Tout ce qu'il faut absolument savoir avant de relever sa manche peut-être pour une troisième fois

Après toute une année d'injections et d'injonctions à se faire piquouser, faisons le point sur ce que nous avons appris depuis début 2021. Eteignons la propagande télévisuelle et allumons nos neurones.

L'éclairage des vaccinateurs étant beaucoup trop partial, il est vital de savoir ce qu'on "omet" de vous dire.

Ces injections appelées abusivement vaccins et qui au départ avaient, selon leurs promoteurs, une efficacité de 95 % ont vu petit à petit ce discours (uniquement marketing et en aucun cas scientifique) s'écorner, puisqu'actuellement les mêmes escrocs (il n'y a pas d'autre mot, il ont tous été condamnés sans exception à des milliards d'amendes pour diverses fraudes), admettent que leurs mixtures ne protègent pas de la "contamination", ni de la maladie en elle-même (ce qui est quand même un comble !) et ne protègeRAIENT plus que des formes graves. Ce dernier argument est en train de s'écrouler aussi, puisqu'il y a autant, sinon plus, de vaccinés en soins intensifs que de non-injectés… Sanitairement, ces vaccins sont donc des échecs cuisants … Sans parler de tous les effets secondaires graves.

Il apparaît donc essentiel pour faire un bilan d'une année de mascarade et de cette politique "tout vaccin", de bien se rendre compte des éléments suivants.

Petite mise au point préalable pour ceux qui pensent, comme le clame depuis plus d'un siècle la propagande des vaccinalistes, qu'un vaccin protègerait de la maladie ciblée.

Lorsqu'on regarde les courbes d'incidence et de mortalité des anciennes épidémies que les vaccinalistes prétendent avoir éradiquées (variole, diphtérie, rougeole, polio, etc.), non pas, comme ils nous les présentent seulement à partir de l'introduction de la vaccination, mais BIEN AVANT, on se rend compte que plus de 90 % de la décroissance des "cas" et de la mortalité a eu lieu AVANT l'introduction desdits vaccins.

Ce ne sont que l'amélioration des conditions de vie et surtout d'hygiène qui ont fait reculer ces épidémies (eau "potable", tout-à-l'égout, salubrité de l'habitat, salle de bains, alimentation, etc.).

Le mensonge actuel est donc bien plus ancien. Il n'est que le prolongement d'une "erreur" d'un médecin de campagne anglais Edward JENNER vers la fin des années 1700 au sujet de la variole, et des mensonges et escroqueries du chimiste Louis Pasteur ensuite. Mais à force de marteler dans l'esprit des populations que la seule façon de se protéger d'une mort quasi certaine est de se faire vacciner, cette pure escroquerie est devenue une quasi-croyance sectaire. Interdit de poser la moindre question, sous peine d'excommunion, l'Ordre des Médecins veillant au grain de tout dissident.

Comme un bon graphique vaut mieux qu'un long discours, voici donc ce qu'il en est réellement des épidémies passées, avant d'en arriver aux injections actuelles, qui elles, sont encore bien plus perverses, hélas.

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Avant d'entrer dans le détail de la composition de ces "mixtures chimériques" appelées vaccins Covid pour les associer dans l'esprit des populations à une fausse protection, il faut remettre à sa juste place le taux d'efficacité miraculeux vanté au départ par les vendeurs de ces produits.

Cette efficacité est en fait une efficacité relative, alors que la FDA américaine recommande de communiquer aussi l'efficacité ABSOLUE, "pour ne pas influencer abusivement patients et médecins".

Réinfo Covid a publié un excellent document très détaillé sur ce sujet

Ce qui revient à dire pour résumer ce document, que l'efficacité absolue de l'injection Covid Moderna est de 1,1 % et celle de Pfizer de 0,7 %. Donc que dans le premier cas on diminue le risque d'être infecté par le Covid de 1,1% et dans le second de 0,7 %.

D'emblée il est donc évident que la balance bénéfices/risques si chère aux fanatiques de la seringue, a de très fortes chances de plonger au moins vers une prudente abstention, pour ne pas dire sombrer dans les abîmes définitivement. Surtout lorsqu'on prend en compte les risques.

