L'illusion de la pandémie Covidienne démasquée

FRAUDE PANDEMIQUE :

Le Dr David E. Martin est le fondateur et président de M·CAM Inc., le leader international du financement de l'innovation, du commerce et du financement des actifs incorporels. Il est le développeur du premier indice quantitatif d'actions publiques basé sur l'innovation et est le Managing Partner des Purple Bridge Funds. Il est le créateur du premier indice quantitatif d'actions publiques au monde - le CNBC IQ100 alimenté par M·CAM. Activement engagé dans l'économie éthique mondiale"...

Le Dr David Martin donne des détails TRÈS précis sur les énormes incohérences qui entourent "l'épidémie du siècle", s'appuyant sur les demandes de brevets associés au Sars cov 2 et aux financements liés, ce que surveille l'entreprise, est depuis 1998 le plus grand souscripteur au monde d'actifs incorporels utilisés en finance dans 168 pays, comprenant l'intégralité du corpus de tous les brevets, demandes de brevet, subventions fédérales, dossiers d'approvisionnement, dossiers gouvernementaux, etc...

De cet entretien, avec l'avocat Reiner Füllmich et le Dr Wolfgang Wodarg, il ressort quelques points essentiels qui démontrent que la fable d'une mutation naturelle n'a aucun sens. Voici une courte synthèse.

Tout comme "l'échappement accidentel d'un laboratoire", Wuhan ou ailleurs, tel que l'OMS fait semblant actuellement de l'admettre, reste aussi une fable.

En fait les supposés coronavirus de la famille des SRAS, sont ni plus ni moins, des fabrications des laboratoires de guerre bactériologique depuis plus de 20 ans.

Pour s'en convaincre, il suffit de constater le nombre impressionnant de brevets qui ont été déposés sur cette "famille de virus".

Sachant que tout ce qui est séquençage d'ADN est très loin, d'être l'outil infaillible qu'on nous présente dans les médias.

Plus de 4000 brevets ont été déposés dans le cadre des "coronavirus".

Les séquences génétiques actuelles, disponibles depuis le printemps 2020 ont été comparées aux séquences des divers brevets précédents. Il y a plus de 120 points brevetés qui suggèrent que le concept de "nouveau coronavirus" est faux. Il existe de très nombreuses différences, mais très subtiles dans les séquences téléchargées.

Le premier vaccin jamais recherché pour un coronavirus, l'était en fait par ... Pfizer. L'application pour ce premier vaccin était spécifiquement cette protéine de pointe.

Le 28 janvier 2000 Pfizer a déposé une demande de brevet N° 6372224 pour un vaccin ciblant la protéine de pointe spike du coronavirus humain. Ce concept remonte donc à 22 ans, depuis 1999 en fait et dans le cas du brevet du 28.01.2000, il s'agissait du coronavirus canin.

Le 19 avril 2002 Anthony Fauci a déposé une demande de brevet où il a été construit "un coronavirus infectieux à réplication défectueuse". Spécifiquement développé pour cibler l'épithélium humain. En d'autres termes c'est ainsi que le SRAS a été créé. Au début ce SARS a été développé pour être un vecteur vaccinal contre le VIH. Le SRAS n'est donc pas une modification génétique du coronavirus.

En 1999 A. Fauci a financé des recherches à l'Université de Caroline du Nord

Brevet US 7279327 du 19.04.2002.

Ce SRAS pouvait facilement être modifié en laboratoire par la technologie génétique.

Mais a aussi été développé au début comme une arme biologique, et dans le but d'utiliser le coronavirus comme vecteur pour disséminer le vaccin contre le VIH.

[A noter : la dissémination vaccinale, est testée de longue date chez les animaux sauvages. On capture un spécimen d'une harde, par exemple un gorille, on lui injecte le vaccin et on le relâche. Il va ainsi non pas contaminer ses congénères avec la maladie, mais avec le vaccin qu'on lui aura injecté. Ce qui accrédite la thèse des pires conspirationnistes qui disent que ce sont les vaccinés qui sont "contagieux" et non pas les non-vaccinés, surtout lorsqu'ils ne sont pas malades.]

Le SARSCoV2 serait en fait identique à 89 à 99 % au SARSCov1 des brevets déposés par le CDC en 2003, 2005 et 2006.

