Bluetooth, graphène et "vaccins" Covid (suite)

Je publie ici une étude de Ricardo Delgado Martin qui confirme celle du Dr Pablo Campra, espagnol lui aussi.

Bien entendu ces deux études sont vigoureusement démenties par les médias officiels, et leurs "sponsors".

Pourtant, toutes ces études qui trouvent des particules "non identifiées et ressemblant à s'y méprendre à du graphène", niées par les fabricants de ces produits tendent à démontrer et surtout à expliquer les phénomènes que désormais tout un chacun peut constater par lui-même. Il suffit d'être équipé d'un smartphone (Androïd de préférence sur lequel on aura installé une application spécifique) pour pouvoir se rendre compte de façon INDISCUTABLE qu'une majorité de personnes injectées (mais pas toutes !) avec un des produits de Pfizer-BioNTech, Moderna, AstraZeneca et Janssen émettent des adresses de matériel informatique M.A.C. (Media Access Control, rien à voir avec Apple) au format hexadécimal et grâce à la technologie Bluetooth, alors que ces personnes n'ont aucun terminal sur elles qui pourraient en être à l'origine.

Pour plus de détails, voir ici :

http://collectif-federateur.org/index.php/articles2/science-sante/459-bluetooth-et-vaccins-covid-qu-en-est-il-reellement

Et pour ceux qui veulent aller plus loin, voir aussi ici :

http://collectif-federateur.org/index.php/articles2/science-sante/460-bluetooth-graphene-et-vaccins-covid

Toutefois, certaines personnes qui ont été injectées (une minorité) n'émettent pas ce code MAC par Bluetooth. Contrairement aussi aux affirmations officielles qui laissent entendre que tous les lots de "vaccins" contiennent la même chose, il est maintenant prouvé que c'est très loin d'être le cas. Et que ce n'est pas le fruit du hasard. Mais volontaire et délibéré. Voir ici :

http://collectif-federateur.org/index.php/articles2/science-sante/463-quels-sont-les-lots-d-injections-covid19-les-plus-dangereux

Et aussi ici :

http://collectif-federateur.org/index.php/articles2/science-sante/464-tout-ce-qu-il-faut-absolument-savoir-avant-de-relever-sa-manche-peut-etre-pour-une-troisieme-fois

Aucun des Fakt-checkers qui va me traiter de conspirationniste et d'illuminé ne pourra me démontrer et prouver SCIENTIFIQUEMENT COMMENT UN ORGANISME HUMAIN PEUT GENERER DES ADRESSES INFORMATIQUES PAR BLUETOOTH, ALORS QU'ELLE N'ONT SUR ELLES AUCUN TERMINAL QUI POURRAIT LES GENERER ??? Et que toutes ces personnes ont eu une ou plusieurs injections d'un de ces produits. Autrement qu'avec l'injection d'une puce, ou de graphène configurés dans ce but.

Les études sur les propriétés du graphène dans le domaine MEDICAL remontent à plusieurs années, voire décennies.

Suffisamment de liens dans ces différentes pages le prouvent.

Donc, comme Ricardo Delgado Martin et Pablo Campra le demandent, il faudrait que d'autres études totalement INDEPENDANTES confirment les leurs (ou les infirment, mais dans ce cas, d'autres explications indiscutables doivent être avancées pour clarifier les FAITS INDISCUTABLES, EUX !).

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IDENTIFICATION DE MICROTECHNOLOGIES ET DE STRUCTURES ARTIFICIELLES POSSIBLES DANS LES VACCINS PFIZER AU MICROSCOPE OPTIQUE

 RAPPORT D'ANALYSE

AU MICROSCOPE OPTIQUE

ET RAPPORT PHOTOGRAPHIQUE

 

 Séville, Espagne, le 14 janvier 2022

 

Ricardo Delgado Martin

Diplômé en statistiques. Spécialité en Biostatistique.

Université de Séville

  

OBJECTIF DE LA RECHERCHE

Le but de ce travail est l'identification d'objets artificiels et de structures microtechnologiques qui pourraient être inclus dans le vaccin commercial Comirnaty Pfizer.

A cet effet, plusieurs objets visibles au microscope optique ont été photographiés et comparés à ceux publiés dans les articles de la littérature scientifique, aux fins de cette analyse.

De plus, des tentatives ont été faites pour identifier une grande variété d'objets compatibles à de possibles structures de graphène, en fonction des particularités de ce matériau, telles que les plis, les reliefs, la tension superficielle, etc.

Cette recherche est une tentative de caractériser ces structures du point de vue de la microscopie optique, en tenant compte des limites des méthodologies et des moyens utilisés.