Voyons donc ces risques de plus près, en nous penchant sur la composition réelle de ces produits.

Petit rappel très rapide, dans un vaccin "classique", on injecte un agent que l'on pense avoir identifié comme responsable d'une maladie, soit sous une forme vivante (très rare, car très risquée) soit le plus souvent "atténuée" ou "inactivée", c’est-à-dire que l'on aura affaibli ou tué l'agent infectieux, de façon à le rendre incapable de développer la maladie. Mais on espère quand même que le système immunitaire de la personne a qui on l'aura injecté le "reconnaisse" et développe des anticorps contre. Et qu'idéalement, il se "rappelle" de cette infection maîtrisée de façon que lors d'une nouvelle contamination, il réagisse de lui-même.

Concrètement, les vaccins covid inoculés majoritairement chez nous utilisent une technologie toute nouvelle selon leurs promoteurs appelée mARN – pour ARN messager - (alors qu'en fait il y a des décennies qu'elle est étudiée et testée, au moins sur des animaux). On ne va plus inoculer l'élément jugé responsable de la maladie (bactérie, virus), mais on va forcer les cellules corporelles de la personne injectée à produire une toute petite partie de l'enveloppe du supposé virus que l'on veut faire ensuite reconnaître et éliminer par le système immunitaire. Grâce à l'ARN messager qui va "informer" les cellules de la personne de fabriquer la "célèbre" protéine Spike qui caractériserait le virus du Covid-19. Protéine de synthèse et non pas "naturelle".

Personne ne sait pendant combien de temps ni avec quelle intensité l'organisme va fabriquer ces protéines. Bien entendu on nous assure que l'ADN (le code génétique contenu dans le noyau de chaque cellule de chaque individu) ne sera pas touché, alors que c'est très loin d'être certain. Car normalement le codage génétique va dans le sens ADN > ARN qui lui ensuite "code" diverses protéines en fonction des "ordres" reçus depuis l'ADN. Mais la membrane du noyau cellulaire permet dans certains cas ce que les virologues appellent la transcriptase inverse, donc dans le sens ARN > ADN. Après l'injection, la production de la Spike ne durerait que quelques jours, et l'ARN injecté disparaîtrait très rapidement. Il est vrai que l'ARN corporel est très instable et disparaît rapidement une fois son travail effectué, mais rien n'est certain pour un ARN de synthèse. Apparemment, aucune publication scientifique indépendante ne donne des précisions dans ce sens, chaque individu étant différent, les réactions le seront aussi. Contrairement au dogme officiel qui affirme qu'un même produit injecté à toute la population produira les mêmes effets dans l'immense majorité, à quelques très rares exceptions. Tant pis pour derniers. Et aussi que la Spike ne passait pas dans la circulation sanguine, alors que le contraire est prouvé.

Donc on espère que l'organisme du "vacciné" saura reconnaître pendant un certain temps la protéine Spike du virus sauvage qu'il risque (peut-être) de rencontrer (rappelons que selon la théorie dominante des virologues, les virus mutent continuellement et le plus souvent très rapidement).

Premier maillon faible dans la théorie, les mutations actuelles (janvier 2022 Ômicron et bientôt Deltacron … etc. …) font que le virus est suffisamment différent de celui de "départ" (millésime 2019), pour que la très faible "protection" conférée d'environ 1 % finisse non seulement de fondre totalement, mais fasse basculer toute cette belle théorie dans le gouffre des absurdités scientifiques.

Ce qui rend ainsi définitivement caduque la politique du "tout vaccin".

Mais ce n'est de très loin pas tout.

Car la protéine Spike de synthèse fabriquée à partir de l'ARN injecté est reconnue comme étant elle-même toxique.

En effet, contrairement à ce qui a été dit au départ, la Spike passe bel et bien dans la circulation sanguine. Et de ce fait, peut se lier par exemple aux plaquettes et former ainsi des coagulations anormales. De plus, elle peut s'accumuler dans les tissus, la rate, la moelle osseuse, le foie, les glandes surrénales, dans les ovaires et les testicules. Elle peut même traverser la barrière hémato-encéphalique et causer des dommages au cerveau. Il est maintenant reconnu que les formes graves de Covid sont en fait dues non pas au virus, mais à la protéine spike.

