Le point sur les vaccins, au 30 juillet 2021

Beaucoup d'informations circulent sur les réseaux sociaux. Et il devient de plus en plus difficile de faire la part des choses.

Un premier point très important à ne pas perdre de vue.

Bien que les premiers essais d'un vaccin mARN remontent au tournant des années 2000, puisque le premier brevet déposé l'a été le 18.04.2002 pour un vaccin canin, on essaie de nous faire croire que les laboratoires ont développés ces produits en quelques semaines, pour ne pas dire quelques jours. C'est totalement faux. A noter d'ailleurs que ce dépôt de brevet en 2002 a précédé de 3 mois environ l'apparition de la première épidémie de SRAS-Cov1 en 2002 - 2003... Coincidence, bien sûr.

Ce que font les laboratoires actuellement, c'est un essai "grandeur nature" IN VIVO. 

La population mondiale sert de cobaye. Ouvertement, car c'est déjà le cas depuis très longtemps mais de façon un peu moins apparente.

En d'autres termes, un essai de phase 3 d'un vaccin consiste à injecter le produit à tester A DES VOLONTAIRES, et EN MEME TEMPS injecter une autre substance de comparaison à un nombre équivalent d'individus pour évaluer les effets. Auant ceux recherchés que les dits "indésirables", ou "secondaires". Cette substance de comparaison peut être comme nous allons le voir de différentes natures. Pour être parfaitement objectif, on injecte un produit neutre, comme du sérum physiologique. 

Voyons d'un peu plus près :

Il semblerait, je dis bien semblerait, que 40% environ des injections (selon les lieux) sont du placebo.
Non, ce n'est pas parce que vous êtes plus "fort" que les autres que vous n'avez pas d'effets secondaires ou que vous ne mourrez pas, c'est parce que vous avez reçu un placebo : de l'eau et du sel, ça s'appelle du sérum physiologique.
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Pour rappel de la manipulation, les labos reçoivent les flacons de vaccin, qu'ils doivent conserver à très basse température. Ensuite, ils rajoutent de l'eau salée dans le flacon, puis prélèvent, avec la seringue avec laquelle ils vont piquer, 7 volumes dans le flacon de vaccin.

Sauf que des fois, soit le flacon ne contient pas de vaccin, soit les seringues sont remplies dans la bouteille d'eau salée, et pas dans le flacon (sabotage volontaire).
Le processus est simple, les erreurs involontaires quasi impossibles : soit le flacon sorti du fabricant ne contient que de l'eau salée, soit le vaccinateur rempli volontairement sa seringue depuis la bouteille d'eau salée, renversant le flacon de vaccin dans l'évier ou autre récipient.
https://www.youtube.com/watch?v=H0ixTAZTTwM...

A noter que les autorités, du coup, ne peuvent expliquer comment ça aurait loupé : soit l'article conclut par "les explications données par les autorités sont floues", "ne se sont pas encore exprimées sur le sujet", "une cadre de santé a été missionnée sur place pour renforcer les procédures de sécurité".

- Il y a fort à parier que tous les gros pontes vaccinés devant les caméras ont reçu cette dose inoffensive : hors de question que le docteur-présentateur soit absent pendant 6 jours suite à la piqure, soit gravement malade, ou pire décède d'un arrêt cardiaque quelques heures à quelques jours après, ou encore qu'il fasse un AVC soit mortel, soit le rendant bredouillant, bavant et tremblant à vie... Devant les caméras, ça ferait tache...

- Ok, on me dit que ce que j'affirme c'est n'importe quoi. Soit. C'est surtout que vous ne savez pas chercher l'information.
Prenons google, tapons la marque 'Pfitzer*' puis le mot "sérum".

Pas trop dur jusqu'à présent ?
Nous avons alors des tas d'articles qui ressortent.
Est-ce que ces articles sont fiables ?
Ils viennent tous de grands médias, c'est à dire des organes qui sont censés vérifier leurs sources, et faire un erratum en cas d'erreurs. Donc l'info est vraie.
Est-ce un média isolé ? Je vois le parisien, LCI - TF1, france bleu, france télévision, paris match, RTL, Ouest-France, Lyon-Capitale, Midi Libre, etc.
Midi-Libre, vous l'avez vu sur le maillot de coureurs cyclistes, ça devrait vous rassurer non ?
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Ok, maintenant, qu'est-ce qu'on apprend à partir de toutes ces sources validées ?
*) le 3 avril, à Chatillon (Hauts-de-Seine), 54 personnes reçoivent du sérum. On nous parle d'une erreur de manipulation.
https://www.ouest-france.fr/.../covid-19-des-patients...

