Pourquoi ces rappels d'injections incessants ? Alors qu'il devient évident qu'ils ne protègent de rien, et surtout pas des formes graves. Des éléments de réponses.

Avec la quantité incroyable de recherches sur l'intelligence artificielle (IA) depuis des années et tout particulièrement avec la montée en puissance des ordinateurs depuis le début des années 2000, et les possibilités que cette montée en puissance laisse entrevoir (brevets à l'appui), il convient de se poser des questions urgentes devant l'insistance frénétique de toute la "sphère occidentale" (aux mains du FMI, de la Banque Mondiale et autres Banque de Règlements Internationaux, Bilderberg et Davos) à vouloir vacciner continuellement toute la population. Et de plus en plus souvent. Que ce soit "contre" le Covid de n'importe quel millésime ou le Monkeypox, n'importe quelle autre variole, Ebola, Marburg, etc. …

Quitte à inventer de nouvelles fausses "pandémies" de toutes pièces.

Rappelons que la mortalité mondiale attribuée, ô combien abusivement au cocotruc, est inférieure à 0.2 % en prenant les derniers chiffres les plus exagérés officiels. Et de l'ordre de 0.015 %, voire 10 à 100 fois moins en restant "honnête" et en admettant que la cochonnerie larguée déjà en été 2019, probablement à Wuhan, (dans le but d'affaiblir la Chine), et baptisée depuis très longtemps Covid-19, soit effectivement au moins coresponsable de certains décès. (En 2020 l'année d'âge, comme toutes les autres années, celle qui a eu le plus de décès est à 90 ans !!! QUATRE-VINGT-DIX !!!, en prenant les décès pour chaque année d'âge et non pas des moyennes trompeuses. Et ceci c'est depuis TOUJOURS le cas, cocotruc ou pas). A noter que tous les principaux "épisodes" grippaux mondiaux sont partis curieusement de Chine et d'Asie  (la grippe asiatique en 1957, la grippe de Hong-Kong en 1968).

Celle de la toute récente variole du singe est endémique surtout en Afrique de l'Ouest. Mais cette variole ne "sévit" curieusement que dans les pays qui ont le plus injecté leurs populations contre le coronacircus. Et seulement dans certaines catégories de population !!!

A l'heure où il faut être complètement abruti pour ne pas se rendre compte que le discours officiel non seulement ne tient pas debout, mais de plus est totalement mensonger depuis le départ, il faut donc se demander ce que contiennent effectivement ces vaccins. Le profit financier est-il la seule réelle motivation pour justifier la folie de vouloir injecter la planète entière ?

Beaucoup de chercheurs ont publié des photos et vidéos prises par différents types de microscopes et dans divers laboratoires. Ces prises de vues ne présagent rien de bon.

Il est aujourd'hui acquis que les vaccins de Pfizer/BioNtech, Moderna et Janssen contiennent des nanoparticules lipidiques à base de graphène réduit. (@rGO) Pour Pfizer cela figure dans la liste des ingrédients, sous le doux nom de ALC-0159. Chez Moderna, c'est le SM102, officiellement un Poly-éthylène-glycol. Sensés "faciliter" la pénétration de l'ARNm dans les cellules. 

Malgré les dénégations véhémentes des merdias. Alors qu'aucun laboratoire n'a jamais directement démenti ce fait.

A noter que le nom de BioNtech veut dire en fait Bio-Nano-Technologies. Et que le nom original de Moderna s'écrivait ModeRNA … Et que tout ce "beau monde" a été condamné depuis toujours à des milliards de dollars d'amendes pour des fraudes continuelles lors de leurs demandes de mise sur le marché de ce qu'il faut bien appeler des potages de 11 heures (que ce soient des pilules ou des injections).

Cette vidéo rejoint en quelque sorte la réflexion que je me fais depuis quelques mois.

Même si je ne suis pas aussi catégorique que Roberto Delgado sur certains points.

