27 juin 2021 Virus et vaccins quelques réalités incontournables

Pour rester cohérent, je vais m'appliquer à rester dans l'optique pasteurienne de la contagion, de la transmission virale et de la théorie vaccinale. Bien que personnellement, après plus de 40 ans de recherches dans le domaine de la médecine et plus de 20 ans surtout dans le domaine précis de la vaccination, j'ai une optique quelque peu différente sur le rôle pathogénique des virus, tel qu'il est supposé et admis "officiellement" (Qu'un virus donné soit forcément responsable d'une maladie précise).

Cela étant, il est bien entendu hors de question pour moi d'inciter quiconque à se faire vacciner ou pas, je ne fais que donner des éléments de réflexion. De plus je ne voudrais en aucun cas alimenter la terreur et panique gouvernementale surmédiatisée ad nauseam. Mais uniquement tenter de donner une information la plus complète possible sur ce que nous croyons savoir aujourd'hui.

VIRUS :

Les coronavirus seraient une spécialité du règne animal. Bien que dans certains cas, (et peut-être beaucoup plus souvent qu'on ne veut bien l'admettre) la "barrière des espèces" peut être franchie. Tout le monde se rappelle la jolie comptine d'école maternelle de la chauve-souris qui se lâche sur un pangolin non identifié à 1000 kilomètres de son nid, ce pangolin inconnu étant finalement passé à la casserole par un chinois, ou une chinoise tout aussi inconnu(e). Même l'OMS ne peut plus continuer à faire semblant d'y croire.

Depuis le début, et encore maintenant, on nous affirme que le Covid-19, nommé aussi SARS-CoV-2 serait identique à plus de 80% à la mouture précédente, le Sars-Cov-1 (en français : Syndrome Respiratoire Aigu Sévère). Dont l'origine est tout aussi romancée que le cru actuel (à l'époque, c'étaient les "amours improbables" d'une chauve-souris et d'une civette qui en seraient à l'origine). Ce Sars-Cov-1 aurait causé, nous dit-on, une première épidémie entre 2002-2004, partie elle aussi, quelle coïncidence, de Chine.

Pourtant,  cette épidémie s'est éteinte sans aucun vaccin, sans aucun traitement spécifique, sans aucune incarcération généralisée, et après avoir fait sur l'ensemble de la planète (environ 39 pays seulement et surtout en Extrême-Orient) une hécatombe monstrueuse de 8096 cas "probables" et de 774 décès tout aussi probables du coup. En 2012 on nous remet le couvert et on nous fait le coup du MERS (Syndrome respiratoire sévère du Moyen-Orient, qui a lui, été arrimé sur la bosse des dromadaires et des bédouins qui les drivent : bilan encore plus énormissime par sa nullité 1219 cas et 449 décès sur toute la planète…). La petite histoire ne nous dit pas quels tests ont été utilisés pour déterminer le nombre de cas, ni le nombre réel de cas, tout comme aujourd'hui d'ailleurs …

Le célébrissime Sars-Cov2, alias Covid-19, malgré cette très proche parenté de plus de 80% avec son ancêtre, aurait réussi lui, l'exploit de faire à ce jour 177 millions de cas, et près de 4 millions de décès au niveau mondial. Disproportion à priori inexplicable. Sinon peut-être par la parfaite synchronisation des surmortalités de certaines régions seulement avec les mesures restrictives et liberticides. Tous les chiffres officiels sont aujourd'hui "gonflés" à souhait pour semer une panique totalement disproportionnée aux risques réels. Au point qu'il est politiquement interdit aujourd'hui de trépasser d'autre chose que du coronacircus. Dans le Var, comme dans la majorité des départements français, il n'y a pas eu de première vague, au printemps 2020, ni ce cas, ni de décès !!! Nous étions jusque vers la fin août en-dessous des années précédentes. Jusqu'au moment de la généralisation du port du masque par temps de canicule. A noter qu'en juin 2019 il y a eu une canicule qui a causé un pic de décès ponctuel à côté duquel le coronacircus brille par na nullité.

Il existe pourtant depuis très longtemps 4 coronavirus dont le génome aurait été séquencé intégralement et dits "humains", car ils ne causeraient chez l'être humain que des symptômes grippaux du même ordre de gravité que ceux de la grippe saisonnière et seraient responsables d'environ 30% des rhinites hivernales. Ce qui, au passage, rend d'autant plus ridicule la vaccination "contre" la grippe saisonnière…. Où chaque année au printemps on entend la même chanson : "le vaccin cette année a été un peu moins efficace, car les virus en circulation ne correspondaient pas ou pas assez à ceux en circulation effective". Après en début de saison hivernale un matraquage marketing honteux "N'oubliez pas de vous faire vacciner"…

Il y aurait à ce jour en France, un peu plus de 110 000 décès "liés" au Covid19 (On n'ose plus dire DU covid !) depuis le début de l'épidémie pour un peu moins de 6 millions de (faux) "cas". [Voir la fiabilité des tests RT-PCR]

Or, pour toute l'année 2020 il n'y a eu, en chiffres bruts et toutes causes confondues "que" 69554 décès supplémentaires selon les stats de l'INSEE par rapport à 2019. [Voir annexes]

Alors qu'au mois de janvier 2017, il y a eu 66 990 décès, et en avril 2020, au plus fort de la panique covidienne il n'y en a eu "que" 65 335. Personne n'a parlé de mascarade, d'incarcération en 2017. Ce n'était pas de la non-assistance à population en danger de mort ?

