. Et accélère de plus en plus depuis.

On nous dit bien qu'il faut se faire vacciner pour se protéger et protéger les plus fragiles, mais en même temps on ne sait pas si le prétendu vaccin va diminuer la propagation de la bébête, ni empêcher les formes graves, ni protéger les plus âgés… Bref, on ne sait rien.

Comme la vaccination n'a pas débuté partout en même temps, on a assisté à l'apparition de nouveaux virus, appelés improprement variants ou mutants, dans les pays qui ont les premiers, procédé à injection des supposés vaccins. Dans l'ordre pour le tiercé de tête : anglais, brésilien, sud-africain, suivis du japonais et de plusieurs autres ensuite.

Or, à la lumière de divers documents comme ceux mis en avant par le Professer Fourtillan (actuellement emprisonné), on se rend compte que depuis que l'on parle de GUERRE BACTERIOLOGIQUE, toutes sortes "d'essais" ont eu lieu sur toute la planète.

On nous explique que le vaccin sensé nous protéger consiste à faire fabriquer par nos propres cellules corporelles la protéine Spike qui permettrait à notre système immunitaire de reconnaître le Covid19 et fabriquer ainsi les anticorps pour l'éliminer. Jolie théorie. Sauf que, c'est précisément cette protéine Spike, (et non pas le gène du coronavirus) qui serait responsable des thromboses constatées.

Voir par exemple ici, un article tout récent  : [entre crochets, et surligné dans le texte et en italiques mes remarques]

https://www.salk.edu/news-release/the-novel-coronavirus-spike-protein-plays-additional-key-role-in-illness/

30 avril 2021

La protéine de pointe du nouveau coronavirus joue un rôle clé supplémentaire dans la maladie. [supplémentaire : il faut quand même réaffirmer que le rôle principal ne serait pas celui-ci…]

Les chercheurs et collaborateurs de Salk montrent comment la protéine endommage les cellules, confirmant que le COVID-19 est une maladie principalement vasculaire

LA JOLLA - Les scientifiques savent depuis un certain temps que les protéines «spike» distinctives du SRAS-CoV-2 aident le virus à infecter son hôte en se fixant sur des cellules saines. Maintenant, une nouvelle étude majeure montre que les protéines de pointe virale (qui se comportent très différemment de celles codées en toute sécurité par les vaccins) jouent également un rôle clé dans la maladie elle-même. [pour les apprentis-sorciers, le virus "naturel" est bien entendu dangereux, mais pas le vaccin, alors qu'on prétend fabriquer la même protéine]

L'article, publié le 30 avril 2021 dans Circulation Research , montre également de manière concluante que le COVID-19 est une maladie vasculaire, démontrant exactement comment le virus SRAS-CoV-2 endommage et attaque le système vasculaire au niveau cellulaire. Les résultats aident à expliquer la grande variété de complications apparemment non liées du COVID-19 et pourraient ouvrir la porte à de nouvelles recherches sur des thérapies plus efficaces.

Dans le lien suivant, des images [de synthèse] représentatives de cellules de contrôle endothéliales vasculaires (à gauche) et de cellules traitées avec la protéine SARS-CoV-2 Spike (à droite) montrent que la protéine de pointe provoque une fragmentation mitochondriale accrue dans les cellules vasculaires.
Cliquez ici pour une image haute résolution.

Crédit: Salk Institute

«Beaucoup de gens la considèrent comme une maladie respiratoire, mais c'est vraiment une maladie vasculaire», explique le professeur adjoint de recherche Uri Manor , co-auteur principal de l'étude. «Cela pourrait expliquer pourquoi certaines personnes ont des accidents vasculaires cérébraux et pourquoi certaines personnes ont des problèmes dans d'autres parties du corps. Le point commun entre eux est qu'ils ont tous des fondements vasculaires.

Les chercheurs de Salk ont ​​collaboré avec des scientifiques de l'Université de Californie à San Diego sur l'article, notamment le co-premier auteur Jiao Zhang et le co-auteur principal John Shyy, entre autres.