Ce qu'il faut bien décrire comme une passivité incompréhensible (en restant gentil) ou un abrutissement de masse (presque) total (en devenant plus réaliste) de la population, abrutissement qui me semble si profond qu'il ne peut pas seulement s'agir de celui résultant du bourrage de crânes distillé 7/7 et 24/24 par les médias mainstream depuis un peu plus de 2 ans.

Même en admettant que des images subliminales soient insérées dans les différents "rappels" de mascarade, de distanciation et d'incarcération. Voir ailleurs. N'y aurait-il pas autre chose ?

Puisqu'au moins officiellement il y aurait au moins 70% de la population adulte vaccinée à au moins deux doses, selon les chiffres de la DREES, et qu'environ encore une fois 70% de ces vaccinés émettent (au moins pendant un certain temps, variable) des adresses informatiques MAC par Bluetooth, est-ce que cette adresse MAC que leur organisme émet n'est pas "connectée quelque part", via une application "cachée" dans les téléphones portables par exemple ? Je rappelle les mises à jour incessantes de tous les appareils connectés, smartphones ou ordinateurs, sous couvert de "meilleure stabilité, de nouvelles fonctionnalités (lesquelles réellement ???), et de sécurité".

Et dans ce cas, quelles sont les "informations" émises et reçues ???

Le but de ces injections forcenées, jusqu'au plus jeune âge, ne serait-il pas un contrôle total de la population ???

Une chose est certaine aussi, toutes les fioles ne contiennent pas la même chose. POURQUOI ? Pour éviter une hécatombe trop visible ??? Puisque toutes les personnes, même récemment injectées, n'émettent pas d'adresse Bluetooth, et de plus n'ont aucun symptôme, n'y aurait-il qu'une "certaine" quantité (pas toujours la même ?) de graphène dans les fioles ?

Quelques éléments de réflexion reprises depuis la vidéo de Ricardo Delgado : (en espagnol mais sous-titrée intégralement en français).

Le système immunitaire répond exactement de la même manière à ce que nous appelons communément des agents pathogènes de type viral ou bactérien, tout comme il répond à un composé chimique toxique.

La première réponse consiste en une inflammation, pour éviter que le matériau synthétique ou biologique ne prolifère à l'intérieur du corps.

L'expression globale des gènes et l'analyse des voies ont montré que la signalisation mesurée par une certaine enzyme jouait un rôle central dans l'effet biologique toxicologique induit par l'oxyde de Graphène (GO), tandis que l'oxyde de graphène réduit, précisément celui trouvé dans les vaccins, pourrait provoquer l'interaction hôte-pathogène viral et par conséquent la réponse immunitaire innée.

En d'autres termes, le système immunitaire ne se soucie pas de savoir si on introduit un composé chimique toxique ou si on introduit une bactérie, avec par exemple une capacité létale.

Lorsque l'oxyde de graphène atteint le sang, il y a la couronne biologique ou la couronne biomoléculaire et à partir de là, à l'échelle nanométrique, l'interaction du système immunitaire est au niveau des protéines. On parle de tailles virales qui se comportent comme des pathogènes en interaction avec la biologie.

S'il n'y a pas eu de séquençage réel d'un agent pathogène Covid-19 comme on le prétend, nous avons la preuve qu'ils insèrent de l'oxyde de graphène réduit. Dans le but final de l'agenda 2030 du transhumanisme.

Bien que l'oxyde de graphène soit fait avec les mêmes atomes que nos tissus et nos organes, car il est de nature carbonée, sa nature bidimensionnelle provoque des interactions uniques avec les protéines sanguines, dans les poumons, des enzymes comme la myélopéroxydase, ainsi qu'avec les membranes biologiques.

Ce qui peut provoquer des effets graves comme la formation de caillots sanguins.

Parce qu'il favorise l'effet "rouleaux", car il catalyse les dommages causés par les radiations, qui sont finalement une cascade de coagulations et donc toutes sortes de thromboses et thrombocytopénies. Et à partir de là toutes sortes d'AVC, hémorragies, embolies etc. libération de cytokines.

