Différences entre le virus et le vaccin et les effets de l'injection

Différences entre la protéine spike du virus et celle des "vaccins". Et ce que cette protéine peut causer réellement.

 William Shakespeare, le premier britannique à avoir reçu l'injection "anti-covid" est décédé, 5 mois après. Bien entendu il est décédé d'un AVC, sans lien avec le "vaccin".
 
Originellement considéré comme une forme de pneumonie, le Covid19 est désormais plutôt vu par la communauté scientifique comme une "inflammation vasculaire systémique".
Ce qui met, entre autres, les respirateurs artificiels au "rancart"…
 
Assez vite, les médecins ont constaté de multiples défaillances d'organes chez les personnes atteintes de formes graves du Covid et surtout SANS LIEN AVEC LE SYSTEME RESPIRATOIRE.
Au premier rang de ces autres symptômes figurent les troubles cardio-vasculaires.
 
Chez les personnes décédées du Covid-19 une inflammation considérable des parois internes des vaisseaux sanguins, l'endothélium, a été constatée.
Selon Frank Ruschitzka, directeur de la très respectée clinique de cardiologie de l’université de Zurich, « le Covid-19 peut toucher les vaisseaux sanguins de tous les organes » [2].
 
L’inflammation systémique atteint ainsi, de manière aléatoire, le cœur, le cerveau, les poumons, les reins, le tube digestif.
En termes simples, dans les formes graves du Covid on peut aussi bien mourir d’une embolie pulmonaire que d’un AVC.
Ce qui « cause » ces troubles vasculaires… serait, justement, ce qu’on s’injecte dans le corps en se faisant vacciner contre le Covid-19.
 
On sait ce qui cause les troubles vasculaires dans le SARS-CoV-2
Ce n’est pas un fantasme « antivax ». Ce sont des faits.
Des chercheurs sont très récemment parvenus à identifier précisément ce qui, dans le virus SARS-CoV-2, provoque cette inflammation vasculaire. Leurs conclusions viennent d’être publiées dans la revue spécialisée Circulation Research [3].
Il s’agit de la protéine S du SARS-CoV-2, plus connue sous le nom de « protéine Spike ».
 
Les vaccins anti-Covid actuellement utilisés ne sont pas des vaccins « classiques » à virus atténué ou désactivé. Il s’agit de thérapies géniques (dans le cas de Pfizer/BioNTech et Moderna) ou d’adénovirus génétiquement modifiés (dans le cas d’AstraZeneca) qui ciblent la même protéine : la fameuse protéine Spike. 
Dans le premier cas, c’est-à-dire les vaccins à ARN messagers, votre corps est incité à fabriquer lui-même cette protéine à partir d’informations génétiques injectées dans nos cellules.
Dans le second cas, c’est-à-dire les vaccins à adénovirus, on injecte directement la protéine Spike.
 
Dans les deux cas, le corps subit une « colonisation » de protéines Spike… celles-là même qui sont identifiées par Circulation Research comme les responsables de l’inflammation vasculaire dans le cadre du Covid-19.
Il faut être prudent et éviter les conclusions hâtives, la science nous l’apprend chaque jour.
 
Mais depuis que nous savons que la protéine Spike est responsable de la perturbation des cellules endothéliales dans le Covid-19, la raison pour laquelle les vaccins anti-Covid provoquent des thromboses paraît moins mystérieuse !
 
Elle confirme que les laboratoires pharmaceutiques ont joué aux apprentis sorciers en manipulant des informations génétiques dont ils ignoraient une partie des répercussions.
Quelle ironie il y aurait, à ce que la protéine « manipulée » par les laboratoires pour combattre l’infection… soit en fin de compte la même que celle qui provoque une inflammation vasculaire systémique…
En clair, une injection avec l’un de ces vaccins ferait courir le risque de développer des symptômes du Covid… sans être contaminé par le virus… ! 
 
Là où l'histoire rejoint la tragédie, c’est que dans le cas de Pfizer, l’injection fait produire « à l'organisme lui-même » les protéines Spike, alors qu’avec AstraZeneca, on reçoit directement une cargaison de ces protéines. Or :
• depuis un an, on sait que le Covid-19 est une maladie provoquant une inflammation vasculaire des organes, et donc aussi des AVC ;
• depuis un mois, on sait que la protéine qui provoque cette inflammation vasculaire… est la même que celle sur laquelle reposent les vaccins anti-Covid.
 
Il y a quelques jours, le message vidéo d’un pompier de Lyon constatait, avec beaucoup d’émotion, que le nombre d’AVC augmentait significativement depuis le début de la campagne de vaccination anti-Covid. Bien entendu, ce pompier "fantasme"…
En réaction, le service de « checknews » du quotidien Libération affirmait à la hâte que :
 « Si la pharmacovigilance européenne a bien permis de détecter une augmentation de risque de thromboses rares (chez les sujets jeunes dans le cas du vaccin d’AstraZeneca), aucune donnée disponible ne suggère que le taux quotidien d’AVC ait évolué avec la campagne de vaccination.[4] »
Comprenez : « circulez, y’a rien à voir » …
 
On trouve le même type de langue de bois au sujet de l’efficacité réelle de ces vaccins. 
Le journal Le Monde titrait : « Covid-19 : les scientifiques tentent de comprendre l’origine des rares échecs vaccinaux » (notez bien le « rare »).
Or quand on lit l’article, le même quotidien annonce d’emblée que 50% des résidents vaccinés d’un Ehpad ont tout de même contracté le Covid-19 quelques jours plus tard [5] !
50% c’est « rare » ? 
 
