CLIMAT MENSONGES ET PROPAGANDES

Depuis maintenant plusieurs années, et surtout ces dernièrs mois, dans le sillage de la fausse crise énergétique fabriquée de toutes pièces dans ce but, on nous abrutit littéralement avec le réchauffement climatique dont nous serions à la fois tous responsables et victimes.

Mais sommes-nous vraiment les seuls responsables ? Ne serait-on pas en train de continuer les mêmes mensonges et escroqueries que celles de ces deux dernières années. Soit dit en passant, la vertu n'a jamais été l'apanage d'aucun pouvoir, de n'importe quel pays et couleur politique.

Pourquoi donc le climat change-t-il ?

Quelles en sont les causes réelles ?

Pourquoi autant de propagande et dans quel but ?

Devant l'avalanche médiatico-économico-politique de mensonges de toutes sortes autour du supposé "réchauffement" climatique (rebaptisé prudemment en changement), il est indispensable de tenter au moins de faire le point sur ce que l'on sait. Ou croit savoir. Puisque dans les années 1970 les mêmes marionnettistes nous prédisaient…  un nouvel âge glaciaire.

Pour tenter de comprendre tous les énormes enjeux, il faut commencer par mettre de côté certaines affirmations, qui a force d'être martelées par les médias sont devenues des idées reçues, mais qui ne reposent scientifiquement sur rien. Tout au plus sur les intérêts financiers de ceux qui les propagent.

  1. Le climat, à plus ou moins moyen ou long terme, n'a JAMAIS été stable. Tout comme la "météo" d'un jour à l'autre varie, et souvent de façon imprévisible, le climat à plus long terme, a lui aussi toujours varié, et souvent dans des proportions très importantes, bien avant que l'être humain ait commencé à produire du CO² (Dioxyde de Carbone). Et plus précisément depuis le début de l'ère industrielle à la fin du 19° siècle, et pendant tout le 20ème siècle.

La température moyenne annuelle globale est stable depuis … 1997 malgré une augmentation continue de la croissance de la concentration du CO² et celle de la température. La part réelle du CO² anthropique (produit par l'homme) est au plus d'environ 6 % alors que le GIEC avance 25 à 30 %.

Cette affirmation di GIEC est bien évidemment fausse et contredite par les carottes glacières prélevées en Antarctique. En effet, sur les derniers 800 000 ans, et donc bien avant les perturbations anthropiques (humaines), la concentration de CO² dans l’atmosphère n’a jamais franchi la valeur de 300 ppm. On est aujourd’hui à 400 ppm. Si les 100 ppm supplémentaires, 25% du CO2 atmosphérique actuel, ne sont pas dus aux activités anthropiques, quelle en est la cause qui ne s’est jamais produite sur les 800 000 ans précédents ?

Inutile d'aller une fois encore en Antarctique à la base de Vostok ou ailleurs chercher un passé lointain, les observations actuelles sont sans ambigüité !

La durée de vie du CO2 dans l’atmosphère est en moyenne de 5 ans au lieu de 100 ans pour le GIEC. Autre mensonge, d'une très longue liste.

  1. Selon l'analyse effectuée par plusieurs laboratoires de ces carottes glaciaires prélevées en Antarctique, il s'avère qu'en fait l'augmentation du taux de CO² SUIT (et non pas précède) l'augmentation de température. On inverse donc allègrement la cause et la conséquence (supposées toutes les deux).

Dans le passé géologique le taux de CO² a été 20 fois supérieur au taux actuel, sans qu'il n'y ait un emballement des températures.

La surface de la banquise australe a augmenté chaque année depuis le début des observations satellitaires (1979) et elle atteint actuellement des records de superficie.

La somme des surfaces des deux banquises, dont les variations sont en opposition de phase – lorsque l'une diminue, l'autre augmente -, est à peu près constante, donc la contribution des banquises à l'albédo du globe n'a pas diminué.

Les mesures des 3 500 sondes océaniques ARGOS montrent depuis leur mise en service en 2003 un très léger REFROIDISSEMENT des océans (hors océan Austral – hémisphère sud), entre la surface et 700 à 1000 mètres de profondeur.

  1. Il est scientifiquement STUPIDE de vouloir parler d'un effet de serre dans un milieu OUVERT et éminemment instable comme l'atmosphère terrestre. L'effet de serre peut fonctionner dans une serre de jardin FERMEE, oui. Dans un milieu instable comme l'atmosphère terrestre, c'est au minimum une erreur de raisonnement, et dans le contexte actuel plutôt une escroquerie.