Une revue des preuves empiriques disponibles sur la toxicité du graphène a récemment été publiée.

C'est un schéma qui décrit les mécanismes possibles de cytotoxicité et de génotoxicité, mutagenèse, cancer, etc.

Les "feuilles" de graphène peuvent pénétrer dans les cellules par différentes voies. Une fois dans les cellules, le graphène peut induire la génération de substances qui produiront un stress oxydatif. Ces altérations peuvent entraîner différents types de dommages : destruction physique de la cellule, apoptose, nécrose, lésions de la membrane plasmique, inflammation, altération de l'ADN.

Le graphène catalyse les dommages des radiations d'autant plus qu'il convertit les gigahertz en térahertz.

La réponse inflammatoire dépendra de la quantité de radicaux libres générés et de la quantité de radiation absorbée par le matériau.

L'introduction de ce matériau dans les vaccins explique les effets de ce qu'ils ont appelé Covid19 comme un syndrome d'irradiation aiguë, car le graphène, à lui seul ne fait qu'aggraver les dommages causés par le rayonnement micro-ondes. C'est un matériau piézoélectrique, supraconducteur, de condensation d'énergie et qui agit en somme comme une batterie pour auto-alimenter tous ces dispositifs intracorporels. Cette "suralimentation" électrique va enflammer le cœur et provoquer myocardite et péricardite. De plus ce conducteur a la capacité de stocker de l'énergie. Ce qui peut induire des arythmies létales.

L'effet toxique de l'oxyde de graphène (GO) sur les cellules vivantes est un facteur limitant sont utilisation dans le domaine biomédical. La sévérité de ces effets toxiques varie selon la voie d'administration. La plus toxique est la barrière sanguine. Car certaines enzymes peuvent l'éliminer ou au moins le dégrader.

Comme l'équilibre oxydatif du corps est perturbé par le graphène, l'acétylcystéine, le glutathion intraveineux, le zinc et d'autres antioxydants fonctionnent dans le traitement de ce qu'ils appellent covid, qui est en fait un syndrome d'irradiation aiguë.

Actuellement dans les espaces ouverts il y a moins de personnes qui émettent une adresse MAC qu'il y a quelques mois. La fréquence des injections ayant diminué.

Le graphène a la particularité de casser les synapses neuronaux, car il a une affinité pour les neurones, et traverse la barrière hémato-encéphalique.

Ce qui fait que toute impulsion électrique générée par une pensée puisse en étant traduite par un UN ou un ZERO binaire être ensuite traduite sur un écran … éventuellement à l'autre bout de la planète.

Il existe depuis de nombreuses années des applications d'intelligence artificielle qui sont capables de traduire avec un degré de fiabilité proche de 90% ce qu'une personne pense ou a l'intention de faire.

Ce qui veut dire aussi que le comportement d'une personne peut être contrôlé grâce à des instructions envoyées par les réseaux de télécommunication. Donc le contrôle mental serait entre les mains de "l'élite".

Puisqu'il n'y a pas eu, de vrai séquençage du SARS-Cov2 et de ses variants, contrairement aux affirmations, ils nous disent maintenant que le "virus" infecte le cœur et le cerveau…

Quel autre virus est capable d'infecter le cerveau ????

AUCUN !

Mais l'oxyde de graphène réduit a une affinité pour les neurones et le cœur, et aussi pour l'ensemble de la moelle épinière provoquant toutes sortes d'altérations du système nerveux.

Et c'est ce qui se passe.

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Donc, selon Ricardo Delgado, TOUS les symptômes ressentis par seulement certaines personnes, seraient dus à la toxicité de l'injection de graphène. Et uniquement à cette toxicité.

C'est une théorie qui supposerait que l'ARNm est en somme un fake. Ce qui n'est pas absolument impossible puisque des essais ont été faits sur des animaux (toujours brevets à l'appui) depuis plus de 20 ans, et ce, sans succès. Alors qu'on nous prétend qu'en quelques mois, sinon quelques semaines la potion cocotruc19 mARN aurait été mise au point …

Arguments pour :

Le graphène se lie très facilement aux neurones par exemple, du fait de sa charge électrique.