*) le 15 avril à Deauville (Calvados), c'est 180 patients qui reçoivent le placebo. Les autorités refusent de dire d'où vient le problème, mais ça ressemble à un carton de flacons, sortis du labo, qui étaient vierges de traitement.
https://www.leparisien.fr/.../deauville-rappelle-des...

*) le 20 avril 2021, 140 habitants de la ville d’Epernay ont reçu une dose de sérum physiologique dans le bras au lieu du vaccin Pfizer.
https://www.parismatch.com/.../140-personnes-recoivent-du...

5 jours après, "les autorités n’ont fait aucun commentaire sur cette péripétie." Péripétie, comme c'est cocasse...
*) le 27 avril, libération explique que c'est inconcevable que les piqueurs fassent des erreurs de manipulation : la seringue avec laquelle vous êtes piqués est prélevée dans un flacon pif*, et là, toute la journée, le soignant rempli la seringue directement depuis les doses d'eau salée, sans passer par la case flacon : "inconcevable"...
https://www.liberation.fr/.../pourquoi-trouve-t-on-des.../

*) 28 avril, en Allemagne, une infirmière casse un flacon, et injecte les patients sans v*.
https://www.rtl.fr/.../coronavirus-comment-expliquer-les...

*) Le 10 mai, 200 personnes ont reçu "par erreur" une injection de sérum physiologique à Noirmoutier-en-l'île.
*) Une italienne reçoit un flacon entier, soit presque 5 doses d'un coup... Ça tombe bien, le labo n'avait pas osé tester à si haute dose, vous êtes des cobayes rappelons le !
https://actu.fr/.../vaccinees-le-10-mai-200-personnes...
https://www.sciencesetavenir.fr/.../covid-l-italienne-a...

*) Le 29 mai, les médias reconnaissent que les cartons de flacons sortant de chez pif z* peuvent ne contenir que de l'eau salée : exit l'hypothèse de "bourdes" faites dans les centres, c'est directement chez le fabricant que ça se passe. On nous révèle au passage que les médias ne révèlent pas toutes ces histoires, très nombreuses depuis 3 mois. "Pas une semaine ne passe"
https://www.leparisien.fr/.../vaccination-pfizer-comment...

*) le 27 juin à Miribel dans l'Ain, erreur de manip (officiellement), là encore injection avec serum.
https://www.lyoncapitale.fr/.../region-dans-l-ain-ils-se.../

*) le 29 juin, 49 personnes v*ées par erreur avec du sérum physiologique dans le Pas-de-Calais. Ce cas ressemble à un sabotage volontaire de soignants refusant d'injecter la mort.
https://www.aisnenouvelle.fr/.../covid-19-49-personnes...

*) histoire ressortie tout récemment, qui s'est passée en juin (le centre reste très opaque sur le sujet), le phénomène continue : 80 personnes "sur-diluée". On pourrait penser qu'il y avait un peu trop d'eau salée par rapport au v*, ce qui n'aurait pas gêné l'efficacité (une fois dans le sang ou le muscle, la dose sera forcément diluée dans 7 litres de sang, le sang étant juste de l'eau salée avec des globules rouges...). Vu que le test sérologique donne 0 anticorps, c'est bien que là aussi, juste de l'eau salée a été injectée.
https://www.lyonne.fr/.../covid-19-80-personnes-doivent.../

En dehors de ça, les enquêtes du parisien ont montré que certains soignants se faisaient payer pour n'injecter que du sérum et de l'eau.

Au final ?
Voilà pourquoi certains n'ont pas d'effets secondaires trop graves, que l'aimant ne tient pas sur le lieu de la piqure, et que des personnes piquouzées 3 fois n'ont aucun anticorps lors des tests sérologiques...
https://www.facebook.com/brachet.jerome/videos/519214635951697/

Mélanger le faux au vrai, compliquer les enquêtes, disperser les pistes, des méthodologies Illuminati bien connues au cours des millénaires..."