Voyons de plus près : Un manuel universitaire corédigé par un président du CNRS, nous assure qu'il s'agit de l'analogue d'une vitre transparente dans le visible et opaque en infrarouge; pourtant cette analogie a, dès 1909, par une simple expérimentation, été montrée fausse par un opticien célèbre le professeur Robert Wood de John Hopkins University. Par la suite, les conjectures et calculs d’Arrhenius, considérés comme erronés par les physiciens, ont été oubliés, … jusqu’à ce que les précurseurs du GIEC les ressuscitent en « oubliant » de préciser que cela n’a rien à voir ni avec l’atmosphère réelle ni avec les serres horticoles, où les transferts de chaleur se font essentiellement par convection, et où le vitrage de la serre évite que l'air chaud et humide aille se perdre dans l'air libre.

Deux physiciens allemands, les professeurs Gerlich  et Tscheuschner, ont pris la peine de procéder à une analyse très détaillée de dizaines de "définitions" de l'effet de serre et ont constaté la plus grande incohérence entre ces définitions et leur absurdité par rapport à la physique. Leur publication de 115 pages dans la revue « International Journal Of Modern Physics» a été laissée pendant deux ans sur le site de discussion arxiv  : personne n'a pu la démentir ni proposer une définition de l'effet de serre qui tienne la route. La conclusion de leur réplique " de 2010 est en substance "l'effet de serre est une fabrication de faussaire dans le cadre de la prétendue "science du climat".

  1. Dans son troisième rapport (IPCC TAR, 2001) le GIEC lui-même disait textuellement : "nous avons affaire à un système non linéaire chaotique couplé, et par conséquent des prévisions à long terme des états futurs du climat sont impossibles".

La légende incorporée au graphique ci-dessous est suffisamment explicite et se passe de tout autre commentaire. On voit parfaitement que le taux de CO² et l'augmentation de température ne sont pas liés.

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Toutes les observations montrent des fluctuations naturelles et cycliques des températures sans rapport aucun avec le cumul des émissions anthropiques, ce qui infirme les affirmations du rapport IPCC-GIEC AR5 WG1 (2013).

Le seul réchauffement qui pourrait être mis en rapport avec une augmentation des teneurs de l'air en CO2 est celui de 1975-1997 (figure 2-A). Mais depuis fin 1978, depuis que l'on a des observations satellitaires complètes et homogènes, on ne voit (figure 2-B) que l'effet des El Niño et des éruptions volcaniques.

 Ces derniers trente-sept ans démentent toutes les prophéties réchauffistes faites depuis 1975.

Tous les développements de ces quelques très courts résumés sont disponibles ici :

https://climat-optimistes.com/wp-content/uploads/2015/06/22-v%c3%a9rit%c3%a9s.pdf

En outre, voici quelques autres "anomalies" dans la prêche habituelle de l'église de climatologie :

Tout le monde accorde foi et allégeance à la courbe de température globale publiée tous les ans par l’OMM (Organisation Météorologique Mondiale) et le GIEC (Groupe intergouvernemental sur le changement climatique).

Or, cette courbe n’est autre qu’une moyenne des températures mesurées dans 7.000 stations de la planète, traitées à l’Université d’East Anglia, à Londres, sous la direction de Philipp Jones.

L’augmentation serait de 0,6° de 1860 à nos jours, soit la différence de température qu’on observe à l’échelle moyenne annuelle entre Nice et Marseille. Quel extraordinaire bouleversement !

Une telle valeur, donnée avec une fourchette de précision de plus ou moins 0,2° sur un siècle et demi, est ridicule, car elle est de l’ordre de la précision de la mesure.

Cette courbe n’est d’ailleurs pas validée par les mesures récentes effectuées par les capteurs de satellites qui, depuis 1978, ne montrent au contraire aucune évolution notoire, pas plus que les mesures issues de millions de radiosondages.

En outre, comment parler de moyenne à l’échelle globale en mélangeant des températures marines, continentales, urbaines et surtout des températures de régions qui se refroidissent alors que d’autres se réchauffent ? Par exemple, l’Arctique occidental (au nord du Canada) se refroidit, alors que l’Arctique au nord de la mer de Norvège se réchauffe. Que fait-donc alors vraiment l’Arctique ?

On ne peut pas du tout dire avec certitude que la terre se réchauffe.

Les annonces de chaleurs insupportables, d’inondations, de sécheresses et autres catastrophes « pour demain » si nous continuons à produire du CO2, n’ont aucune base scientifique mais elles ont un double avantage : elles rapportent des fortunes aux producteurs d’énergies « vertes » et nous détournent des vrais problèmes comme la pollution réelle (plastique, chimique, électromagnétique, etc.).

Le GIEC est catégorique : l’azote et l’oxygène (99 % de l’air sec) sont totalement transparents aux photons venus du soleil ou aux photons infrarouges émis par le sol.

Seules les molécules triples (ou plus) auraient des raies dans les infrarouges. Il s’agit du H²O (oxygène), CO² (dioxyde de carbone), CH4 (méthane) etc.

