Surmortalité après les injections Covid

Avec ce qui ressemble de plus en plus à une avalanche de conséquences graves et surtout de décès "anormaux" de personnes de plus en plus jeunes et qui n'avaient au moins en apparence aucune comorbidité, il me semble indispensable de chercher à comprendre pour le mettre en évidence, ce qui se passe réellement.

Car notre pays des ex-droits de l'homme, nous a fait plonger en quelques mois dans une dictature de plus en plus semblable à celles de l'ex URSS et la Corée du Nord actuelle. Je sais que je vais faire bondir certains avec cette phrase, mais je les invite à réfléchir à la question suivante : qu'est-ce qui est le plus pervers, une dictature qui dit son nom et qui l'assume, ou une "démocratie" qui n'a plus que le nom de ce qu'elle prétend être ???

Il est maintenant démontré qu'au moins certains lots d'injections sont beaucoup plus toxiques que d'autres. Une excellente source d'information basée sur les données du VAERS américain se trouve ici. On peut même y déterminer le niveau de toxicité du lot dont on a "bénéficié" si l'on n'a pas pu échapper à l'injection y compris pour les doses vendues en Europe. La toxicité de ces lots a plusieurs causes, la protéine Spike de synthèse, toxique en elle-même,  et les "corps étrangers" détectés dans des analyses comme le graphène et d'autres "impuretés" pour les plus évidentes.

Pour pouvoir estimer l'ampleur des "dégâts" il faut se plonger dans les diverses sources de statistiques qui répertorient les décès toutes causes confondues. Puisque ceux attribués au "coronacircus" sont totalement fantaisistes, et ne veulent strictement rien dire. Juste pour mémoire, la létalité - mortalité attribuable à une pathologie donnée - (même en considérant les chiffres les plus pessimistes) n'a jusqu'ici pas dépassé les 1% et se situe plus certainement entre 0.04 et 0.05%. Ce qui veut dire qu'au moins 99.5 % de la population n'a absolument pas à se soucier de ce "bidule". Qu'il soit naturel, accidentel ou volontaire. La mascarade et les injections généralisées ne servent en aucun cas pas à nous protéger, bien au contraire.

Du côté français, jusqu'ici deux sources semblaient assez fiables (elles donnaient au moins pour une même période des tendances similaires), c'était l'INSEE (Institut National des Statistiques et Etudes Economiques) qui enregistre les remontées de données de tous les bureaux d'état civil, et le site internet LibraMemoria qui lui, regroupe toutes les annonces de décès de tous les journaux régionaux français. Ceci jusqu'au mois de septembre-octobre 2021. (J'avais d'ailleurs publié toutes les semaines les mises à jour de ces statistiques depuis le début de cette hystérie en mars 2020).  A partir de l'automne 2021 donc, une chute vertigineuse des décès démontre à l'évidence soit une erreur, soit une manipulation. Erreur simultanée difficilement concevable pour deux sources de données totalement différentes. Car statistiquement, humainement et logiquement, il est tout à fait impossible que la mortalité globale chute de plus de la moitié en deux semaines, surtout à une période de l'année où elle devrait recommencer doucement à augmenter à l'approche de l'hiver. A noter que pour ce qui est de l'INSEE, il n'y a plus aucune donnée à partir du 1er janvier à ce jour … 

Exemple chez LibraMemoria : la chute de la courbe bleue de 2021 à partir de la mi-octobre est tout simplement impossible. Il y a là la preuve indiscutable d'une dissimulation délibérée.

Décès ttes causes Ht Rhin avril décembre 2019 20 21

D'autant plus que jusqu'à cette période, le nombre de décès cumulés par l'INSEE était en 2021 SUPERIEUR à celui de 2020 !!! Ce qui n'est absolument pas normal, puisqu'il n'y a pas eu l'arrêt total de tous les soins du printemps 2020.

Par exemple le 20 septembre (avant le plongeon) il y avait :

 en 2021               :               473 020 (+ 9 037 vs 2020)

en 2020                :               463 983

en 2019                :               440 452 décès.

Soit, presque 10 000 de plus en 2021 qu'en 2020, et plus de 32 000 de plus qu'en 2019 !!!