À quoi joue l’Académie de médecine ?
L’Académie de médecine, de son côté, a publié mercredi 26 mai un avis pour rendre « obligatoires » les vaccins anti-Covid, estimant que pour atteindre l’immunité collective, 90% de la population devrait être vaccinée [6].
 
Il y a quelques mois encore, comme le rappelle un article (7) de France Info, on nous expliquait que c’était 70%, puis ce chiffre est monté à 75%... puis 80%... et maintenant 90%.
On devrait bientôt nous annoncer 100%, mais il sera difficile de faire plus !
 
Mais, car il y a encore un mais : puisque les vaccinés "tombent malades" eux aussi, malgré leur vaccination, cette fameuse immunité collective est donc un mirage, pour ne pas dire en langage plus direct une fumisterie et une escroquerie juste destinée à vendre du vaccin ?
Pourquoi ces changements réguliers ?
 
Autre affirmation troublante : l’attribution de la baisse actuelle des contaminations… aux vaccins.
Tout épidémiologiste sait que les infections baissent au retour des beaux jours. Une baisse très forte, identique à celle que nous vivons, s’est produite l’année dernière exactement à la même époque.
Mais cette fois, ce serait grâce aux vaccins…
Comment expliquera-t-on une possible nouvelle vague de contaminations à l’automne prochain malgré le taux de couverture maximale de vaccinations qui aura alors été atteint ?
On nous expliquera peut-être que c’est parce que pas assez de monde s’est fait vacciner.
Ou bien qu’il faille se faire injecter une troisième dose, comme Moderna vient de l’annoncer… alors qu’une telle éventualité n’avait jamais été évoquée.
 
Autre point important :
D'après une étude du Pr Michel Francourt, présentée lors d'un séminaire à l'IHU de Marseille, les anticorps générés par les vaccins ne reconnaissent pas ou peu la protéine Spike naturelle présente dans le virus qui a une configuration structurelle différente. La protéine Spike produite à partir des vaccins à mARN (Pfizer ou Moderna) ou des adénovirus recombinants (AstraZeneca, Johnson&Johnson) des vaccins contre laquelle les vaccinés font des anticorps n'est pas "maturée" comme la protéine "naturelle" présente dans le virus (pas de glycolysation).
A chacun de se faire son opinion.
La mienne est faite.
 
Sources :
[2] Rtsinfo.ch (23.04.2021). Le Covid-19, une inflammation vasculaire systémique qui peut toucher tous les organes. https://www.rts.ch/info/sciences-tech/11265304-le-covid19-une-inflammation-vasculaire-systemique-qui-peut-toucher-tous-les-organes.html
 
[3] Lei, Y., Zhang, J., Schiavon, C. R., et al. (2021). SARS-CoV-2 Spike Protein Impairs Endothelial Function via Downregulation of ACE 2. Circulation Research 128 (9) : 1323-1326. https://www.ahajournals.org/doi/10.1161/CIRCRESAHA.121.318902
 
[4] Anaïs Condomines, Jacques Pezet et Florian Gouthière (26.05.2021) Que sait-on de la vidéo d’un pompier de Lyon affirmant que les AVC après vaccination augmentent ? Libération https://www.liberation.fr/checknews/que-sait-on-de-la-video-dun-pompier-de-lyon-affirmant-que-les-avc-apres-vaccination-augmentent-20210526_K2ZT77AZZND4HMMPELMLZWTVZY/?xtor=EREC-21-%5BNL_CheckNews__27-05-2021%5D-&actId=ebwp0YMB8s1_OGEGSsDRkNUcvuQDVN7a57ET3fWtrS8jTgLX4U_EOPBin7vObI_a&actCampaignType=CAMPAIGN_MAIL&actSource=509454
 
[5] Herzberg, N. (26.05.2021). Covid-19: les scientifiques tentent de comprendre l’origine des rares échecs vaccinaux. Le Monde :
 https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/05/26/les-scientifiques-tentent-de-comprendre-l-origine-des-rares-echecs-vaccinaux_6081463_3244.html
 
[6] Le Figaro (25.05.2021). Covid-19 : L’Académie de médecine préconise de rendre le vaccin obligatoire. https://www.lefigaro.fr/sciences/covid-19-l-academie-de-medecine-preconise-de-rendre-le-vaccin-obligatoire-20210525
 
(7) https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/vaccin/vrai-ou-fake-covid-19-la-france-peut-elle-atteindre-l-immunite-collective-dans-le-courant-de-l-ete_4611829.html