Une mise au point incontournable sur tout ce qui est virus, variants, vaccins

Cette semaine, ma publication sur les statistiques hebdomadaires diffère un peu des précédentes. Un petit bilan intermédiaire s'avère indispensable, à la lumière des derniers développements de "l'affaire Coronacircus".

Nous voyons actuellement une infinité d'intervenants, en plus des "gouverne-mentaux" qui brandissent toutes sortes de statistiques qui démontrent …. Ce qu'on veut bien leur faire démontrer !

Non, je ne suis pas devenu fou (tout au moins je ne le pense pas…), mais en comparant les chiffres obtenus selon divers angles, nous n'obtenons pas du tout la même chose.

Pour simplifier, lorsqu'on regarde les cinq premiers graphiques ci-dessous (Haut-Rhin, Var, Marseille, Nice et Rhône), on en arrive à une conclusion inévitable et semble-t-il flagrante : Il n'y a actuellement plus rien, nous sommes même en-dessous des chiffres des années précédentes.

stat décès Ht Rhin 05.06.21

stat décès Var 05.06.21

stat décès Marseille 05.06.21

stat décès Nice 05.06.21

stat décès Rhône 05.06.21

Ces chiffres sont basés sur les annonces de décès parues dans tous les journaux régionaux français et qui sont accessibles ici.

Les décès concernent bien entendu toutes les causes confondues. Donc Covid-19, variants, vaccins, et toutes les causes habituelles de mortalité). Et reflètent donc une tendance à priori indiscutable.

Fort bien, mais encore ?

Mais, si l'on se réfère aux chiffres annoncés par l'Institut National de la Statistique et des Etudes Economiques (INSEE), qui se basent sur les annonces de décès de tous les bureaux d'état-civil français, on se rend compte, lorsqu'on cherche un peu plus loin, que la "réalité" des chiffres, à l'échelle nationale est un poil différente.

Selon ce vénérable institut, qui met en général 2 mois voire plus pour fournir des chiffres définitifs, on obtient les résultats suivants :

En décès cumulés depuis le début de l'année 2021, nous avons, à la date du 11 mai très exactement 257 254 décès. (voir le tableau suivant) Or, à la même date, en 2020, nous n'avions "que" 256 465 décès. Et en 2019 il y a eu 236 765. Alors qu'il y a eu, au moins dans certaines régions, un très net pic de mortalité, comme par exemple, dans le Haut-Rhin, tout comme la région Grand-Est, les Hauts-de-France, la Région Parisienne, Lyon et Marseille. Dans les autres régions, il n'y a rien eu, ou presque (voir par exemple le département du Var).

Pour mieux mettre en perspective ces chiffres bruts, nous avions en 2019 une année "normale", sans épisode grippal hivernal particulier. Elle peut donc constituer une base de comparaison par rapport à une "normalité".

Dans ce cas on obtient par rapport à 2019 :

2021

2020

2019

257 254

256 465

236 765

+ 20 489

+ 19 700

Référence

Premier point à considérer donc :

Entre le 1er janvier et le 11 mai de ces trois dernières années nous avons donc environ 20 000 décès de plus pour ces deux dernières années. Et le fait remarquable est que nous avons quasi le même nombre en 2021 qu'en 2020. En graphique nous obtenons ceci :

stats décès 2019 2021 au11mai

La courbe bleue représente 2021, celle orange, 2020 et la grise 2019.

En observant 2019 on voit parfaitement "l'épidémie" grippale hivernale habituelle, puis la décroissance habituelle aussi.

Or, en 2020 il n'y a pas eu d'épisode grippal en début d'année. Nous étions largement en-dessous de 2019.

Par contre, le "pic" a commencé très exactement au début du confinement pour prendre fin dans les derniers jours d'avril.

Or, cette année 2021, nous sommes EN PERMANENCE au-dessus de l'épisode grippal 2019 ET surtout de 2020 !!!

Si l'on regarde d'encore un peu plus près, ce qui se passait AVANT le 1er janvier 2021, nous arrivons à ceci :

Toujours en orange, 2020 et en gris 2019.

stat décès fin dannée

Là nous constatons qu'il y a eu en 2019 un petit pic vers la fin juillet (et un pic équivalent vers la mi-août en 2020) pendant les périodes de canicule. Puis, en 2019, à partir de fin septembre, une lente et régulière augmentation, comme chaque année.

Mais, en 2020, nous assistons à une véritable "envolée" à partir de fin septembre. Que s'est-il passé ?

A partir de fin août, le port du masque a été généralisé, même en extérieur et par temps de canicule, qui cette année-là a durée jusque vers le 10 septembre. Et les décès ont continué d'augmenter jusqu'à début novembre, sans jamais redescendre aux niveaux de 2019. Au contraire, vers la mi-décembre une légère augmentation, jusqu'à fin janvier 2021. Et la muselière est toujours obligatoire, en tous cas jusqu'à fin juin 21, et ensuite au bon vouloir des préfets… Qui ne manqueront pas de faire du zèle…

Plusieurs autres "causes" peuvent être attribuées à cet "excédent".

En commençant par le plus logique : le coronavirus en lui-même. Seulement est-on bien sûr que ce n'est que lui le coupable ?

Car en regardant cette courbe orange, on ne peut que rester pensif devant la performance absolument extraordinaire de la boule de cristal de Mme Irma du Conseil Scientifique gouvernemental qui a réussi à bloquer tous les soins et incarcérer toute la population le jour même où le nombre de décès s'est envolé, le 17 mars 2020.