Les symptômes attribués au graphène sont les mêmes que ceux attribués au "virus" du SARS-Cov2.

L'agglomération des globules rouges ou au contraire les problèmes de coagulation (thrombocytopénie) peuvent aussi être des conséquences directes du graphène. Ainsi que tous les problèmes sanguins, circulatoires et cardiaques.

Arguments contre :

Les processus biologiques décrits par d'éminents biologistes (comme Sucharit Bhakdi) tendent à démontrer l'effet délétère de la protéine Spike générée par les cellules corporelles de la personne injectée. Ce qui de plus démontrerait la parfaite "fabrication" d'une maladie auto-immune, puisque selon la théorie officielle, le système immunitaire doit éliminer les cellules dans lesquelles sont produites les protéines spike. C'est l'organisme qui s'attaque à ses propres cellules.

Mais comme le souligne R. Delgado, la réaction du système immunitaire sera la même envers un "agresseur" biologique (bactérie par ex.) ou physico-chimique comme le graphène.

Ce qui n'est pas plus réjouissant que la version "graphène".

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D'autre part, une récente étude admet que TOUS les rayonnements électro-magnétiques, Y COMPRIS la 5G, participent à la fragilisation générale de l'organisme. Ce qui est une évidence, mais bien entendu soigneusement dissimulée. Et cette étude admet qu'il y a un lien direct entre l'exposition à ces ondes et le Covid-19.

Du fait que l'organisme semble, via certaines enzymes, pourvoir au moins "désactiver" le graphène, sinon l'éliminer, ces émissions par Bluetooth ont tendance à s'affaiblir et à disparaître avec le temps. Ce qui justifierait le fait que des injections continuelles soient nécessaires pour "maintenir la connexion". Donc les rappels incessants et de plus en plus rapprochés.

Beaucoup de questions se posent...

Plus le temps passe, plus nous en saurons.

Et plus il s'avère que les "complotistes" avaient et ont raison. De dénoncer les manœuvres des comploteurs.

Mais au prix de combien de morts et de mutilations ?

Dans tous les cas, refuser ces injections est VITAL ! Ce n'est pas, comme certains "médecins" le disent qu'il faut refuser car le "vaccin est toujours expérimental", c'est parce qu'il s'agit d'un outil génocidaire. Même les essais de phase III terminés, il reste ce qu'il est : un outil génocidaire. Après la fin des "tests" dont il a été amplement prouvé qu'ils sont, comme à l'accoutumée mensongers sinon totalement inventés, ce produit non seulement ne protège de rien, mais rend malade à vie, lorsqu'il ne tue pas immédiatement.

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Autres articles à consulter :

http://collectif-federateur.org/index.php/articles2/science-sante/504-l-emission-d-adresses-informatiques-mac-par-bluetooth-de-certains-vaccines-covid

http://collectif-federateur.org/index.php/articles2/science-sante/489-bluetooth-vaccins-et-controle-de-la-pensee

http://collectif-federateur.org/index.php/articles2/science-sante/480-la-proteine-spike-et-l-arnm-des-vaccins-restent-presents-au-moins-deux-mois-dans-le-corps-des-injectes

http://collectif-federateur.org/index.php/articles2/science-sante/473-dangerosite-de-certains-lots-de-vaccins-covid-pour-differents-pays

http://collectif-federateur.org/index.php/articles2/science-sante/463-quels-sont-les-lots-d-injections-covid19-les-plus-dangereux

http://collectif-federateur.org/index.php/articles2/science-sante/459-bluetooth-et-vaccins-covid-qu-en-est-il-reellement

http://collectif-federateur.org/index.php/articles2/science-sante/469-protocole-visant-a-annihiler-la-vaccination-covid-et-se-proteger-du-phenomene-de-dissemination-par-les-vaccines

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8580522/