Fin octobre :

En 2021                :               543 179 (+ 4625 vs 2020)

En 2020                :               538 554

En 2019                :               506 493

Et en fin d'année :

En 2021                :               660 331 (- 8 852 vs 2020)

En 2020                :               669 183

En 2019                :               613 456               

Ce n'est pas beau, la manipulation ???

Devant tant de mauvaise foi, il a donc fallu se tourner vers d'autres sources.

La DREES (Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques qui relève du ministère de la Santé) semblait tout indiqué. Hélas, alors que jusqu'à début janvier il était possible de visualiser diverses formes de graphique directement sur le site à partir des données sélectionnées, l'onglet "Analyses" le permettant a été déplacé dans les tréfonds du site, et de plus l'accès au données de décès relève d'un tel fouillis qu'il n'est plus possible de, par exemple visualiser le nombre de décès en fonction du statut vaccinal. Par exemple, à fin décembre, nous avions la répartition suivante de décès par rapport au statut vaccinal des personnes injectées :

DREES fromage décès vs vaccins

Ou, même sans rentrer dans les détails, on voit clairement qu'il décède autant de "piquousés" à 1, 2 ou trois fléchettes, (partie droite du fromage) que de personnes "vierges" de toute injection (à gauche). Nota : actuellement, dans la configuration de l'affichage, le critère DC (décès) n'apparaît plus qu'épisodiquement !!!

Cette catégorie de données semble relever du secret défense. N'oublions pas que nous sommes en guerre !

A titre d'info et de comparaison, voici ce que donne le site de l'INSEE par année d'âge.

En global pour tous les âges :

Décès année age insee 2020 2021

On ne distingue qu'un surplus en 2020 autour des 90 ans, le reste étant quasi identique.

Pour les 0 à 40 ans :

Décès 0 40 ans insee 2020 2021

Il y a 2335 bébés décédés en 2020 et 2588 en 2021, soit 253 de plus, soit 10.83 % de plus ce qui est très loin d'être négligeable, et en tous cas pas le fruit du hasard. Les autres années d'âge montrent presque toutes un très faible surplus.

Les 41 à 65 ans : sont presque à égalité, si ce n'est un très léger surplus à partir de 60 ans.

Décès 41 65 ans insee 2020 2021

De 66 à 80 ans hormis les 75 ans, pas grande différence.

Décès 66 80 ans insee 2020 2021

Et pour les plus de 80 ans, les "mesures" prises en 2020 semblent être très nettement plus mortifères que les injections.

Ce qui semble relativement logique, puisque les effets graves sont surtout dus à un "emballement" du système immunitaire. Et comme celui-ci est bien moins "performant" chez les anciens que chez les plus jeunes, les surréactions seront forcément moins nombreuses et moins violentes.

Décès plus de 80 ans insee 2020 2021

Il ne reste donc plus qu'à chercher encore ailleurs.

Un site intéressant est celui de OurWorldInData. Nous pouvons y consulter et comparer tous les pays de la planète pour différents critères Bien entendu le coronacircus est bien en évidence.

Le graphique suivant nous donne la mortalité toutes causes confondues et pour toutes les classes d'âge pour la France entre mi-janvier 2021 et mi-janvier 2022. On y voit nettement la confirmation de ce que j'avais constaté jusqu'à octobre 2021 à l'INSEE et LibraMemoria. Une "légère" surmortalité globale.

Le point le plus intéressant de ce graphique se situe dans la localisation temporelle des "pointes" :

La première du 31 janvier 11% est en grande partie due à la période hivernale, il est normal que la mortalité augmente à ce moment de l'année, et soyons juste, la vaccination de masse n'a commencé réellement chez nous que dans les premiers jours du mois de février. Le 28 février, la surmortalité était annulée, puisque nous étions pile à 0%. Après une petite incursion en secteur négatif, la remontée s'amorce le 7 mars (-3%) et le 14 mars (-2%). Une semaine plus tard, le 21 mars, nous sommes déjà à +4%. A ce moment on constate une augmentation des décès chez les personnes âgées, celles qui ont été injectées en priorité ! Pour atteindre un maxi le 25 avril à +16%. Ensuite, décroissance jusqu'à repasser en zone négative le 27 juin à -8%. Entre-temps les states plus jeunes de population étaient "éligibles", et comme par hasard nous voyons la courbe remonter le 25 juillet pour atteindre +6%. Ensuite, progression en zigzag jusqu'au 12 septembre avec 12%. Inutile de rappeler le chantage odieux aux soignants de se faire injecter, les résultats sont là. Après cette "vague" de catastrophes, décroissance assez rapide puis, devant les nouvelles pressions et chantages à l'injection, la courbe remonte une fois de plus pour atteindre de nouveau 15% le 12 décembre. En prévision de la fin d'année beaucoup auront cédé au chantage, malheureusement pour eux… Comme toutes les courbes statistiques, la dernière portion n'est pas à prendre en compte, car les données correspondantes sont encore susceptibles d'être réactualisées dans de grandes proportions. Le 2 janvier nous étions encore à +2%.surmortalité tous ages OurWorldinData 2021