Le Dr Frank Ruschizka, directeur de la clinique de cardiologie de l'Université de Zürich dit depuis avril 2020 que l'inflammation systémique provoquée par la protéine spike du virus peut toucher les vaisseaux sanguins de tous les organes, comme le cœur, le cerveau, les poumons, les reins, le tube digestif. On peut donc mourir autant d'une embolie pulmonaire que d'un AVC. Pourquoi en serait-il autrement avec le vaccin ?

Il semble même que cette Spike a une affinité toute particulière pour les cellules endothéliales (celles qui tapissent l'intérieur de nos vaisseaux sanguins) et a tendance à s'y fixer et y rester, un certain temps. Et comme le système immunitaire va chercher à éliminer ces spikes, il va attaquer et détruire les cellules qui les abritent, et transformer littéralement les vaisseaux sanguins en passoire. D'où les saignements observés.

Le Professeur Sucharit Bhakdi a écrit une lettre à l'EMA (Agence Européenne du Médicament) avertissant que les cellules qui produisent les spike attaquent le système immunitaire. Et que le système immunitaire attaque ces cellules. Ce qui est très précisément la définition des maladies auto-immunes, lorsque le système immunitaire attaque ses propres cellules. Bien entendu, aucune réponse de l'EMA.

La distribution corporelle du vaccin injecté dans les muscles passe à travers les ganglions lymphatiques puis dans la circulation sanguine. Ces gènes viraux sont absorbés par les cellules des ganglions lymphatiques. Lorsque ces cellules immunitaires ramènent la protéine spike à la surface, elles sont attaquées et détruites par leurs propres cellules immunitaires. En conséquence, les cellules immunitaires périssent en masse. Avec pour résultat de le détruire.

Une des conséquences de cette destruction du système immunitaire fera que les nombreuses cellules cancéreuses que chaque organisme développe normalement, mais qui sont éliminées par des lymphocytes de contrôle, vont pouvoir proliférer, et des cancers "dormants" se "réveiller", parfois de façon foudroyante.

Récapitulons jusqu'ici.

La micro-coagulation se produit toujours. Or, un tissu privé de sang, donc d'oxygène, sera forcément endommagé.

  • Si les cellules nerveuses sont privées de sang, il en résultera des lésions nerveuses. - ressenties comme une paralysie, une déficience motrice, des tremblements, une dysrégulation des mouvements.
  • Si les cellules cérébrales sont privées de sang, il en résultera une altération des capacités cognitives, un brouillard cérébral - un accident vasculaire cérébral.
  • Si les principales artères sont bloquées par des caillots, le résultat sera une crise cardiaque.
  • Si des micro-caillots se produisent dans l'apport sanguin aux yeux, le résultat sera une altération de la vision - parfois une cécité permanente dans un ou les deux yeux.

Même lorsque la coagulation ne produit pas de dommages aux organes vitaux, elle se traduira par une détérioration de la santé, vécue comme une apparition plus rapide de la fatigue, une incapacité à soutenir l'effort, une difficulté à maintenir les activités. (Les sportifs de haut niveau sont particulièrement touchés.)

Le vaccin épuise le système immunitaire.

Après le premier vaccin

Les cellules T tueuses CD8 montrent une augmentation massive, car elles tuent les cellules infectées par la protéine de pointe.

Après la deuxième vaccination

  • Le % de granulocytes bondit (dans l'analyse reproduite ci-dessous) à 79,6 %. Celui-ci est principalement composé de neutrophiles, dont le travail consiste à nettoyer les éléments indésirables.
  • Dommage tissulaire. Mais qu'est-ce qui est tellement endommagé à l'intérieur du corps ?

Le nombre de lymphocytes tombe à 13,8 % - l'extrémité la plus basse de la plage normale. CD4, CD8, lymphocytes B et les cellules tueuses naturelles sont toutes massivement diminuées.