Un brevet a été déposé par SEQUOIA Pharmaceuticals (Pfizer, Johnson-Johnson) pour un traitement pour un "nouveau" coronavirus dont le brevet a été déposé 3 jours plus tôt. US 7151163 le 28.04.2003

Comment peut-on avoir un traitement pour une chose inventée 3 jours plus tôt ???

Et l'histoire se répète : Lorsque le SARS-Cov2 est apparu, Moderna a obtenu par téléphone la séquence de la protéine spike du Centre de Recherche sur les vaccins du NIAID AVANT la définition du nouveau virus.

Comment peut-on savoir une chose avant de l'avoir réellement ?

Le 5 juin 2008 la DARPA (Agence américaine pour les projets de recherche avancée de défense) s'est intéressé activement au SARS comme arme biologique. Une société pharmaceutique faisant maintenant partie de SANOFI a déposé une série de brevets qui ciblait spécifiquement la nouvelle caractéristique du Sars-Cov 2. A savoir le site de clivage de la protéine spike et l'ACE2. Brevets du 4.11.2015 US 9193780 sorti après l'épidémie de MERS.

Une infinité de brevets (73) a été déposée entre 2008 et 2019 pour le SARS2 qui ciblent spécifiquement ce qui est déclaré comme nouveau avec le Covid 19. (Site de clivage de la protéine ACE2, protéines spike S1 et S2, etc…)

Conséquence : il n'y a pas eu d'épidémie de Sras, car tous les éléments de cette maladie avaient été modifiés.

En 2016, le document qui a été financé pendant le moratoire sur les gains de fonction disait que le coronavirus du Sras était prêt pour l'émergence humaine, et a été breveté pour une exploitation commerciale.

Brevet n. 7220852   est en violation de l'article 35 de la constitution américaine (brevets sur des éléments naturels)

Brevet N. 7776521 et d'autres : Ces brevets couvraient non seulement le SARSCov1, mais couvraient les moyens de le détecter par RT-PCR.

Si l'on détient à la fois le brevet sur le gêne lui-même et le moyen de le détecter, on a l'avantage de pouvoir contrôler à 100 pour 100 la provenance non seulement du virus lui-même mais aussi sa détection. Cela signifie qu'on a un contrôle scientifique et de communication total.

L'office des brevets américains a rejeté en 2006 deux fois la demande de brevet du CDC sur la séquence du gêne comme non brevetable, parce que cette séquence était déjà dans le domaine public. Après avoir payé une amende, le CDC a finalement obtenu le dépôt en 2007 du brevet du Coronavirus du SRAS.

Il n'y a pas eu de "fuite" du laboratoire, il s'agissait d'une bio-militarisation importante d'une protéine de pointe, destinée à rendre la population dépendante d'un vaccin.

Ce n'était pas une libération de quoi que ce soit : brevet 7279327 transféré au NIH en 2018.

Le séquençage de la protéine de pointe par Moderna et Pfizer a commencé en novembre 2019.

4 demandes de brevets rejetées, ont été réactualisés et modifiés en mars 2019 par Moderna pour la libération délibérée d'agents pathogènes respiratoires.

Nous injectons une protéine spike, une séquence d'ARN, qui est UNE SIMULATION INFORMATIQUE. D'une substance qui est connue et brevetée depuis des années.

Aucune société pharmaceutique n'a fait le moindre effort pour combattre le virus. Il s'agit de faire injecter les gens avec la protéine spike connue pour être nocive.

Des centaines de millions de gens se font injecter un agent pathogène simulant une séquence informatique qui n'est en aucun cas un vaccin au sens où ceci a été admis jusqu'ici. Mais que nous savons depuis 2005 être une arme biologique.

Les variants sont un moyen désespéré de faire que des individus sont contraints d'accepter quelque chose qu'ils n'accepteraient pas autrement.

Dans aucune des études publiées jusqu'ici il n'est fait mention de ce qu'on appelle le variant DELTA. Aucune étude n'a été faite sur des populations, uniquement des simulations et modélisations informatiques.

Il n'a pas été possible d'identifier une séquence de gênes physiquement altérés ayant produit ensuite une variation cliniquement exprimée.

