Les injections Covid-19 appelées abusivement "vaccins" ne protègent pas. Elle contiennent du graphène, produit hautement toxique pour l'humain

Une des peuves les plus flagrantes, qu'elle ne protègent pas, est que depuis plus de 6 mois que les vaccinations sont lancées à grande échelle en France, les personnes injectées doivent toujours respecter les distanciations sociales et porter le masque… Je passe sur l'émergence des "variants" tel le Delta, surtout dans les pays fortement injectés, qui plane et fait du rase-mottes sur nos cerveaux au point de les anesthésier.

Après une analyse détaillée de la composition de ces injections, et des divers brevets déposés par les principaux fabricants, Pfizer et Moderna surtout, il devient évident que l'objectif de ces injections n'a rien à voir avec une éventuelle protection contre un éventuel virus. Ce n'est pas leur but.

Depuis plusieurs mois circulent des "rumeurs" après les déclarations de chercheurs espagnols, que ces "vaccins" contiennent, entre autres, de l'oxyde de graphène.

Or l'oxyde de graphène est un POISON toxique reconnu pour l'être humain. Il n'a RIEN à faire dans un produit biologique "médical".

Contenu des vaccins selon Karen Kingston

Karen Kingston, ancienne employée de Pfizer, est analyste de la propriété intellectuelle et du contexte juridique tant pour les industries pharmaceutiques et celles des dispositifs médicaux, que pour les consommateurs. Elle est aussi rédactrice scientifique et fait également des analyses cliniques. Elle présente les preuves et les documents démontrant les dangers indiscutables des injections Covid.

Face à ces preuves, la conclusion est claire : personne ne devrait se soumettre à ces injections.
Vidéo originale, en anglais avec tous les documents discutés lors de l'interview

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Voici les extraits texte des points les plus importants de la vidéo, sous-titrée en français.

Tous les vaccins à mARN contiennent ce qu'on appelle une nanoparticule de lipide PEGylée (PEG).

C'est spécifié explicitement ici : (vidéo 03'15")

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Pour le produit de Pfizer/BioNtech, on trouve les deux lipides nanoparticulaires (ALC-315 et ALC-0159) ici :

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Dans la liste des ingrédients telle qu'on peut la consulter librement, l'oxyde de graphène ne figure pas nommément. Il s'agit, comme Bill Gates l'avait confirmé, d'un "secret commercial".

En revanche, sur le site de Pfizer Canada, on peut trouver ceci, qui est une simple fiche d'information destinée aux patients, où les deux lipides ALC0159 et ALC0315 figurent noir sur blanc !!!

Sur le site de Sinopeg, on voit que le Polyéthylène glycol 2000 est bien le liquide ALC-0159.

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Pareil pour le Moderna, où l'on trouve les polyéthylènes : alcool 200 PEG, PEG 2000. Dans l'onglet "excipients pour le Covid-19" de Sinopeg, on trouve ceci :

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Traduction en français du texte de l'image ci-dessus :

Graphène fonctionnalisé en polyéthylène glycol structuré cœur-coquille pour diélectriques polymères à stockage d'énergie : Performances mécaniques et diélectriques combinées.

Le graphène en tant que matériau le plus fin, le plus résistant et le plus rigide et disposé selon une structure en nid d'abeille avec du carbone hybride sp1, trouve plus d'applications potentielles dans l'industrie moderne que les autres allotropes carbonés ; sous une forme vierge, c'est aussi un excellent conducteur de chaleur et d'électricité. Cependant, le principal obstacle à l'utilisation du graphène, en particulier pour les applications électroniques, est son insolubilité à l'état complètement réduit en raison de la forte affinité entre les feuilles de graphène.

Dans la présente étude, ils ont synthétisé pour la première fois un graphène polydispersé avec une conductivité électrique souhaitable par fonctionnalisation covalente avec de l'éther monométhylique de polyéthylène glycol aminé (PEG-NH2). Le graphène greffé PEG-NH2 (PEG@GO) a ensuite été réduit par de l'hydrate d'hydrazine en PEG@rGO et ensuite incorporé dans une résine époxy par une méthode de mélange de solution. Le PEG@rGO avec une structure "core-shell" a présenté une dispersion homogène dans l'époxy et a également réduit efficacement la perte diélectrique, contribuant ainsi à d'excellentes propriétés diélectriques et résistance mécanique aux nanocomposites PEG@rGO/époxy finaux.

C'est dans toutes les études du NIH, Moderna, etc.

La raison pour laquelle ce produit est "caché" est qu'il est connu comme étant un poison pour l'être humain. Une deuxième raison est que l'hydrogel, est le liquide utilisé pour certaines recherches d'Elon Musk (Neuralink : voir conclusion et lien en fin d'article) pour la création d'une interface homme-internet via ordinateur ou smartphone via 5G.