                                           Avant                    Après

Granulocytes %                58,9 %                 79,6 %

Lymphocytes %                33,8 %                  13,8 %

D'autres changements s'opèrent encore, au niveau de l'interféron, de la production de TNF-alpha, donc la production de leucocytes, ainsi que la réduction de l'interleukine 1.

Tous ces éléments tendent à démontrer que le vaccin semble conçu pour désactiver le système immunitaire inné. On ne décèdera peut-être pas directement de l'injection, mais on aura beaucoup plus de "chances" de mourir de tout le reste. Comme avec le SIDA (Syndrome de l'Immuno Déficience Acquise).

Autre point important :

D'après une étude du Pr Michel Drancourt, présentée lors d'un séminaire à l'IHU de Marseille, les anticorps générés par les vaccins ne reconnaissent pas ou peu la protéine Spike naturelle présente dans le virus qui a une configuration structurelle différente. La protéine Spike produite à partir des vaccins à mARN (Pfizer ou Moderna) ou des adénovirus recombinants (AstraZeneca, Johnson&Johnson) des vaccins contre laquelle les vaccinés font des anticorps, n'est pas "maturée" comme la protéine "naturelle" présente dans le virus (pas de glycolysation).

Nous arrivons maintenant à la partie la plus grave.

Les supports et les additifs contenus dans ces injections. Je me tiens volontairement à ce qui est certain. Il circule sur les réseaux diverses vidéos qui montreraient des structures inertes ou mouvantes suspectes qui se trouveraient dans ces vaccins. Je reviendrai sur le sujet si des certitudes venaient à se faire jour.

Pour pouvoir transporter l'ARN messager dans les cellules corporelles, on utilise un support, sous forme de lipides nanoparticulaires.

Dans le vaccin Comirnaty® de Pfizer/BioNTech par exemple, il y en a deux, référencés dans les ingrédients mentionnés dans la notice sous ALC0159 et ALC0315.

Si le second peut sembler à priori relativement inoffensif, le premier n'est pas du tout pareil.

En effet sur le site d'un des fabricants de ces produits, on peut lire textuellement :

"Graphène fonctionnalisé en polyéthylène glycol structuré noyau-enveloppe pour diélectriques polymères à stockage d'énergie : performances mécaniques et diélectriques combinées.

Nous avons donc là un excellent conducteur électrique et électromagnétique.

Que diable vient-il faire dans un vaccin "grippal", fut-il à corona ?

En dehors du déni absurde des fabricants et de leurs promoteurs, aucune réponse claire jusqu'ici.

Et pourtant… Si l'on se réfère aux articles suivants, il y a au moins de quoi se poser de très sérieuses questions.

En effet, comment se fait-il que certaines personnes "vaccinées" produisent des adresses informatiques MAC au format Bluetooth selon un encodage hexadécimal. Alors qu'elles n'ont aucun terminal sur elles qui pourrait l'émettre ou le relayer ??? Et surtout dans quel but ???

Voir aussi ici d'autres détails sur ce point pour ceux qui voudraient en savoir un peu plus

Voici par exemple un brevet déposé à Shangaï le 27.09.2020 pour "un vaccin recombinant contre le nanocoronavirus, prenant de l'oxyde de graphène comme support". La description du brevet est particulièrement édifiante sur l'ancienneté avouée des recherches sur les vaccins sensés protéger des virus à corona, ainsi que sa date de dépôt.

Une chose est certaine, le graphène est reconnu toxique pour l'être humain.

Reste un dernier point, pour le moment… et peut-être bien le plus important

Il semblerait, je dis bien il sembleRAIT, que certains lots de vaccins soient plus nocifs que d'autres. Autrement dit, que certains lots cumuleraient des effets secondaires jusqu'aux plus graves, décès compris.

Le site internet du VAERS (l'organisme américain qui recense les effets secondaires des médicaments et donc aussi des vaccins) donne pour cette analyse de précieux renseignements.