C'est là le problème depuis le début. Nous n'avons aucune preuve que l'altération de la séquence génétique ait une quelconque signification clinique. Il n'y a pas un seul papier depuis novembre 2019 publié par n'importe qui, que ce qui est postérieur à cette date soit cliniquement différent de ce qui la précède.

Le problème avec ces 73 brevets, est qu'ils contiennent déjà TOUT ce qui a été signalé comme nouveau en décembre 2019 et janvier 2020.

Même si nous devions accepter des pneumonies "idiopathiques" (sans cause identifiée) et un ensemble de symptômes induits par de supposés agents pathogènes, nous n'avons pas un seul élément de preuve publié qui nous dise quoi que ce soit concernant le SARS-Cov2 qui permette de dire qu'il est différent de tout ce qui a été publié avant novembre 2019 dans les 73 brevets déposés à partir de 2008.

Avec le variant delta nous avons une masse de comportements réflexes face au battage médiatique.

Les variants ne sont que des morceaux de séquences informatiques qui dépendent intégralement du fragment de la partie génomique à laquelle on cherche à la comparer. On ne compare JAMAIS l'intégralité du génome, mais uniquement des "morceaux choisis" que l'on estime représentatifs de ce que l'on veut trouver.

Lorsque dans les demandes de brevets on parle de brins d'ADN, les demandeurs disent spécifiquement qu'il s'agit d'une séquence artificielle et synthétique. (Une séquence parfaitement naturelle ne peut jamais faire l'objet d'un brevet !)

Si nous voulons examiner ce qui est réellement injecté, il faut avoir la séquence intégrale exacte, et non pas une sorte de similarité. Or cette séquence exacte semble ne pas pouvoir être déterminée avec 100 % de certitude. Ce qui revient à dire qu'on ne sait pas en fait ce qui entre réellement dans la "composition" de la nanoparticule lipidique qui est injectée.

Il est important de comprendre que depuis le début du dépôt de ces brevets en 2002, des fragments ont été identifiés, mais sans spécificité particulière.

Les séquences réelles ne sont pas représentées sous forme numérique.

Dans le problème des demandes de validation des tests PCR, il s'agit de comparer le fragment prélevé avec une "norme" de référence. Or, il n'y a pas de référence unique. On est donc dans l'arbitraire le plus complet.

La grippe à corona est le résultat d'un mandat de plus de dix ans, promu par les gouvernements du monde entier.

Il n'y a rien de mieux de créer l'illusion de la demande par l'urgence d'un évènement que vous avez fabriqué.

Ce n'est pas actuellement une crise sanitaire, mais une campagne marketing pour répondre à un objectif déterminé. Faire accepter par le public une contre-mesure vaccinale au coronavirus. En utilisant les médias pour le battage médiatique. Les investisseurs suivraient naturellement là où se trouve le profit.

Environ 20% des brevets européens sont des contrefaçons de brevets précédents.

Il s'agit en fait de bien comprendre qu'il n'y a pas eu de fuite d'un laboratoire, mais d'une militarisation intentionnelle de protéines de pointe à injecter aux gens en les rendant dépendants d'un "vaccin" coronavirus. Ce qui n'a rien à voir avec un agent pathogène qui aurait été libéré.

L'Université de Caroline du Nord et le laboratoire Moderna ont commencé le séquençage d'un vaccin à base d'une protéine de pointe, un mois avant le début "officiel" de l'épidémie.

Brevets US déposés 2003, 2005 et 2006 identiques 89 99%

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Brevet US 7279327 B2 du 19.04.2002. Ce brevet sur la nature recombinante du coronavirus déposé par l'université de Caroline du Nord à l'Institut National de Santé (NIH) en 2018.

Résumé :

Cellule auxiliaire pour la production d'un défaut de réplication infectieux. Cellule particulaire de coronavirus (ou plus généralement de nidovirus) qui comprend :

(a) une cellule permissive de nidovirus;

(b) un nidovirus ARN de réplicon comprenant le signal d'encapsidation du nidovirus et une séquence d'ARN hétérologue, dans laquelle le réplicon de l'ARN manque en outre d'une séquence codant pour au moins une protéine de nidovirus structural ;

(c) au moins un assistant distinct ARN codant pour au moins une protéine structurelle absente de l'ARN du réplicon; l'expression combinée du réplicon ARN et ARN auxiliaire dans la cellule permissive de nidovirus produit une particule de nidovirus assemblée qui comprend la séquence d'ARN hétérologue, est capable d'infecter une cellule, et est incapable de terminer la réplication virale en l'absence de l'ARN auxiliaire en raison de l'absence de la séquence codante de la protéine structurelle dans le réplicon emballé.