Je passe sur les chiffres de surmortalité réelle que je vous laisse redécouvrir dans mes divers articles sur le site du Collectif, et je vous rappelle juste que 99.95 % de la population mondiale, soit l'immense majorité n'a aucun symptôme du Covid, ou en guérit. 0.05 % donc décèdent AVEC PEUT-ETRE LE COVID. Pour les quelques personnes (dont le nombre réel est surmédiatisé) et souffrant de symptômes persistants (perte d'odorat, de goût, fatigue, etc.) Dont une partie inconnue serait aussi due à des tests PCR effectués par des personnes qui ont manié l'écouvillon de façon inadaptée en blessant la lame criblée de l'ethmoïde et donc les nerfs olfactifs à l'endroit où ils pénètrent dans le cerveau via la barrière hématoencéphalique.

Aujourd'hui ce n'est plus tellement le virus du covid lui-même, donc la capside virale et son contenu, qui est soupçonné de causer les formes graves, mais bel et bien la protéine Spike. Ce qui va m'amener au vaccin.

barrière ethmoide

Enfin, tout dernier point sur le virus, il est de plus en plus établi que la transmission virale par des personnes, quel que soit leur âge, enfants ou vieillards, non malades (asymptomatiques) est totalement fausse. Et de ce fait n'a servi qu'à "justifier" les mesures d'incarcération de toute la population. Alors qu'une attitude plus sensée aurait été de n'isoler que les personnes manifestement et cliniquement malades. Ce n'était pas le but recherché …

Vaccin :

Encore une fois, je reprécise ici que je n'ai, en aucun cas, l'intention de stigmatiser qui que ce soit, autant ceux qui décident de se faire vacciner, que ceux qui décident de ne pas le faire. Ceci doit être et rester le libre choix de chacun. Bien que pour les autorités sanitaires et politiques (ce sont les mêmes), la seule planche de salut de l'humanité est la vaccination généralisée de plus de 7 milliards d'individus. Alors que les vaccins contre la grippe saisonnière sont eux généralisés depuis plus d'un demi-siècle … et que la grippe saisonnière est toujours là, même si le cocotruc lui a volé la vedette… Ce qui, à environ 15 euros la dose de vaccin actuellement, représenterait un chiffre d'affaires de plus de 100 milliards pour les fabricants de vaccins.

Or, d'après la fiche publiée par le dictionnaire Vidal,  livre de chevet et bible de la prescription du généraliste, sur le vaccin Pfizer  par exemple, on peut lire à propos de ce vaccin, qui se targue d'une efficacité de 95% après la deuxième injection, (mais après la première seulement 52.4% - admirez la précision de ce dernier chiffre !) :

  • "Son efficacité n'est pas confirmée contre les formes graves ou asymptomatiques, ni pour les personnes de plus de 75 ans.
  • On ne sait toujours rien de la durée de l'éventuelle immunité, (qui semble se raccourcir de plus en plus, le nombre d'injections pour certains vaccins ne cesse d'augmenter),
  • Ni sur la protection des personnes le plus à risque de formes sévères,
  • Ni sur la transmission du virus par les personnes vaccinées,
  • Ni sur la toxicité que ce soit à court terme ou à plus ou moins long terme.
  • Enfin, il ne protègerait que contre les formes bénignes, et seulement les personnes n'ayant jamais été infectées par le Covid 19. "

Fin de citation Vidal.

[Note D.B. : A noter que pour les personnes ayant été précédemment infectées, non seulement on déconseille maintenant une deuxième injection, (ces personnes seraient plus susceptibles de développer des complications éventuellement graves). D'autre part il est impossible de savoir qui a été réellement infecté ou non, sauf à tester les anticorps en continu de chaque individu. Ce qui est non seulement impossible, mais entièrement illusoire, puisque les tests RT-PCR sont totalement inadaptés à ce qu'on leur demande de faire, ils ne sont en aucun cas un outil de diagnostic, et donc leur résultat ne veut strictement rien dire, qu'il soit positif ou non]. A noter aussi que selon le site internet de la Banque Mondiale il se vendait depuis fin 2017 pour des millions de tonnes et des milliards de dollars à travers toute la planète de "Kits de tests Covid 19". Qui ont été rebaptisés ensuite en "Kits de tests médicaux".] (voir annexe)

Donc, selon le Dictionnaire Vidal, le vaccin ne protégerait que des formes bénignes des personnes qui n'ont jamais été infectées. Sans savoir si elles ne seront pas contagieuses pour leur entourage, ni si elles sont réellement protégées et quels sont les risques qu'elles encourent, et qu'elles font courir à leur entourage. C'est le noir absolu.

Autre fiche Vidal concernant les 3 vaccins Covid

Pour info la fiche Vidal du vaccin Moderna

Et celle du vaccin AstraZeneca/Vaxzevria où il est clairement spécifié de ne pas mélanger les vaccins mARN (Pfizer/Moderna) avec AstraZeneca/Vaxzevria. Contrairement à ce qui a été claironné par nos "protecteurs" : "Un schéma vaccinal débuté avec un vaccin (une spécialité) doit être terminé avec ce même vaccin". 

Pharmacovigilance des vaccins Covid.19

VARIANTS

Ces dernières semaines, de plus en plus d'études, tendent pourtant à expliquer l'origine des formes graves et persistantes du Covid 19 ainsi que des "variants". Et de ce qui commence à ressembler à des complications post-vaccinales graves, bien que reniées vigoureusement jusqu'ici…. Comme d'habitude.

Ces formes graves de Covid 19 seraient dues à la toxicité de la protéine Spike du virus et non pas au virus grippal lui-même. Cette protéine, qui serait la signature principale du covid 19 et la clé d'entrée dans nos cellules, permettrait à notre organisme de l'identifier et de produire des anticorps ciblés contre cette protéine pour l'éliminer. Et donc éliminer aussi le virus dans le cas de l'infection "naturelle". En théorie. Bien entendu la toxicité possible de cette protéine est aussi vigoureusement contestée par le marketing vaccinal et ses représentants de commerce.