Bien que ce soit concrètement encore impossible actuellement, on peut donc en déduire que ces injections seront en fait destinées, à plus ou moins moyen terme à créer dans le futur une sorte de connectivité entre les humains, via la 5G, pour contrôler les pensées, la mémoire, etc.

Actuellement nous serions plutôt dans une phase d'essai in vivo, visant à déterminer combien de ce produit peut être injecté, en quelque sorte une recherche de dosage maximum, en direct, et en "live" sur une majorité de la population humaine.

"Ils sont en train de tester combien de graphène ils peuvent injecter aux gens avant qu'ils ne meurent.

Nous sommes censés avoir des rappels tous les 6 mois. Donc une injection d'oxyde de graphène tous les six mois."

Il y a 4 lipides dans ces vaccins :

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Le cholestérol qui facilite la pénétration dans le sang, ainsi qu'un phospholipide pour aider à pénétrer les membranes cellulaires, puis un lipide ionisable qui donne une charge électrique positive pour faciliter la pénétration de l'ARNm dans la cellule, , sans oublier un acide nucléique (mARN), et enfin le lipide PEGylé.

La raison de tous ces "additifs" est que l'ARNm est très instable, surtout lorsqu'il est naturel, mais aussi lorsqu'il est synthétique comme dans le cas de cette injection. Qu'il soit zoonique (d'un animal), d'un humain, ou synthétique, une température de 80°F (27°C) le détruit, la lumière du soleil, la salive aussi, etc. Il arrive rarement à franchir la zone isotherme d'un individu sain. Il ne peut pas survivre par lui-même, il a donc besoin de cette sorte de biosphère qu'ils ont créé avec ces 4 lipides auxquels ils ajoutent l'oxyde de graphène, qui est 4000 fois plus résistant que le titane et peut résister à une température de 17 000 degrés Farenheit (9400°C).

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Donc on a pris ce virus très instable, et on l'a rendu indestructible.

Si l'on regarde le liquide PEGylé, il est fabriqué par une entreprise chinoise qui s'appelle SINOPEG, basée en Chine.

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Si on regarde lEUA (Emergency Use Autorisation = Autorisation d'utilisation d'urgence) de Pfizer, ils citent les 4 lipides. Ils ont 2 lipides, contenant chacun d'entre eux 4 autres lipides.

Pour Moderna, il y a, sur la fiche de données de sécurité (MSDS) un numéro CAS et le SM-102.

Si l'on regarde la fiche du vaccin Moderna on peut y lire ceci en toute première page :

"La substance active dans Spikevax est un ARNm codant la protéine Spike du SARS-CoV-2. L’ARNm est encapsulé dans des nanoparticules lipidiques SM-102. Spikevax ne contient pas le virus pour induire une immunité, il ne peut pas vous rendre malade de la COVID-19."

J'apprécie pour ma part la deuxième phrase, en pensant à la (soit-disant ?) flambée épidémique dans les pays fortement injectés …

Si on va dans le dossier Pfizer au Royaume-Uni, le numéro des 2 lipides sont là, c'est ALC-0315 et ALC-0159. En effectuant une recherche à partir de ces numéros on arrive à SINOPEG.

Dans l'onglet Excipients du vaccin Covid, sur le site de Sinopeg, on trouve Polyéthylène Glycol 2000 et plus loin on voit que c'est ALC-0159.

En prenant le brevet Moderna, il est répertorié tous les différents polyéthylènes : alcool 200 PEG, PEG 2000. Que l'on trouve dans l'onglet excipients Covid19 de Sinopeg.

D'autre vaccins mARN qui ne sont pas vendus aux USA on peut aussi trouver ces excipients avec le numéro CAS.

Il est donc indéniable qu'il y a du graphène dans ces "vaccins", contrairement aux dénégations des fabricants.

Le graphène, selon les explications de Sinopeg, est une structure centrale de graphène fonctionnalisée par du polyéthylène pour le stockage d'énergie diélectrique polymère – combinée avec des performances mécaniques et diélectriques. Le graphène est donc un excellent conducteur de l'électricité lorsqu'il y a une charge électrique positive (comme dans toutes les études du NIH, Moderna, etc., cela annihile tout ce qui entre en contact avec lui. En l'absence d'un champ magnétique ils sont neutres. Mais en présence d'un champ magnétique, c'est l'autre lipide, celui qui est ionisable, qui donne la charge positive pour la pénétration cellulaire. Lorsque les charges positives sont activées, potentiellement, il y aura des dégâts et probablement des morts, selon où ces nanoparticules vont se retrouver dans le corps et en quelle quantité.

L'oxyde de graphène est utilisé parce que c'est un formidable conducteur d'électricité et il peut héberger le champ magnétique. Il peut littéralement nous connecter à Internet.