surmortalité Europe carte

https://ourworldindata.org/excess-mortality-covid

Il y a donc eu des "vagues" de décès, synchronisées avec un léger décalage dans le calendrier des injections. Et des injonctions ! Décalage normal, puisque les décès ne se produisent pas forcément dans les heures ou jours suivants immédiatement l'injection, mais parfois bien plus tard, comme pour les AVC, myocardites et autres troubles de la coagulation sanguine. Ce qui permet aux complice de Fauci de se défausser...

On peut donc sans exagération affirmer que, au "mieux" cette injection rend malade par plus ou moins lente destruction du système immunitaire et accumulation de micro-coagulations, et au pis qu'elle tue plus ou moins rapidement en fonction de la résistance de chacun. Et dans tous les cas ne protège en rien de rien.

Pour ne pas trop brutalement éveiller les soupçons, le niveau de létalité semble, au moins jusqu'ici, maintenu autour d'environ 10 % en moyenne tout au plus, de façon à pouvoir mettre la surmortalité "sur le dos" des supposés variants dont on peut justement varier les millésimes et dénominations à l'infini. Au moins aussi longtemps que le régime de terreur du coronacircus devra être maintenu. En attendant la terreur suivante (guerre, effondrement économique planifié, retour de la fable du CO² et du changement climatique, terrorisme, etc.) dont le menu est aussi très fourni.

Si nous considérons d'un peu plus près les détails de mortalité par tranche d'âge dans le graphique suivant, plusieurs constats s'imposent :

  • Pour les plus jeunes (0-14 ans), largement en-dessous en début d'année, celle-ci augmente en dents de scie à partir du mois de mars, pour atteindre presque 30% en septembre.
  • Pour la tranche de 15 à 64 ans, début d'année également en-dessous des années précédentes, puis légère augmentation, plus prolongée à partir de juillet.
  • Pour les 65-74 ans, le premier pic est plus marqué au printemps pour atteindre 18%, décroitre ensuite vers la "normalité" pour remonter ensuite en fin d'année.
  • Pour les 75-84 ans, c'est eux qui semblent payer le plus lourd tribut, puisqu'en dehors d'une très courte pause en juillet, la courbe est toujours largement au-dessus et atteint à trois reprises la barre des 20 %.
  • Enfin les plus anciens, de plus de 85 ans étaient en surmortalité en tout début d'année, puis au printemps, et enfin en fin d'année.

La moyenne de tout cela est donnée dans le graphique "All ages".

Comme dans la courbe générale ci-dessus, on voit donc très nettement le premier pic printanier, puis celui consécutif à l'abjecte obligation par chantage d'injection pour certaines catégories décrété le 12 juillet, et la conséquence à la rentrée, puis vers la fin d'année.

 mortalité tranche dâges OurWorldindata 2021

Au vu de ce qui précède, il faudra au moins l'intelligence supérieure d'un Olivier Véran pour malgré tout persister à dire que le vaccin protège des formes les plus graves, et que si l'on meurt malgré tout vacciné à deux ou trois doses, on ne mourra au moins pas d'une forme grave…

Ce pitre lamentable semble considérer que nous sommes assez stupides pour ne pas comprendre que la forme la plus grave d'une maladie, quelle qu'elle soit, est le décès…

Pendant combien de temps notre secte de valets de Pfizer et Moderna and Co pourront-ils encore dissimuler le but réel de ces injections ? But qui n'a rien à voir avec une protection contre un supposé virus.

Et pendant combien de temps les médias cireurs de leurs bottes continueront à être complices du pire génocide qui n'ait jamais été perpétré ?

Pour d'autre précisions sur les "magouilles" de la DREES tout spécialement, un article très fouillé ici