Or c'est précisément un fragment de cette protéine, et seulement sous une forme APPROCHANTE de la protéine d'origine du Cocotruc millésime 19, que les cellules corporelles des gens vaccinés vont "fabriquer" grâce à l'ARN messager injecté. Selon les fabricants de ces produits, pendant un temps très court (quelques jours : on avance prudemment 15 jours, mais en fait on n'en sait rien, ça peut être très variable d'un individu à l'autre). Ni en quelle quantité ni à quelle intensité. On essaie de justifier cela par le fait que l'ARN messager naturel (celui fabriqué par notre propre ADN et non pas celui viral ou vaccinal) se dégrade rapidement après avoir fait son boulot. Mais personne ne sait s'il en sera de même avec un ARN entièrement synthétisé qui plus est, avec des nanoparticules !!!

Ces nanoparticules, contrairement aux premières affirmations ne restent pas uniquement sur le site de l'injection. Une partie va pouvoir entrer dans la circulation sanguine (au moins via les cellules du derme et des tissus musculaires "blessées" par le trajet de l'aiguille de la seringue). Ce qui veut dire que ces nanoparticules peuvent se retrouver N'IMPORTE OÙ dans notre organisme. Et on ne sait rien non plus sur l'élimination de ces nanoparticules. Ce sujet est extrêmement controversé.

On ne sait donc pas pendant combien de temps ni à quelle intensité l'organisme de chaque personne produira ces protéines Spike, non seulement différentes à la base de celles du virus d'origine, mais aussi, forcément du fait du terrain microbiologique (bactérien et viral) différent de chaque personne. Il n'est absolument pas établi que les cellules personnelles de chaque vacciné vont fabriquer la "photocopie" exacte du "modèle" d'origine. Et de là, à quel point on pourrait obtenir malgré tous ces "à peu près", une forme d'immunité croisée, donc forcément partielle, autant avec les "variants" qu'avec le virus d'origine qui entretemps a perdu son agressivité première.

On en arriverait donc, au moins théoriquement, à fabriquer autant de "variants" que d'individus vaccinés. Et cela semble confirmé par les variants qui fleurissent actuellement, dont l'apparition se fait dans l'ordre précis de l'introduction des vaccinations dans les divers pays (GB, Afrique du Sud, Brésil, etc.).  Bien que le lien soit toujours nié, bien évidemment. Cela dit, jusqu'ici les courbes de soi-disant "cas" de variants et celles de décès ne montrent aucun rapprochement. Malgré les cris d'orfraie des gouvernements ces variants ne semblent pas du tout dangereux. Pas plus que le virus d'origine d'ailleurs

On ne sait pas non plus comment réagiront les personnes vaccinées aux protéines spike, d'une part qu'elle fabriquent, ni d'autre part ce qui se passera si elles "rencontrent" le virus "sauvage" couronné de la spike originelle ou celle d'un variant. Surtout pour les personnes qui étaient susceptibles de développer des formes graves en cas de "contamination" par le virus "sauvage". On force ainsi les vaccinés à produire des protéines potentiellement toxiques, sans savoir si leur organisme va "supporter le choc". Il semble que ce point est très loin d'être aussi rose que ce qui nous a été présenté au départ du marathon vaccinal covidien. D'autre part, il est potentiellement probable que les personnes vaccinées peuvent disséminer autour d'elles les protéines spike qu'elles fabriquent. Cela s'appelle la dissémination vaccinale qui est étudiée dans les vaccinations de hardes d'animaux sauvages. Par exemple les gorilles qui seraient responsables des épidémies d'Ebola. Dont on vaccine un individu qui va transmettre son vaccin à ses congénères au lieu de transmette la maladie. Toute analogie avec la protéine Spike du Cocotruc n'est que du plus profond conspirationnisme, bien entendu. Et comme le disait si bien le Professeur Didier Raoult, les lanceurs d'alerte devraient être sanctionnés…

Quelques précisions importantes concernant cette protéine spike :  Selon Hélène Banoun, pharmacienne-biologiste qui a exposé les points suivants lors d'une des dernières séances du Conseil Scientifique indépendant :

  • La protéine spike présente des homologies avec certaines protéines humaines, d'où un risque non nul de maladies auto-immunes.
  • L'élimination de la protéine spike injectée sera au moins plus lente que celle du virus d'origine. (Pour autant que ce soit possible, étant donné sa structure nanoparticulaire). Beaucoup de scientifiques affirment que l'organisme humain serait incapable de gérer, donc d'éliminer, les nanoparticules.
  • Pour les asymptomatiques, (le mucus nasal) une  une barrière mucosale saine élimine le virus sans aucun besoin d'anticorps. Alors que le vaccin outrepasse cette barrière naturelle par l'injection IM (intra-musculaire). [Note D.B. : C'est un des nombreux problèmes de la vaccination en général, puisqu'on injecte une maladie modifiée (atténuée ou inactivée) en court-circuitant une partie des barrières naturelles, tout en espérant obtenir des anticorps suffisamment proches des pathogènes que l'on veut "combattre". Sachant que ce qu'on appelle un peu schématiquement "système immunitaire" de se réduit pas, et de très loin à l'unique production d'anticorps. La vaccination ignore par exemple totalement le système HLA (Human Leukocyte Antigen) qui est propre et différent à chaque individu. Ainsi que la communication intercellulaire chimique et énergétique.]
  • Il peut y avoir des réactions auto-immunes après la vaccination par production excessive d'anticorps non nécessaires.

La protéine ACE2 est nécessaire à l'entrée du virus Sars-Cov2 dans les cellules hôtes.

Cette liaison ACE2 participe entre autres à la régulation de la tension artérielle.

toxicite spike liaison ACE 2

Il semble désormais établi que, dans les phases avancées de l’infection, ce n’est pas la charge virale elle-même qui est en cause, mais l’emballement de l’inflammation et les conséquences biologiques de cette dernière qui expliquent la gravité de certains cas de Covid-19 et de réactions post-vaccinales. 