Un rappel préliminaire : A travers toute la planète, les organismes qui sont sensés répertorier ces effets néfastes admettent tous qu'il n'y a, en moyenne, qu'entre 1 et 5 % de ces effets indésirables qui leur sont remontés. Je dis bien UN à CINQ pour cent. Ce qui veut dire que les chiffres indiqués par tous ces organismes doivent être au moins multipliés par 10 (si l'on veut rester gentil et optimiste), voire 50, sinon 100 si l'on veut se coller au plus près de la (triste) réalité.

En résumé, 100% des décès sont survenus dans 11,1% des numéros de lots disponibles au 7 janvier 2022.

De plus, seuls 5,3% des lots provoquent plus de 100 évènements indésirables et seuls 12 % plus de 10 évènements indésirables.

On peut donc en conclure qu'une minorité de lots cause la majorité des dommages.

La question incontournable qui se pose est donc, POURQUOI ?

Plusieurs possibilités :

  • On sait que la chaîne du froid est très importante et les conditions de transport dans des réfrigérateurs à moins 85°C n'est peut-être pas toujours respectée. Or, le 30.09.21, l'EMA a validé le prolongement de 3 mois supplémentaires (9 au lieu de 6) à une température entre -60° et -90°C.
  • Ensuite, la même EMA recommande d'étendre la durée de conservation au réfrigérateur conventionnel à 31 jours au lieu de 5 !!!

Quelle sera l'influence sur ces lots ? Y-aura-t 'il qu'une éventuelle perte d'efficacité ? Ou une dégradation plus sévère du produit ?

  • La date d'expiration des lots, suite logique du point précédent, y-a-t 'il une marge, ou non ? Que se passe-t-il (ou non) après cette date ? Surtout, comme nous venons de le voir qu'elle a été rallongée notablement…
  • Y-a-t 'il effectivement des lots plus ou moins "placebos", en ce sens qu'ils ne contiennent pas tous la même chose, comme le prétend la version officielle ?
  • Et conséquence logique du point précédent, y aurait-il des lots intentionnellement plus "nocifs" ?

Il se produit en tous cas un phénomène statistique que l'on peut appeler "tout ou rien", lorsqu'on recense les effets néfastes en fonction des numéros de lots utilisés.

Un exemple, pour les lots Pfizer distribués alpha numériquement le long de l'axe horizontal x, il ressort en vertical le nombre de cas.

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Une dégressivité alphabétique curieuse en ressort :

Les lots référencés par exemple FR sont plus nocifs que les PE

EP plus que ER

ER > EW

FA > FC

FC > FD

FD > FE

EF > HF

Si, comme cela semble logique, ce phénomène n'est pas le fruit du hasard mais est délibéré, il semble que des lots de toxicité variable aient été soigneusement étiquetés et testés sur le public, produisant différentes gammes de réactions indésirables.

Dans la série EN (en bleu turquoise ci-dessus), il y a un groupe de lots avec 2000 à 3000 effets indésirables chacun. Mais sous ce groupe un grand espace vide. Et un très grand nombre de lots EN sont très proches de zéro.

Si l'on regarde de plus près, il existe en fait 11 lots en tout dans la gamme des 2000 à 3000 effets. Puis 678 lots dans la gamme 1 – 37 et rien entre les deux. La chute soudaine de 2000 à 37 est tout à fait remarquable. Ce schéma de gradation de la toxicité ne peut pas être aléatoire, il y aurait sinon une variation graduelle entre ces deux extrêmes.

L'impression de non aléatoire est encore renforcée si l'on considère tous les lots de la gamme 2000-3000, qui ont les codes suivants :

EN6198 - EN6199 - EN 6200 - EN6201 - EN 6202 - EN 6203 - EN 6204 - EN 6205 - EN 6206 - EN 6207 - EN 6028.

C'est une suite mathématique parfaite. 11 lots dont chacun produit 100 fois plus d'effets indésirables que les autres lots. Aucun de ces lots n'a été rappelé par Pfizer …

La série EW en vert ci-dessus est aussi remarquable. Il y a un groupe de 30 lots produisant entre 2500 et 1200 rapports d'effets, mais en-dessous, il n'y a que 3 lots produisant 100 à 300 rapports, puis tous les lots restants produisent moins de 22 rapports.

Ici aussi les 30 lots super-toxiques font partie d'une suite mathématique continue.