Les photomicrographies ont été prises avec des grossissements compris entre 200X et 1400X. Un nombre plus représentatif d'échantillons sera à analyser par la technique optique pour pouvoir tirer des conclusions ou des déclarations générales dans le cadre de cette recherche.

Néanmoins, ce rapport est un critère à prendre en compte et doit absolument être complété et élargi par des scientifiques et des laboratoires indépendants pour clarifier le contenu de ce produit, qui s'adresse à la société civile du monde entier.

INTRODUCTION

Depuis de nombreuses années, les micro- et nanotechnologies pour former des nanoréseaux intracorporels destinés à coexister à l'intérieur des êtres vivants constituent un objectif scientifique, qui se reflète également dans la littérature scientifique.

La nanotechnologie offre à l'industrie de l'ingénierie un nouvel ensemble d'outils pour développer des composants à l'échelle nanométrique avec des fonctionnalités sans précédent. L'intégration de différents nano-composants dans une seule unité devient la concrétisation permettant de créer des nanomachines avancées.

Les nanoréseaux, donc les réseaux de nanomachines sont utilisés dans un large éventail d'applications biomédicales, environnementales, industrielles et militaires. Des dizaines d'articles scientifiques publiés jettent les bases d'un moyen de communication électromagnétique grâce au graphène dans les nano- et micro-réseaux, y compris les micro-réseaux internes du corps.

https://www.researchgate.net/publication/269853754_Fundamentals_of_Electromagnetic_Nanonetworks_in_the_Terahertz_Band

https://www.researchgate.net/publication/282476793_Design_of_Wireless_Nanosensor_Networks_for_Intrabody_Application

https://ieeexplore.ieee.org/document/7874136

Les résultats obtenus indiquent que la gamme de fréquence Térahertz (0,1 – 10 Thz) est optimale pour le fonctionnement des nouvelles nano-antennes.

De plus, le graphène est un matériau capable d'absorber le rayonnement micro-ondes d'antennes téléphoniques dans la gamme Ghz pour le transposer jusqu'à l'échelle de la gamme de fréquences Térahertz.

https://cordis.europa.eu/article/id/124280-graphene-boosts-ghz-signals-into-terahertz-territory/es

Pendant des années, la fréquence la plus élevée pour les transistors au graphène était très exactement de 26 Ghz.

https://www.photonics.com/Articles/26-GHz_Graphene_Transistor/a35858

Nous sommes également conscients que notre gouvernement [en Espagne, certains autres pays l'on déjà officialisée] attend l'approbation de l'appel d'offres pour utiliser précisément cette fréquence de 26 Ghz dans la nouvelle technologie de téléphonie 5G.

Au vu des résultats de cette enquête, ainsi que des travaux de recherche bien connus du Dr. Campra "Rapport technique sur la détection de graphène dans les vaccins Covid par micro-spectroscopie Raman", dans laquelle la présence de graphène dans des échantillons de vaccins Pfizer, Moderna, AstraZeneca et Janssen est clairement démontré, il apparaît concevable que ce matériau, qui n'est pas nommément déclaré dans ces flacons de vaccins soit à la base de l'établissement de nano- et micro-réseaux intracorporels dans la population mondiale sous prétexte de la "pandémie" actuelle.

https://www.researchgate.net/publication/355684360_Deteccion_de_grafeno_en_vacunas_COVID19_por_espectrosco

De même, nous avons déjà l'effet multiplicateur du graphène sur le rayonnement d'antennes de téléphonie mobile mentionnées par le rayonnement Cherenkov.

https://aip.scitation.org/doi/abs/10.1063/1.4984961?journalCode=apl

Dans la dernière partie, et en conclusion de ce travail de recherche, il est souligné que la soi-disant maladie Covid 19, en raison des preuves de la dépendance aux radiations qu'il s'agit en fait d'un syndrome d'irradiation aiguë. L'action de la toxine elle-même introduite par les "vaccins" est amplifiée par l'effet collatéral de ces micro-technologies développées ces dernières années. Technologies inconnues de la société civile, financée par le Graphene Flagship.

https://graphene-flagship.eu/graphene/news/european-opportunities-for-research-and-innovation-with-layeredmaterials/

L'article scientifique suivant, publié dans PubMed énumère les similitudes entre la maladie Covid 19 et les dommages causés par les radiations, ce qui explique que le vrai agent étiologique ou causal de la maladie n'est pas d'origine biologique, mais est dû à ce composé chimique toxique, le graphène et ses dérivés.

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/labs/pmc/articles/PMC7861125/

La suite intégrale et en français de cette étude se trouve ici :

https://mega.nz/file/NA0SSDTQ#FIu8lvR-e59zMNTLOKP_5aaqinxcfhdGZm4YwavFVRc