Thromboses :

Contrairement à ce qu'on a essayé de faire croire, ce sont bien les vaccins à mARN (Pfizer – Moderna) qui provoquent le plus de thromboses, et non pas l'AstraZeneca (alias Vaxzevria).

 toxicite spike thrombose

Neurotoxicité de la protéine Spike :

toxicite spike neurotoxicite

Voici toute une série de liens vers des études publiées dans différents sites tout à fait officiels et qui suggèrent très fortement que le Covid-19, avec sa protéine spike peut pénétrer dans le cerveau en franchissant la barrière hématoencéphalique. Et ainsi endommager le cerveau du fait de la toxicité de cette protéine, que celle-ci provienne du virus ou du vaccin.

https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.05.25.21257353v1.full.pdf

Considérations autour de la protéine de pointe SARS-CoV-2 avec une attention particulière à l'infection cérébrale COVID-19 et aux symptômes neurologiques

Passage de la barrière hématoencéphalique

https://search.bvsalud.org/global-literature-on-novel-coronavirus-2019-ncov/resource/en/covidwho-983666

La recherche suggère fortement que le Covid19 peut pénétrer dans le cerveau

https://www.sciencedaily.com/releases/2020/10/201029141941.htm

https://www.reddit.com/r/askscience/comments/nhcl0o/mrna_vaccines_what_become_the_lnps_that_cross_the/

https://www.ema.europa.eu/en/documents/assessment-report/comirnaty-epar-public-assessment-report_en.pdf

Cette étude offre une explication supplémentaire des symptômes respiratoires, suggérant que le virus peut entrer et affecter la partie du cerveau qui contrôle la respiration. Cette découverte est corroborée par des expériences qui ont montré que les protéines S1 sont transportées plus rapidement vers le cerveau chez les hommes que chez les femmes, ce qui pourrait expliquer pourquoi les hommes sont plus sensibles aux conséquences graves du COVID-19.

Cas de myocardite chez des hommes jeunes – âge médian 28 ans

Encore quelques précisions :

Beaucoup de bruit a été fait autour de la modification possible de notre propre ADN corporel via l'ARN injecté. Ce risque est bien entendu vigoureusement déclaré impossible par les promoteurs de ces produits. Puisque toute thérapie génique humaine est (au moins officiellement) interdite.

Le problème réside dans le fait que les mêmes virologues qui renient cette possibilité, admettent en revanche l'existence de virus à ARN (les coronavirus du règne animal essentiellement, mais aussi ceux de la Rougeole, Oreillons, rubéole, et les entérovirus) et, surtout ce qu'on appelle des "rétrovirus", comme certains virus oncogènes (cancérigènes) tel celui du sarcome de Rous (RSV) ou le VIH qui serait responsable du Sida.

Dans les deux derniers cas, les rétrovirus, dont les découvreurs ont été couronnés d'un prix Nobel, on admet donc que le codage "normal" de l'ADN vers l'ARN peut aussi dans certains cas s'effectuer en sens inverse (d'où le terme rétro-virus) donc de l'ARN vers l'ADN. Or les fabricants de ces pseudos-vaccins, prétendent que notre ADN cellulaire est "protégé" par une membrane imperméable. En théorie, Oui, elle PRIVILEGIE les communications vers "l'extérieur", mais cette membrane peut, dans certains cas, permettre des échanges DANS LES DEUX SENS, donc aussi vers l'ADN. Le risque d'insertion de l'ARN vaccinal dans l'ADN de nos cellules corporelles, même si jusqu'à preuve du contraire est faible, n'est pas nul. A noter que le principe de transcriptase inverse est appliqué dans les tests RT-PCR lors de la première étape qui consiste à "convertir" l'ARN viral prélevé en ADN quantifiable par le test (RT = Remote Transcryptase), donc le "transcodage" d'une information au départ au "format" ARN en information au "format" ADN est possible. Ce processus a d'ailleurs été démontré in-vitro. L'activité de transcriptase inverse puis insertion dans l'ADN existe dans le sperme, l'embryon, les cellules tumorales, les cellules immunitaires, les maladies auto-immunes comme le lupus par exemple.

Insertion permanente du gène de S dans lADN humain insertion dans le génome cas du foetus bovin

A mentionner encore le risque de maladies neurodégénératives dues au prion, étant donné que la protéine Spike contient 5 motifs de glycine…

maladies neurodégénératives dues au prion

Conclusion :

  • Est-il raisonnable au vu de toutes ces questions non résolues de vouloir vacciner la planète entière contre une maladie qui ne touche que moins de 0.1 % de la population ? Même si tous les phases de tests étaient terminées et VRAIMENT positives ? Et non pas biaisés comme ils le sont depuis toujours. Et que les laboratoires ont été totalement dédouanés de toute responsabilité par les divers gouvernements.

Au nom du mirage de la sacro-sainte immunité collective, qui pour les joueurs de fléchettes empoisonnées n'est envisageable qu'avec leurs bouillons de culture relevant de la sorcellerie moyenâgeuse et non pas de la science dont elle se targue, on veut injecter à la planète entière une chimère infecte.

Cette immunité n'a jamais été atteinte, pour n'importe quelle maladie, quel que soit le chiffre qu'on lui attribue. Et elle ne serait envisageable que, et seulement que si les vaccinés ne pouvaient en aucun cas ni contracter quand même la maladie en question, ni contaminer leur entourage. Ces deux points ne sont à l'évidence pas remplis en ce qui concerne le cocotruc, ce qui rend caduque toute idée d'immunité de troupeau.

Israël avoue que 40% des nouveaux cas sont des personnes entièrement vaccinées.