Une société du nom de Shanghai Nanotechnology a déposé un brevet pour l'oxyde de graphène en vue de son utilisation dans les excipients du Covid 19. Lors d'une réunion de leur direction, le directeur technique de Moderna, Tal Zachs était présent.

La dissonance cognitive face à la perversion et au caractère diabolique de ces injections fait qu'il est très difficile pour les gens de comprendre. Et il faut aussi comprendre que pendant les derniers 18 mois du développement de ces produits, si quelqu'un disait : "Hé, ce virus n'est pas si grave", il se faisait ridiculiser, marginaliser, au pire on menace les médecins de leur retirer leur licence, pour que la vérité ne puisse pas sortir. Ainsi que quiconque s'interrogerait sur la rapidité de la mise sur le marché de ces vaccins. Même les documents de la FDA disent : "Les moins de 18 ans ne devraient pas se faire injecter",

L'ensemble des images présentées dans cet article se trouvent ici :

Brevet Moderna/NIH WIPO 2020/160397

AUTRES LIENS :

Sinopeg 

Hydrogel

Moderna SM-102

Dans la Liste des composants du vaccin Pfizer-BioNtech tel que publié sur le site de Pfizer Canada on peut lire :

Quels sont les ingrédients de Vaccin contre la COVID-19 de Pfizer-BioNTech ?

Ingrédient médicinal : ARNm

Ingrédients non médicinaux :

  • ALC-0315 = bis(2-hexyldécanoate) de ((4-hydroxybutyl)azanediyl)bis(hexane-6,1-diyle)
  • ALC-0159 = 2-[(polyéthylèneglycol)-2000]-N,N-ditétradécylacétamide
  • 1,2-distéaroyl-sn-glycéro-3-phosphocholine
  • cholestérol · phosphate dibasique de sodium dihydraté
  • phosphate monobasique de potassium
  • chlorure de potassium
  • chlorure de sodium
  • saccharose
  • eau pour injection

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Conclusion :

Elle semble si évidente après avoir compris ce qui précède, que le but de ces injections n'a strictement rien à voir avec une quelconque protection contre un supposé (ou réel) agent peut être pathogène appelé "virus", mais qu'il s'agit bien d'une "expérimentation" de tolérance (ou d'intolérance) de l'être humain à un produit toxique comme le graphène, et au-delà à un transhumanisme qui permettra de le contrôler intégralement, tel un robot. Au moins pour ceux qui résisteront à ces injections. Car il est inévitable qu'une grande partie des populations ne supporte pas de recevoir une nouvelle dose de graphène tous les six mois par exemple.

Lorsque la technologie 5G sera généralisée (elle n'est pour l'instant, en France, qu'en cours de déploiement : un peu plus de 32 000 en service à ce jour), et que l'ensemble de la population sera soumis en permanence à des fréquences encore jamais utilisées jusqu'ici dans les télécommunications, les "dégâts" pourront être énormes, et au stade actuel incalculables.

Pour les sceptiques, je rajoute le lien vers l'expérimentation d'Elon Musk, qui s'appelle NEURALINK, et qui permettrait, selon son promoteur, à une personne paraplégique de contrôler un ordinateur (ou un smartphone) par la pensée. Grâce à une interface connectée à des zones précises de son cerveau. On nous présente donc comme toujours ce projet, ainsi que l'injection Covid, comme ayant un objectif utilitaire.

Mais il ne faut pas perdre de vue qu'en informatique, ce qui est possible dans un sens, l'est aussi dans l'autre. Et donc, que c'est l'ordinateur (ou le smartphone) connecté à celui que le "greffé" utilise qui pourra le contrôler, jusqu'à "l'effacer" d'un clic de souris, si par exemple il n'a pas la conduite requise.

Voici un article de la revue FUTURA SCIENCES qui donne un aperçu de l'état des recherches de NEURALINK en septembre 2020.

Le lien vers le site internet de Neuralink

Sur l'image suivante qui est tirée du site internet de Neuralink, on voit parfaitement la taille de l'implant dans le cerveau, ainsi que les "fils neuronaux", qui permettront de "communiquer" avec l'oxyde de graphène injecté. A noter que ce "bidule" communique avec l'extérieur de la boîte crânienne par Bluetooth, Y Compris pour la recharge de l'implant, ce qui génèrera un courant de charge important, DANS LE CERVEAU !

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Frankenstein, Mengelé et autres docteurs Folamour me semblent être de tous petits guignols, apprentis sorciers, à côté de ces fous, de psychopathes, on ne trouve plus de qualificatifs, qui sont en train de conduire l'humanité à sa ruine.

Sauf si une part suffisamment importante de la population comprend ce qui est en train de se passer sous nos yeux.

Se réveille,

Et mette définitivement ces psychopathes hors d'état de nuire.

Avant de sombrer définitivement...

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