Pourtant, la spectroscopie laser Raman constate dès 1960 (!) qu’il n’en est pas ainsi avec, par exemple, les raies de 4,2 micron de l’azote et 6,25 micron de l’oxygène. Blair Macdonald synthétise ces observations.

Azote et oxygène ne sont pas plus « transparents » que H2O, CO2, CH4 etc…

Il n’est pas inutile de rappeler que la seule « preuve » thermique dont disposaient les fonctionnaires du GIEC date de 1848 ! Eunice Newton observait que sa bouteille remplie de CO² se réchauffait plus vite et plus fort au soleil que celle remplie d’air. Si elle avait pu disposer d’une bouteille d’argon – découvert 50 ans plus tard – elle aurait constaté que celui-ci se réchauffe comme le CO² parce qu’il a presque la même masse atomique !

Rappelons surtout que, selon le GIEC, l’argon, comme les autres gaz mono ou diatomiques, serait parfaitement transparent aux photons…

Bref, grâce à des travaux précis, permis par l’existence de moyens modernes, le CO² est relégué, sur le plan thermique, à un rôle minime lié à sa quantité toujours très faible dans l’air. L’ensemble des gaz dans l’air crée la couche d’isolant qui nous protège du froid de l’univers.

A l’heure actuelle, personne ne mettrait en doute que l’eau bout à une température de 100°C au niveau de la mer. Grâce à Chandrashekhara Venkata Râman et Leonid Mandelstam nous ne pouvons plus mettre en doute que tous les gaz de l’atmosphère ont des raies d’absorption, donc d’émission dans l’infrarouge proche, qu’ils ont des rôles similaires… qu’un réchauffement du climat par l’émission de CO2 anthropique est une illusion.

Quelques exemples qui devraient au moins poser question. Il semblerait que la "moyenne de température" n'est qu'une modélisation informatique. Nous avons vu, avec les prédictions catastrophiques d'un certain Neil Ferguson au sujet du "cataclysme covid", ce que peuvent valoir ces modélisations informatiques.

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La station Dôme C, en Antarctique, aussi connue sous le nom de dôme Charlie, accueille la base antarctique Concordia.

  • Record de chaleur −5,4 °C le 2 janvier 2001.
  • Record de froid −81,9 °C le 5 septembre 2005.
  • Température moyenne annuelle −51,7 °C.
  • CO en 1990 : 354 ppm.
  • CO en 2018 : 408 ppm

Le graphe montre qu’il n’y a non seulement aucune augmentation de la température moyenne annuelle depuis le début des mesures à cette station, en 1990, mais que la température moyenne baisse, tandis que le taux de CO progresse.

Toujours en Antarctique, même chose à la station Casey

  • Le CO en 1959 était de : 315 ppm.
  • Le CO en 2018 est 408 ppm
  • Et la température est stable depuis le début des mesures en 1957.

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La SERENA, Chili : baisse des températures depuis 1923

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Rochester, Indiana : - 1 degré depuis 1904

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Autre exemple, le rapport du GIEC baptisé SR#15 dont on ne sait pas après l'avoir lu et constaté les "erreurs" dont il est entaché, s'il faut en rire ou en pleurer.

« L’audit de l’ensemble de données de température le plus important au monde (HadCRUT4) a révélé qu’il était tellement truffé d’erreurs et de ‘données bizarrement improbables’ qu’il est effectivement inutile » explique le chercheur australien John McLean.

HadCRUT4 est le principal ensemble de données sur la température mondiale utilisé par le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) pour faire valoir ses revendications dramatiques au sujet du réchauffement planétaire d’origine humaine. C’est aussi l’ensemble de données au centre du scandale du « ClimateGate » découvert en 2009, au Climate Research Unit (CRU) de l’East Anglia University.

ClimateGate fait référence au piratage d’un millier d’emails des chercheurs sur le climat qui se sont entendus sur le degré de manipulation des chiffres qu’il fallait écrire dans les rapports pour faire taire les critiques et empêcher la publication d’articles scientifiques contraires – une démarche extrêmement scientifique sans aucun doute !

Les vérifications du dernier rapport permettent de relever plus de 70 sujets de réoccupation

au sujet de la qualité et de l’exactitude des données.

Mais selon une analyse du chercheur australien John McLean, le dernier rapport est beaucoup trop bâclé pour être pris au sérieux même par les climatologues, et encore moins

par un organisme aussi influent que le GIEC ou les gouvernements.

McLean a relevé des données absolument improbables, des erreurs d’ajustement systématiques, de grandes lacunes là où il n’y a pas de données, des erreurs de localisation, des températures Fahrenheit exprimées en degrés Celsius (et des fautes d’orthographe !).