La Grande-Bretagne en avoue, elle, la moitié soit 20 % de vaccinés dans les nouveaux cas.

Etant donné ce que nous avons vu précédemment, je laisse le soin à ceux qui veulent malgré tout se faire vacciner, que ce soit par peur, ou parce qu'ils pensent pouvoir revivre "comme avant" (à tort, puisque depuis le début, nous, d'autres faire la fête, aller au spectacle, sortir, voyager, de prendre leur responsabilité, puisque personne ne la prendra à leur place. En espérant qu'ils puissent encore voyager au-delà de 6 à 18 mois….

Sachant que personne de ceux qui veulent tous nous vacciner – que j'appelle les fanatiques de la seringue - n'a, semble-t-il, (je l'espère tout au moins, autrement c'est très grave) la moindre idée de ce qui se passera réellement dans les semaines, mois et années à venir, et qu'ils font d'ailleurs signer avant l'injection une décharge qui établit de facto que vous acceptez de jouer le rat de laboratoire d'un essai humain à l'échelle planétaire. Puisque les laboratoires ont été totalement dédouanés de toute responsabilité par les divers gouvernements.

Il est donc pas outrancier d'affirmer qu'il n'y a à priori, en l'état actuel des connaissances, AUCUNE raison sensée de se faire vacciner avec ces produits, encore infiniment moins qu'avec n'importe quel autre vaccin. Cela dit, le choix de se faire vacciner ou non devrait dans tous les cas rester dans le domaine médical et personnel, et en aucun cas devenir une contrainte politique et économique. En respectant le choix de chacun, dans un sens ou l'autre.

En Grande-Bretagne, à ce jour, plus de 80% de la population serait entièrement vaccinée (2 doses). Or, le nombre de "cas" repart à la hausse de façon soi-disant catastrophique. (Jusqu'ici pas les décès). Donc malgré un taux de vaccination qui atteint le fameux (fumeux ?) taux de couverture vaccinale pour tenter d'atteindre l'illusion de l'immunité collective (ou à cause ???) le cocotruc a plus d'un tour dans son sac, et se balade toujours. Au nez et à la barbe des Don Quichotte / Jupiter et autres pourfendeurs de virus qui lui ont déclaré une guerre ridicule mais sans merci. Bien entendu, à l'automne, on augmentera de nouveau le CT des tests ce qui permettra de recréer des faux positifs à la pelle, et on profitera du coup de l'arrivée de l'automne et de l'hiver pour rétablir une psychose totalement injustifiée, puisque tous les ans nous retrouvons la même saisonnalité dans l'apparition des symptômes grippaux et des décès. Mais on dira que c'est la faute des non-vaccinés… Jusqu'à ce qu'il faille admettre qu'il n'y a pas que des non-vaccinés dans les "cas"…

Je pose une toute dernière question au sujet de la sacro-sainte couverture vaccinale qui est LE grand crédo de la secte des fanatiques de la seringue :

Si les vaccins sont efficaces, qu'ont donc les personnes vaccinées à craindre de celles qui ne le sont pas, puisqu'elles sont censées être protégées par leur vaccin ?

Et, au contraire, si les vaccins ne sont pas efficaces (ce qui tend à ressortir de l'état actuel de la réalité du "terrain"), pourquoi se faire vacciner ?

Pour protéger les autres ? Si je ne suis pas malade, je ne vois pas de quoi je pourrais protéger autrui. Et si le suis-je n'ai besoin de personne pour me dire de rester chez moi. A noter que la même remarque peut s'appliquer au port du masque généralisé, à l'extérieur par temps de canicule, par des personnes bien portantes …

Une vaccination expérimentale[3] « pour protéger les autres » est contraire aux règles éthiques de l’Association Médicale Mondiale[4] et au serment d’Hippocrate. Mais en période de guerre et d'état d'urgence les lois "normales" n'ont plus aucune valeur.

On commence à oser dire prudemment sans se faire immédiatement guillotiner ou passer au bûcher, qu'une personne sans symptômes donc pas malade, n'est pas contagieuse …

Depuis 18 mois, nous essayons de ne pas nous laisser asphyxier par l'absurdité de la célèbre phrase du Dr Knock, a qui Jules Romain, dans son livre "Le triomphe de la médecine" au début des années 1920 déjà, faisait dire : "Tout bien portant est un malade qui s'ignore". Au plus grand bénéfice des vendeurs de chimères brevetées depuis plus d'un siècle.

Cette phrase célèbre est aujourd'hui poussée à l'absurdité la plus horrible.

N'oublions pas que toute la théorie vaccinale repose sur deux erreurs (si on reste gentil) ou deux mensonges (si on regarde la réalité en face) :

Le premier le 14 mai 1796, lorsqu'un médecin de campagne anglais Edward Jenner vaccine le jeune James Phipps (8 ans) et le déclare "immunisé" contre la variole grâce à son injection de vaccine de vache. Pourtant, les journaux de l'époque témoignent de flambées varioliques dans les villes et pays qui avaient vacciné en masse. Contrairement à ce qui est toujours claironnée, la variole n'a pas été éradiquée par le vaccin, mais uniquement par l'endiguement obtenu par l'isolement des personnes malades (Même l'OMS l'admet du bout des lèvres, en n'éliminant pas totalement l'hostie vaccinale …). C'est la première escroquerie des fanatiques de la seringue.