Préparation et administration du vaccin anti-covid comirnaty®
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Préparation et administration du vaccin anti-covid comirnaty®

Une grande partie des injectés reçoivent donc un placebo, du simple sérum physiologique aussi inoffensif qu'inefficace. Ça évite d'avoir trop de cas d'effets secondaires et ça permet de vendre de l'eau salée au prix d'un produit expérimental, c'est tout bénéfice.

Certains se voient aussi administrer du vaccin antigrippal recyclé vu le stock d'invendus, il n'y a pas de petits profits et ça permet d'avoir des piquoûsés avec des effets secondaires classiques, sans magnétisation et sans tatouage numérique.
Il faut comprendre que le but des psychopathes au pouvoir n'est pas de protéger (le système immunitaire fait 99,9% du boulot tout seul et l'efficacité des injections a été revue à la baisse de façon dramatique : tous ont moins de 2% d'efficacité !) mais de créer la division entre les crédules soumis et marqués et les incrédules résistants et confiants dans leur système immunitaire. Ils veulent isoler les rebelles et pour cela, il faut qu'ils aient marqué un maximum du troupeau et qu'ils lui accordent des "droits" refusés aux gens normaux, intacts qu'ils veulent mettre en minorité.
Les piqués qui ont quand même reçu le vrai produit se retrouvent avec l'épaule fortement magnétisée pendant plusieurs jours, voire semaines lorsque ça ne persiste pas indéfiniment. Ils se sont vus aussi attribuer le statut "d'objets connectés" car les nanoparticules de graphène incluses dans les injections sont encodées automatiquement par exposition à un champ Bluetooth ou similaire et le corps se voit attribuer une "adresse MAC" dont il ne pourra plus jamais se débarrasser ; il est marqué à vie et même au-delà de la mort.

Voilà le premier but réel de ces injections : marquer le troupeau pour ensuite le contrôler et le mener peu à peu à l'élimination.

Il semblerait que certains "injectés" avec les produits produisent en Bluetooth des adresses MAC qui n'existaient pas il y a six mois et qui ne correspondent à aucun objet manufacturé. Les iPhones ne peuvent pas les détecter, ils sont bridés.

Les dubitatifs vont objecter qu'il n'y a pas de source d'alimentation pour la diffusion de cette adresse MAC. Il n'y a besoin d'aucune source d'alimentation, pas plus qu'il n'y en a dans les étiquettes antivols : ce sont les portiques de détection qui envoient le signal et l'étiquette ne fait que réfléchir les ondes à l'instar des radars qui analysent le retour d'un signal qu'ils ont eux-mêmes envoyé.

Ceux qui ont eu la véritable injection, on ne peut plus rien faire pour eux. Les autres recevront le véritable produit lors des "rappels" pour les variants et ils ne de méfieront pas puisqu'ils auront été mis en confiance par les premières injections inoffensives.
Aucun politicien, aucune vedette n'a l'épaule magnétisée ni de tatouage numérique ; ils ont tous eu des injections factices ou du placebo.
Les vaccinés, quelle que soit le type d'injection qu'ils ont reçu, ont été trompés, il faut qu'ils en prennent conscience :
- s'ils n'ont aucun des effets secondaires évoqués, ni physiques, ni magnétiques, ni tatouage numérique, se sont vus injecter un placebo, ils n'ont donc pas la prétendue "protection" contre le couillonavirus et sont toujours en danger (si 0,1% de risques d'hospitalisation par faute du virus leur semblent être un danger qui mérite la paranoïa qui les a faits accepter une injection dont ils ne savent rien...)
- s'ils ont juste eu les effets secondaires typiques de la grippe, il est probable qu'ils n'aient reçu que du vaccin antigrippal classique ; il faut quand même que de faux vaccinés aient quelques effets secondaires sans quoi les placebos seraient trop flagrants et il y a un sacré stock d'invendus à liquider ; ils n'ont pas non plus reçu l'injection qu'ils croient protectrice
- ils ont reçu le véritable produit et c'est sur
la composition et les objectifs de celui-ci qu'ils ont été trompés. N'oubliez pas que le Véreux s'est mis préventivement à couvert.

Dans les trois cas, les vaccinés ont été trompés. Dans les deux premiers cas, ils sont sauvés ...s'ils refusent les injections suivantes qui ne seront plus factices.

Les autres points tels que l'oxyde de graphène et la toxicité de la protéine Spike font l'objet d'autres articles.

Vaya Con Dios...