A moins que ce ne soit le blocage de tous les soins hors Covid graves (et l'on sait maintenant que mettre sous respirateur des gens qui n'en avaient pas besoin n'était pas des soins, mais de la non-assistance à personne en danger de mort). Pas plus que de conseiller à tous ceux qui n'étaient pas au bord de l'asphyxie de rester chez eux en prenant du paracétamol … Et d'interdire tout traitement éventuel.

A noter que depuis la fin avril 2020 nous étions de nouveau revenus à une année tout à fait NORMALE. Et que l'on est revenu à une situation anormale que lorsqu'on a recommencé des "mesures" de mascarade, de confinement et de couvre-feu.

Une première question incontournable se pose donc : ces "mesures" sensées nous protéger ne font-elles pas exactement le contraire de ce qu'elles sont supposées faire ?

La deuxième question : la vaccination a été lancée en Grande-Bretagne le 8 décembre 2020. Chez nous, officiellement le 30 décembre, mais en fait très timidement début janvier, avec les "cafouillages" habituels.

Le premier des "variants", l'anglais, a été détecté à la mi-décembre. Mais remonterait, selon Le Monde, (baveux conspirationniste s'il en est), en fait avant l'introduction de la vaccination. Il ne faut pas quand même que le lien soit trop évident…

Alors que ces "variants" sont apparus dans les divers pays au fur et à mesure de l'introduction des vaccinations, dans l'ordre, Angleterre, Afrique du Sud, Brésil pour les premiers…

Toujours est-il que si l'on regarde ce qui suit, on se gratte l'occiput jusqu'au sang, et ceci pour plusieurs raisons :

stat cas grande bretagne variant

https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2021/02/19/comment-le-variant-britannique-menace-de-destabiliser-l-epidemie-en-france_6070563_4355770.html

Dans ce graphique la courbe rouge représente le nombre de "cas" Covid-19. Or, cette courbe semblerait vouloir démontrer que le "petit" confinement entre novembre et décembre était efficace, et aussi (et surtout) que le deuxième confinement (et du coup, la vaccination) l'était aussi.

Mais si l'on lit (et comprend) le texte "Précision" sous le graphique, il en ressort que la courbe bleue, elle, représente, je cite : "les tests RT-PCR qui ont échoué à détecter LA PROTEINE DE SPICULE du Sars-Cov2" !!!

Donc, QUE REPRESENTE cette courbe en fait ? Puisqu'on nous dit aussi que ce QUI N'EST PAS le Sars-Cov2 peut "aussi englober d'autres variants", donc d'autres virus. Donc… n'importe quoi !

Et là nous arrivons au point crucial actuel :

Est-ce que la vaccination, avec le confinement, ne sont pas tout simplement les catalyseurs de nouveaux virus (appelés à mon sens improprement "variants").

Et donc une question absolument essentielle et beaucoup plus générale se pose à la lecture de cette "précision" :

D'après ceci, les tests RT-PCR ne rechercheraient pas un fragment du génome du virus à proprement parler, MAIS UNIQUEMENT la protéine SPIKE (spicule) de l'enveloppe du virus !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Et que dans ce cas donc, il est tout à fait NORMAL que les personnes "vaccinées" soient positives après leur injection. Puisqu'on oblige leurs cellules corporelles à fabriquer cette protéine Spike. D'ailleurs de l'aveu même des fabricants, on ne sait pas pendant combien de temps ni à quelle "intensité". Ce qui en soi pose d'autres problèmes.

Et que ces mêmes personnes injectées sont potentiellement contagieuses pour toutes celles susceptibles de développer les symptômes liés à cette protéine. Et non pas les symptômes grippaux – plus ou moins bénins - du virus à proprement parler.

Protéine spike que l'on admet maintenant ÊTRE TOXIQUE. Et pouvoir provoquer à elle seule, des problèmes sanguins GRAVES. A l'origine d'AVC, et de toute une panoplie de problèmes cardiaques MORTELS !

On comprend donc que la courbe bleue monte, puisqu'en fait elle détecte les "producteurs" de protéines spike fabriqués et mis en circulation par les vaccinés ! Qui ne correspondent plus à la spike "originale". Forcément.

A quoi joue-t-on, en fait ?

Aux apprentis-sorciers ?

Ou au pire, les initiateurs de cette folie savent-ils pertinemment ce qu'ils font ?

Nous avons eu amplement la preuve jusqu'ici que la majorité de la population n'a strictement rien à craindre du virus, même si celui-ci est partiellement ou totalement artificiel, et que son "apparition" soit naturelle, accidentelle ou préméditée et organisée. N'oublions pas que ceux qui l'ont éventuellement semé intentionnellement (je dis bien éventuellement !), respirent comme nous et qu'il n'est pas acquis qu'un antidote parfait soit disponible pour eux. D'autre part, quelque chose de trop "virulent" éveillerait forcément des soupçons…

99.96% de la population en France, soit en guérit soit n'en a aucun symptôme. Ce seul chiffre devrait faire réfléchir les peureux qui pensent qu'une injection expérimentale peut les "sauver". De toutes façons, même "l'expérience" in vivo actuelle sur la population générale achevée, les résultats seront biaisés et faussés de façon à dissimuler ce qui ne va pas dans le sens des profits des vendeurs et de leurs promoteurs de ces produits expérimentaux.

C'est le principe fondamental de la pharmacie "chimique". Mise sur pieds par un certain Rockefeller.

Voir à ce sujet l'ouvrage de Peter Goetsche REMEDES MORTELS ET CRIME ORGANISE.

Dans ce cas, la conclusion s'impose. Non ?

 

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