Le deuxième mensonge a eu lieu un siècle plus tard, le 6 juillet 1885, c'est le célébrissime Louis Pasteur, chimiste de son état (et escroc pour ses détracteurs), ni médecin, ni biologiste, mais "protégé" du couple impérial de l'époque, tout particulièrement de l'Impératrice Eugénie. Son unique "cas" : le petit alsacien Joseph Meister (9 ans) que sa maman lui a providentiellement amené d'Alsace deux jours après avoir été mordu, (d'autres personnes autour de lui, notamment le maitre du chien a aussi été mordues) par un chien SUPPOSE enragé (… ce qui n'a jamais été prouvé). Aucune des personnes mordues, non vaccinées, n'a été malade. Pasteur a pourtant prétendu que c'est grâce aux injections de sa "potion magique antirabique" que le petit Joseph a survécu. Ce qui est totalement abusif, puisque rien ne prouve que le chien fût enragé, et de plus qu'il aurait développé la rage s'il n'avait pas été vacciné.

Toute la théorie vaccinale repose sur ces deux "cas". Et ne tient compte que de ce que la science actuelle est capable de mesurer : de vagues anticorps. Qui dans les vaccins traditionnels sont plus dirigés contre les adjuvants (sans eux les vaccins ne fonctionnent pas, selon un cadre de GSK).

Dans le cas du produit cocotruc, la prudence s'impose d'autant que tous les laboratoires en lice dans l'arène financière du Messie Vaccin ont TOUS été condamnés pour diverses fraudes à coup de millions de dollars. Pfizer décrochant magistralement la couronne avec 2,3 milliards de dollars pour diverses fraudes ….

Depuis la médecine a est lancée sur une voie sans issue. Mais tellement rentable.

J'invite toute personne qui voudrait en savoir d'avantage d'aller à Barjols dimanche prochain, 4 juillet à la conférence du Dr Stefan Lanka et de s'intéresser à ses ouvrages qui donnent une vision totalement différente de la biologie, de la virologie, et de la génomique. 

Daniel Buob - 27 juin 2021

Bibliographie :

Le Dr Stefan Lanka expose la fraude virale Bien entendu ce biologiste est considéré comme un affreux complotiste, et crime suprême, antivax pur et dur. Comme tous ceux qui posent des questions qui dérangent et que l'on met au goulag pour les faire taire. Par exemple le Pr Fourtillan en France. Ou que l'on vire comme un malpropre en pleine "première vague", comme l'anésthésiste Pascal Sacré. Que l'on bannît des réseaux sociaux, parce qu'ils posent des questions que la "secte" de l'Ordre des Médecins refuse d'entendre.

Pour aller plus loin, consultez le site internet du collectif, où cet exposé est publié.

La lecture de divers livres sera aussi très "instructive" :

REMEDES MORTELS ET CRIME ORGANISE par le Dr. Peter Gøtzsche, cofondateur de la Fondation Cochrane

L'APPORT DE LA VACCINATION A LA SANTE PUBLIQUE par le Pr de biologie Michel Georget

VACCINATION LES VERITES INDESIRABLES par le Pr de biologie Michel Georget

Meurtre par injection d'Eustace Clarence Mullins

L'immunité post-vaccinale ne protège pas la population contre le Covid-19 par le Dr Gérard Delépine

Pour aller encore plus loin, sur les raisons profondes de cette crise que l'on nous présente comme "sanitaire", mais qui n'est réellement que géopolitique et économique, voir aussi les articles suivants sur le site internet du Collectif Fédérateur :

Les dessous géopolitiques de la crise actuelle par Daniel Buob et la suite :

Pourquoi nos gouvernements semblent ne pas savoir comment gérer la crise actuelle par Daniel Buob

Les dessous des Vaccins et ce qui nous attend cet automne (2021) par Daniel Buob

Différences entre virus et vaccin et effets de l'injection par Daniel Buob

Statistiques Covid

Les dessous de l'origine du Covid

Mise au point incontournable sur Virus Variants et Vaccins

Vaccin Pfizer : chronique d'un fléau annoncé

Pourquoi le Covid19 n'est pas un virus grippal ordinaire et donc que les vaccins ne sont pas ce qu'ils prétendent être

Laboratoire Roche : test pour détecter et différentier le Covid 19 de la grippe saisonnière

Les tests RT-PCR en détail : ce qu'il faut savoir

Les ondes électro-magnétiques, notre santé et la 5G

Vaccination Covid

Les vaccins nous protègent parait-il ! Vraiment ?

La ruée vers les vaccins ? Une immense manipulation organisée par la Dr Nicole Delépine

Le vaccin Pfizer augmente-t-il le risque de contamination et de mort par Covid-19 par le Dr Gérard Delépine

Le Pr Delfraissy reconnait l'échec du confinement et des vaccins dans le Lancet !

Information extrêmement importante sur les vaccins en cours de déploiement par le Pr Christian Perronne

Inserm : décrire la protéine Spike pour améliorer le diagnostic et les perspectives vaccinales

Sars-CoV-1

Virus à ARN

Rétrovirus

Dr Mickel Yeadon, ancien directeur scientifique de Pfizer

Comparaison létalité Covid-19 et létalité vaccin

De nouvelles informations sur la vraie nature des virus

Un lien probable entre les problèmes cardiaques ches des jeunes et certains vaccins Covid

Le Centre français d'évaluation des médicaments exige le retrait des quatre vaccins Covid largement utilisés.  : aucune réaction du gouvernement

Quand l'histoire de cette folie sera écrite les réputations seront massacrées et il y aura du sang dans les caniveaux par le Dr Roger Hodkinson

Profession Gendarme. Un site à visiter

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"Ils sont conçus génétiquement pour se déplacer dans les populations de la même manière que les maladies transmissibles. Mais plutôt que de provoquer une maladie, ils confèrent une protection. La vision est qu'un petit nombre d'individus dans la population cible pourrait être vaccinée, et la souche vaccinale circulerait alors dans la population comme un virus pathogène."

  • Je donne ici à titre d'exemple un article relayé bien sûr sur tous les réseaux sociaux, et aussi bien sûr "interprété", tronqué, et commenté dans tous les sens, ce qui fait qu'il faut le prendre avec prudence. Je donne ensuite le débunkage, lui aussi, bien évidemment à prendre avec des pincettes.