Bien que les résultats eux-mêmes ne soient pas entièrement une surprise, l'article fournit une confirmation claire et une explication détaillée du mécanisme par lequel la protéine endommage les cellules vasculaires pour la première fois. Il y a un consensus croissant sur le fait que le SRAS-CoV-2 affecte le système vasculaire, mais on ne comprend pas exactement comment il l'a fait. De même, les scientifiques qui étudient d'autres coronavirus soupçonnent depuis longtemps que la protéine de pointe a contribué à endommager les cellules endothéliales vasculaires, mais c'est la première fois que le processus est documenté.

Et voici le passage le plus important :

Dans la nouvelle étude, les chercheurs ont créé un «pseudovirus» qui était entouré de la couronne classique SARS-CoV-2 de protéines de pointe, mais qui ne contenait aucun virus réel. 

L'exposition à ce pseudovirus a entraîné des lésions des poumons et des artères d'un modèle animal - prouvant que la protéine de pointe seule était suffisante pour provoquer la maladie. Les échantillons de tissus ont montré une inflammation des cellules endothéliales tapissant les parois des artères pulmonaires.

L'équipe a ensuite reproduit ce processus en laboratoire, exposant des cellules endothéliales saines (qui tapissent les artères) à la protéine de pointe. Ils ont montré que la protéine de pointe endommageait les cellules en se liant à ACE2. Cette liaison a perturbé la signalisation moléculaire d'ACE2 aux mitochondries (organites qui génèrent de l'énergie pour les cellules), provoquant des dommages et une fragmentation des mitochondries.

Des études antérieures ont montré un effet similaire lorsque les cellules étaient exposées au virus SRAS-CoV-2, mais il s'agit de la première étude à montrer que les dommages se produisent lorsque les cellules sont exposées seules à la protéine de pointe.

«Si vous supprimez les capacités de réplication du virus, il a toujours un effet néfaste majeur sur les cellules vasculaires, simplement en raison de sa capacité à se lier à ce récepteur ACE2, le récepteur de la protéine S, désormais célèbre grâce au COVID», explique Manor. . «D'autres études sur les protéines de pointe mutantes fourniront également de nouvelles informations sur l'infectivité et la gravité des virus SARS CoV-2 mutants.»

Les chercheurs espèrent ensuite examiner de plus près le mécanisme par lequel la protéine ACE2 perturbée endommage les mitochondries et les fait changer de forme.

Les autres auteurs de l'étude sont Yuyang Lei et Zu-Yi Yuan de l'Université Jiaotong à Xi'an, en Chine; Cara R. Schiavon, Leonardo Andrade et Gerald S. Shadel de Salk; Ming He, Hui Shen, Yichi Zhang, Yoshitake Cho, Mark Hepokoski, Jason X.-J. Yuan, Atul Malhotra, Jin Zhang de l'Université de Californie à San Diego; Lili Chen, Qian Yin, Ting Lei, Hongliang Wang et Shengpeng Wang du Centre des sciences de la santé de l'Université Xi'an Jiatong à Xi'an, Chine.

La recherche a été soutenue par les instituts nationaux de la santé, la Fondation nationale des sciences naturelles de Chine, le Fonds des sciences naturelles du Shaanxi, le programme national de recherche et de développement clé, le premier hôpital affilié de l'Université Xi'an Jiaotong; et l'Université Xi'an Jiaotong.

DOI: 10.1161 / CIRCRESAHA.121.318902 

INFORMATION DE PUBLICATION - JOURNAL - Recherche sur la circulation

TITRE La protéine de pic de SARS-CoV-2 altère la fonction endothéliale via une régulation négative de l'ACE2

AUTEURS

Yuyang Lei, Jiao Zhang, Cara R Schiavon, Ming He, Lili Chen, Hui Shen, Yichi Zhang, Qian Yin, Yoshitake Cho, Leonardo Andrade, Gerald S Shadel, Mark Hepokoski, Ting Lei, Hongliang Wang, Jin Zhang, Jason XJ Yuan , Atul Malhotra, Uri Manor, Shengpeng Wang, Zu-Yi Yuan et John YJ Shyy

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Nous avons donc ici la confirmation INDISCUTABLE  que le "coronacircus", n'est pas ce qu'on essaie de nous faire croire.