Compositions pour l'utilisation dans la fabrication de telles cellules auxiliaires, ainsi que des particules virales produites à partir de telles cellules, des compositions de telles particules virales et des procédés de fabrication et d'utilisation de telles particules virales sont également décrits.

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Brevet US 7151163 B2 du 28 avril 2004 par Sequoia Pharmeuticals

L'invention propose des compositions et des procédés qui sont utiles pour prévenir et traiter une infection à coronavirus chez un sujet. Plus spécifiquement, l'invention propose des peptides et des conjugués et des compositions pharmaceutiques contenant ces peptides et conjugués qui bloquent la fusion d'un coronavirus, tel que le virus du SRAS, à une cellule cible. Ce mécanisme de blocage prévient ou traite une infection à coronavirus telle qu'une infection par le SRAS, chez un sujet, tel qu'un être humain.

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Brevet US 6372224 du 28.01.2000

La présente invention fournit l'acide aminé et le noyau de séquences nucléotides d'un gène de pointe du CoronaVirus canin et les compositions contenant un ou plusieurs fragments du gène spike et polypeptide codé pour la prophylaxie, à des fins de diagnostic et de traitement des infections à coronavirus canin.

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Brevet US7776521 premier dépôt 25.04.2003 et deuxième dépôt 22.05.2007

L'invention concerne un coronavirus humain nouvellement isolé (SRAS-CoV), l'agent causal du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS). L'invention concerne également la séquence d'acides nucléiques du génome du SRAS-CoV et les séquences d'acides aminés des cadres de lecture ouverts du SRAS-CoV, ainsi que des méthodes d'utilisation de ces molécules pour détecter un SRAS-CoV et détecter des infections avec celui-ci. L'invention concerne également des compositions de stimulation immunitaire, ainsi que leurs procédés d'utilisation.

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Voir aussi ici  

Nous sommes donc devant une évidence. Depuis plus de 20 ans, les laboratoires "de pointe" des grandes puissances sont engagés dans une guerre bactériologique. A noter qu'on ne parle pas de guerre "virale" …. Ceux-ci manipulent des éléments qui pourraient causer des désastres incontrôlables.

Une chose semble assez certaine. Le "virus" du Covid-19 n'a pas été très virulent, il n'a au plus que participé à la disparition des plus fragiles. L'essentiel des décès étant provoquée par les "mesures" sensées lutter contre (arrêt des soins, etc.) De même les variants. Toute la gesticulation faire autour de ce "virus" et ses soi-disant variants, depuis maintenant 18 mois n'a qu'un seul but, un seul : celui d'affoler les populations pour les renvoyer vers ce qui est présenté par les médias comme l'unique planche de salut, l'injection salvatrice. C'est le plus gros coup de poker menteur joué par l'industrie pharmaceutique depuis sa création.

Par contre, ce qui est absolument certain, c'est que les injections présentées comme "vaccins" sont beaucoup moins anodines. Mais comme c'est le cas habituellement, les effets secondaires graves immédiats sont rares par rapport au nombre d'injections réalisées. Bien que ceux-ci semblent être nettement plus importants que pour n'importe quel autre vaccin.

Ceux qui pensaient que ce virus avait une origine naturelle (ou au pire accidentelle) devront revoir leur "copie".

Depuis plus de 20 ans, preuves à l'appui, de nouveaux coronavirus ont été fabriqués. Et comme les services de défense (donc guerriers) sont impliqués dans ces recherches, penser qu'il s'agit d'une recherche philanthropique relève de la plus profonde naïveté.

Voir aussi les brevets de l'Institut Pasteur. Qui a construit le laboratoire de Wuhan, en partenariat avec le parti communiste chinois.

Vidéo originale, doublée en français :

https://www.profession-gendarme.com/reiner-fuellmish-pandemic-fraud-version-integrale-1h20/

https://rumble.com/vk2x3y-reiner-fuellmish-pandemic-fraud-version-intgrale-1h20.html