Résumé de l'article :

Premier cas d'étude post mortem chez un patient vacciné Covid 19 :

Après une première dose du vaccin BioNTech à mARN, le patient de 86 ans a développé des anticorps "pertinents' mais est décédé 4 semaines plus tard d'une insuffisance rénale et respiratoire aiguë. De l'ARN viral a été trouvé post-mortem dans presque tous les organes examinés, ce qui signifie que les protéines Spike aussi. Cette présence d'ARN dans tous les organes malgré le vaccin indique soit que le vaccin ne fonctionne pas du tout, soit que le virus bénéficie d'un renforcement dépendant des anticorps (ADE), ce qui signifie qu'il se propage plus rapidement chez les personnes vaccinées.

 [Une question pourtant simple doit être posée à la base :  le vaccin mARN est sensé faire fabriquer par les cellules de la personne vaccinée un FRAGMENT APPROCHANT de la protéine spike du Covid-19. Et seulement ça. Par quel miracle retrouverait-on le génome de l'ARN VIRAL du Covid-19 chez les vaccinés ? Autrement dit, comment se fait-il qu'une personne vaccinée par un vaccin mARN puisse être positive au GENOME DU VIRUS ??? Ou alors certains tests, sinon tous, ne rechercheraient que quelque chose d'approchant à cette protéine spike ??? D.B.]

Et voici le "débunkage" de l'article précédent (étude post-mortem) très intéressant et qui confirme certains points de l'étude tout en voulant les nier. Par une journaliste de l'AFP. Lien vers l'étude d'origine : où l'on voit que le coefficient CT utilisé était à …. 45 !!!! Alors que la journaliste, dans son débunkage parle d'un "CT bas"…. Et que le patient, VACCINÉ (!!!) aurait été contaminé par un voisin de chambre… Donc dire que le vaccin ne fonctionne pas n'est pas forcément du délire conspirationniste.

On en arrive donc à la conclusion inévitable, qu'avec un CT à 45 on est forcément positif à tout ce qu'on voudra. Et que la non-toxicité de la protéine spike n'est pas démontrée, ni la protection que le vaccin pourrait apporter (qui selon la journaliste de l'AFP protège des formes graves alors que le dictionnaire Vidal dit exactement le contraire), ni sur la contagiosité, dont on persiste à prétendre que les asymptomatiques peuvent être contaminants…

Une vraie jungle de stupidités, de manipulations et de propagandes.

On peut aisément comprendre qu'une majorité de la population de veut (et ne peut) plus chercher à … comprendre. A moins de muter de moutruche en bison fou tu …

Questions/Réponses :

LUCIFERASE : La Luciferase n'a rien à voir avec Lucifer. Ce sont des enzymes qui utilisent un substrat appelé luciférine, ainsi que de l'oxygène et de l'ATP, dans un processus énergétique qui génère de la lumière, comme la lueur jaune des lucioles. C'est de la racine du nom de la luciole que vient le nom de luciférine. Le pouvoir des luciférases a été exploité par des chercheurs afin d’élaborer des réactions dont la génération de lumière est utilisée pour surveiller les processus biologiques, notamment l’expression des gènes, la liaison biomoléculaire et la viabilité cellulaire. Ce procédé peut donc EN THEORIE être un outil pour contrôler l'activité physique d'une personne. Sachant que l'enzyme SM102 fait partie de la liste d'ingrédients des vaccins mARN de Moderna.

Magnétisme des personnes vaccinées : bien que de nombreuses vidéos circulent sur les réseaux sociaux, je n'ai, jusqu'ici, aucune preuve indiscutable que les "acteurs" qui se mettent en scène soient effectivement vaccinés. Et qu'il n'y a aucun trucage. Et du coup, comme ils le prétendent, seraient "aimantés". Ceci dit, le processus de diffusion cellulaire des nanoparticules de la protéine spike vaccinale fait appel à des phénomènes "magnétiques". Mais à l'échelle nanoparticulaire. De là à pouvoir "aimanter" un téléphone portable ou une cuillère sur son point d'injection, il y a une marge. A noter aussi, que la plupart des pièces de monnaie actuelles ne comportent pas suffisamment de particules ferreuses pour pouvoir être magnétisées.  Ce sujet demande d'avantage d'informations.

Pour info une entreprise allemande Chemicell, je cite : "développe et produit des systèmes innovants de bioséparation-transfection de gènes et de détection basés sur des nano- et microparticules magnétiques. L'objectif de notre développement de produits est de concevoir des kits "prêts à l'emploi" de haute qualité orientés client avec une orientation particulière vers la compatibilité pour l'automatisation du travail. Chemicell a pour politique d'être ouvert aux coopérations avec d'autres entreprises ou instituts scientifiques afin de maximiser les chances et les opportunités qui découlent du développement rapide des procédures biotechnologiques et de distribuer de nouveaux produits innovants." Ce sont des outils de laboratoire !!!

Administration de nanoparticules superparamagnétiques d'un vaccin à ADN

Compagnies aériennes qui refuseraient les passagers vaccinés    Jusqu'à présent aucune confirmation d'aucune compagnie aérienne de ce qu'il faut bien appeler une rumeur en l'état.

L'épidémie aurait commencée au mois d'août 2019 selon une étude de la Médical School de Harvard parue en juin 2020

De la 5G au Covid-19  ou l'Effet des ondes électromagnétiques sur le vivant par Daniel Buob

  • Le 9 juillet 2021, aura lieu une simulation de cyberattaque mondiale sous le nom de Cyber Polygon. Sur une initiative de BI.ZONE (Sber Ecosystem) soutenue par le World Economic Forum Center for Cybersecurity.