Sans vouloir faire le moindre "alarmisme", il ne sagit en aucun cas d'une "grippe". Mais bien au contraire quelque chose de beaucoup plus sérieux. 

Mais, il faut être bien conscient de quelques points essentiels, qui permettront de dissiper la terreur (voulue et organisée).

La contagion, selon la thèse pasteurienne à la base de toute la médecine actuelle est basée sur le fait que toute personne "exposée" à un virus (quil soit naturel ou non, par exemple celui d'un vaccin, y compris mARN) sera FORCÉMENT contaminée, et donc elle-même contaminante.

Ce qui est très loin d'être le cas réellement. 

Car pour tenter de contourner ce "problème", on a inventé les porteurs sains, puis les porteurs sains asymptomatiques. Problème qui s'explique de façon très simple, si l'on considère qu'une maladie, n'importe laquelle, ne pourra se développer chez quelqu'un que si, et seulement si l'organisme du "receveur" est suffisamment affaibli au préalable. Et que donc il sera "énergétiquement en phase" pour développer la maladie en question.

Pour être plus précis, et c'est ce qui se produit pour tous les vaccins classiques, lorsqu'on l'inocule à une personne saine, le "système immunitaire" du vacciné mobilisera une partie plus ou moins importante de son énergie vitale pour se débarrasser de "l'intrus" injecté. Aussi longtemps qu'il y a assez d'énergie à disposition, pas de problème. Sinon, et c'est ce qui se passe toujours, ce sont les personnes affaiblies pour diverses raisons qui soit développeront la maladie injectée, soit au pire en décèderont.

Exemple : en 2020 la tranche d'année d'âge qui a eu le plus grand nombre de décès se situe à 90 ans !!!

Il est toutefois évident que dans le cas précis du vaccin à mARN, on oblige les cellules corporelles de l'individu vacciné à produire uniquement un FRAGMENT (la protéine spyke) du supposé Coronavirus millésime 19. Et non pas le virus entier !!!
On ne sait pas à quelle "intensité", ni pendant combien de temps. Forcément variable avec chaque individu.

Etant donné cette "production" de protéine Spike, la personne vaccinée en sera forcément porteuse. Qu'elle se trouve ensuite "positive" si on la teste pendant cette production est normal. Qu'elle ait ou non des symptômes.

Ce qui FORCÉMENT, selon la théorie pasteurienne, la rend éminemment contagieuse !!!

Beaucoup moins si l'on considère la réalité du "terrain" individuellement.

Il est certain qu'au niveau d'une population, on va forcément trouver un panel assez important de gens immunodéprimés. Qui seront donc potentiellement "contaminables".

D'autre part, le nombre de variants (terme impropre, il s'agit en fait de nouveaux virus) risque de se multiplier à l'infini. Une question pourtant fondamentale n'a pas été abordée jusqu'ici : comme ce sont les cellules corporelles de chaque individu qui produisent la protéine S, celle-ci risque d'être au moins légèrement différente pour chaque personne en fonction de son propre terrain bactériologique et viral…

La seule leçon à tirer de tout ceci, est de garder un mode de vie et d'alimentation sain et équilibré (autant que faire se peut, vu le contexte). Et surtout bannir la peur.

La vie comporte un risque inévitable de mourir. L'accepter réellement, c'est refuser d'arrêter de vivre aujourd'hui de peur de mourir de toutes façons demain...

Une chose est pourtant certaine : une grande part de ceux qui se font vacciner aujourd'hui acceptent de prendre un risque …. Inacceptable pour ceux qui réfléchissent différemment.
Mais on ne peut pas vouloir le bien des gens contre leur gré…

 

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