EW150 EW151 EW153 EW158 EW161 EW162 EW164 EW165 EW167 EW168 EW169 EW170 EW171 EW172 EW173 EW175 EW176 EW177 EW178 EW179 EW180 EW 181 EW182 EW183 EW185 EW186 EW187 EW191 EW196 EW198 EW202 EW 217.

Image3      Image4

Et ainsi de suite pour les lots ER, et EL.

Dans la série des lots EL on trouve encore une autre singularité, opposée à la précédente.

En effet une suite de lots présente un faible nombre d'effets indésirables : EL 3257 EL3259 EL3262 EL3264 EL3265 EL3269 EL3272 EL3274 EL3276 EL3277 EL3283 EL3284 EL3286 EL3287 EL3289 EL3294 EL3297 EL3299.

Dans cette série EL, il y avait 18 lots hautement toxiques et 360 lots faiblement toxiques. Ainsi le rapport entre les mauvais et les bons lots est de 18/360 soit 1/20.

Garder les mauvais lots au niveau de 5% permettra de dissimuler ceux toxiques juste sous le radar de la perception.

Si 1 lot sur 20 est toxique, et si chaque personne reçoit deux vaccins par an, alors :

  • après 1 an, leurs chances d'obtenir un lot toxique seront de 1 sur 10
  • après 2 ans, leur chance d'obtenir un lot toxique sera de 1 sur 5
  • après 3 ans, leur chance d'obtenir un lot toxique sera de 1 sur 3

Bien sûr, cela suppose que le % de lots super toxiques reste constant à 5 %.

Si vous vous demandez quelle sauce on vous a injectée, que vous ayez eu des effets secondaires plus ou moins sérieux ou graves et que vous vous posez la question de savoir si vous voulez continuer à "jouer" à ce qui ressemble de plus en plus à une roulette russe mais en nettement plus dangereux car il n'y pas qu'une cartouche dans le barillet, il existe un site internet, dont sont tirés une partie des informations ci-dessus qui vous permet de retrouver le numéro de lot (qui figure dans l'attestation de vaccination).

Si votre numéro de lot ne figure pas sur ce site, ça peut vouloir dire qu'il n'est pas répertorié comme étant parmi les plus nocifs. A noter que le site a été mis à jour la dernière fois le 7 janvier 2022. Les lots mis tout récemment sur le marché n'y figurent peut-être pas.

Voir aussi l'article Quels sont les lots d'injections Covid19 les plus dangereux ?

Prudence donc dans les conclusions, mais il est important de connaître ces "singularités".

Il y a aussi ici un document qui a "fuité" de chez Pfizer

Je vous invite donc à vous connecter sur ce site, et si vous n'êtes pas familier avec la langue anglaise, activez le traducteur automatique de votre navigateur internet préféré.

Pour tester votre lot, depuis la page accueil, choisir le lien Pfizer ou Moderna, ou Janssen (en dehors des Etats-Unis).

Dans tous les cas, étant donné ce qui précède et l'efficacité effective nulle de l'injection vis-à-vis des nouveaux "variants", il semble tout à fait illusoire de vouloir se protéger, car les risques encourus sont trop importants et surtout trop graves par rapport aux risques de la maladie "sauvage". Quelle que soit l'origine réelle du covid qui aurait sa source en Chine à Wuhan.

Malgré toutes les manipulations statistiques actuelles, la mortalité générale pouvant éventuellement être associée à ce virus est très largement inférieure à 1 %, ce qui rend ce coronavirus plus inoffensif que la grippe saisonnière qu'on a accusé dans les "pires années" être responsable de 18 000 morts.

Sachant que les seules personnes qui décèderont éventuellement de la grippe seule sont celles qui ont dépassé leur espérance de vie, ou sont à ce point affaiblies par d'autres pathologies et traitements que ce sera la goutte (au nez) en trop. Je rappelle que le maximum de décès toutes causes confondues en 2020 se situait très précisément à … 90 ans

Ce qui ne justifie sanitairement en aucun cas de vouloir vacciner la planète entière. Et surtout pas les enfants en bas âge.