L'entrainement technique comprendra 2 scénarios, concernera 120 organisations de 29 pays.

Ce sera la prochaine pandémie à venir après le cocotruc. Avec toutes les conséquences économiques et humaines à la clé.

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Annexes :

Voici pour toute l'année 2020 le nombre de décès toutes causes confondues extraites des statistiques de l'INSEE, par année d'âge. Pour chaque année d'âge, le nombre de décès. On voit que c'est à l'âge respectable de 90 ans qu'il y a le plus grand nombre (+ de 30 000).

Par rapport à ce qu'on appelle "l'espérance de vie", à 90 ans les hommes l'avaient dépassé de 11 ans et les femmes de 5 ans.

Ces personnes seraient de toutes façons décédées dans les jours, semaines ou mois suivants. C'est ainsi, et personne n'y pourra rien. Et aucune déclaration de guerre ridicule à un virus n'y changera rien.

nombre décès par année age 2020

La copie d'écran du commerce mondial de kits de tests Covid 19 (dénomination qui a été changée ensuite en "Kits de tests médicaux" :

Bque Mondiale Kits tests covid 19

Le calendrier de gestion de crise donne une date de sortie de crise en mars 2025.

Et a été effacée depuis !...

Bque Mondiale calendrier gestion crise covid

Nombre de décès toutes causes confondues de 2011 à 2021

stat INSEE deces 2011 2021

Sur le graphique suivant, nous avons le nombre de décès pour le département du Var pour les années 2018 (en gris), 2019 (en rouge) et 2020 -2021 (en bleu)

stat décès Var 19.06.21

On voit parfaitement que la mortalité a très légèrement dépassé en 2020 celle des années précédentes pendant la période des chaleurs estivales. Autrement, strictement RIEN. Et en 2019 nous voyons le pic "énorme" de la vague de chaleur de juin 2019 (vérifiable sur le site de Météo France)

Le taux de mortalité du variant Delta du COVID est six fois plus élevé parmi ceux qui ont été complètement vaccinés que parmi ceux qui n’ont jamais reçu de vaccin anti-Covid, selon les données publiées par Public Santé Angleterre. 

Vingt-six personnes sont décédées parmi les 4 087 qui ont été complètement vaccinées 14 jours ou plus avant d’être testées positives au variant Delta du COVID. Cela équivaut à un taux de mortalité de 0,00636%, ce qui est 6,6 fois plus élevé que le taux de 0,000957 décès – ou 34 décès parmi 35 521 cas Delta positifs parmi les non vaccinés, selon les données publiées dans un rapport du 18 juin intitulé «SARS-CoV-2 variants préoccupants et variants faisant l’objet d’une enquête en Angleterre, Briefing technique 16. »

Une évaluation des risques du variant Delta du coronavirus pandémique publiée vendredi la décrit comme se propageant plus facilement entre les personnes, mais elle est également décrite comme un variant à «faible gravité de l’infection».   

Les médias grand public se sont penchés sur la possibilité que le variant Delta produise des taux d’hospitalisation plus élevés dans certaines parties de l’ Écosse et de l’Angleterre que la “première vague” du variant Alpha, mais selon le rapport de santé publique britannique, ces données sont basées sur des “premières preuves » et « une compréhension limitée de l’évolution clinique de la maladie ». 

Hospitalisation plus élevée chez les vaccinés 

Étant donné que les hospitalisations sont préoccupantes, les personnes entièrement vaccinées sont hospitalisées au Royaume-Uni à un taux plus élevé que les personnes non vaccinées. Selon le rapport d’information technique le plus récent, les données de santé publique montrent que 2,0% des personnes vaccinées (84 sur 4 087) qui ont été testées positives pour le variant Delta ont été admises à l’hôpital (y compris celles testées à leur entrée à l’hôpital pour toute autre raison) contre 1,48. pour cent des personnes non vaccinées (527 sur 35 521). 

Les données actuelles sont conformes aux données publiées la semaine dernière par l’agence de santé publique d’Angleterre qui ont également montré un taux de mortalité six fois plus élevé chez les personnes entièrement vaccinées que chez les non vaccinés et un taux d’admission à l’hôpital de 2,3% chez les personnes complètement vaccinées au moins deux semaines plus tôt. contre seulement 1,2 pour cent chez les non vaccinés. 

« Cela rappelle le phénomène ADE (amélioration dépendante des anticorps) qui a été observé pour d’autres vaccins et qui a été exprimé comme un sujet de préoccupation parmi de nombreux scientifiques pour les vaccins COVID », a déclaré Stephanie Seneff, chercheuse principale au Massachusetts Institute of Technology’s, laboratoire d’informatique et d’intelligence artificielle. 

L’ADE a gâché les tentatives précédentes de vaccins contre les coronavirus et a souvent entraîné une  augmentation des maladies pulmonaires chez les  animaux de laboratoire vaccinés . Cela a conduit les chercheurs en 2012 à conseiller aux scientifiques de  procéder avec « la prudence »  pour tout vaccin contre le coronavirus humain qui pourrait entraîner une maladie pulmonaire accrue. 

Stephanie Seneff a déclaré que des recherches ont montré que les vaccins contre les coronavirus modifient la façon dont le système immunitaire répond à l’infection et peuvent activer d’autres infections en sommeil chez la personne vaccinée, telles que le virus de l’herpès, créant des symptômes de  paralysie de Bell  ou de  zona .  

“Il est concevable pour moi que la spécificité du faisceau laser des anticorps induits soit compensée par un affaiblissement général de l’immunité innée”, a déclaré la chercheuse Stephanie Seneff.  

“Je soupçonne également que des campagnes de vaccination massives peuvent accélérer la vitesse à laquelle les souches mutantes résistantes au vaccin deviennent dominantes parmi toutes les souches du SRAS-Co-V2 [coronavirus].”