Presque aucun contrôle de qualité n’a été effectué : des valeurs aberrantes qui sont des erreurs évidentes n’ont pas été corrigées :

  • Une ville de Colombie aurait passé trois mois en 1978 à une température quotidienne moyenne de plus de 80 degrés C.
  • Une ville de Roumanie est sortie de l’été 1953 à -46°C. Et il s’agit soi-disant de « températures moyennes » pour le mois entier.
  • Saint-Kitts, une île des Caraïbes, a été enregistrée à 0°C pendant un mois entier, et deux fois de suite!

Les températures pour l’ensemble de l’hémisphère sud en 1850 et pour les trois années suivantes sont calculées à partir d’un seul site en Indonésie et de quelques navires aléatoires.

Certaines mesures de température proviennent de navires qui sont identifiés à des endroits situés à 100 km à l’intérieur des terres ! D’autres se trouvent dans des ports, ce qui n’est guère représentatif de la « haute mer » comme c’est indiqué.

Lorsqu’un thermomètre est déplacé sur un nouveau site, les données de l’ancien site sont toujours ajustées et « réchauffé » par la présence de béton et de bâtiments. Des ajustements de ce genre peuvent créer un siècle entier de tendances artificielles de réchauffement.

La principale conclusion de l’audit est que l’ensemble des données montre un échauffement exagéré, et les moyennes mondiales sont beaucoup moins certaines que ce qui a été affirmé.

  • Les données antérieures à 1950 souffrent d’une faible couverture et très probablement de multiples ajustements incorrects des données des stations.
  • Les données depuis cette année-là ont une meilleure couverture, mais il y a toujours le problème de l’ajustement des données et une foule d’autres questions douteuses.
  • Les modèles climatiques ont été ajustés pour correspondre à des résultats décidés à l’avance, ce qui rend erronées les estimations de l’influence humaine sur les températures.
  • Une autre implication est que la proposition que l’Accord de Paris sur le climat qui adopte les moyennes de 1850-1899 comme « indication » des températures préindustrielles est fatalement erroné.
    • o Au cours de cette période, la couverture mondiale était faible – en moyenne de 30 %.
    • o De nombreuses températures terrestres sont très susceptibles d’avoir été excessivement ajustées et sont donc incorrectes.
  • Une troisième implication est que même si l’affirmation du GIEC selon laquelle l’humanité est à l’origine de la majeure partie du réchauffement depuis 1950 est correcte, l’ampleur de ce réchauffement sur près de 70 ans pourrait bien être négligeable.

La question se pose alors de savoir si l’effort et le coût d’y faire face ont un sens. Et le mot coût prend alors toute son importance, car toute cette affaire est une immense pompe à fric.

En fin de compte, l’auteur de l’audit considère que le dernier rapport du GIEC, ainsi que les rapports ou les affirmations qui en découlent, ne constituent pas une base crédible pour la politique gouvernementale sur le climat, et pour les accords internationaux sur les causes supposées du changement climatique.

Face à l'alarmisme climatique, la science est impuissante.

Article de Richard Lindzen, professeur émérite en sciences de l'atmosphère, Massachusetts Institut of Technology.

En tant que scientifique qui a travaillé sur les problèmes des sciences de l’atmosphère, climat compris, pendant plus de 50 ans, je doute que la science soit en mesure de contribuer au discours actuel sur un changement climatique catastrophique qui serait provoqué par l’homme. Ce que je veux dire, c’est qu’il s’agit d’un problème politique et que, de ce fait, il est entre les mains du public, et plus particulièrement de la classe dirigeante. Pour l’essentiel, ces groupes ignorent tout des sciences du climat, et même de la science tout court.

Confrontés à des informations contradictoires, ils peuvent choisir ce qu’ils veulent croire —ou se servir de la fausse affirmation selon laquelle « 97% des scientifiques sont d’accord » comme d’une béquille.

Un exemple simple illustre le problème. L’année 1998 a été un maximum dans la moyenne mondiale de température, par rapport à une moyenne de trente ans dans les stations météos. Mais depuis deux décennies, il n’y a plus de tendance significative, et les quelques changements survenus sont généralement beaucoup moins importants que ceux prévus par les modèles. Il y a de petites fluctuations, bien sûr, notamment une pointe de température associée au phénomène El Niño en 2014-2016, qui a été suivie d’une chute. De nombreux scientifiques des deux bords ont appelé « pause » cette absence de tendance. De leur côté, les promoteurs de l’alarmisme en ont profité pour affirmer que beaucoup des « années les plus chaudes enregistrées » dataient de cette période.

Peu de gens ont été capable de saisir qu’une telle observation ne contredit nullement l’existence d’une « pause ». Il est clair en effet que même si l’anomalie de température (c’est-à-dire l’écart par rapport à la moyenne sur 30 ans) était restée absolument la même après 1998, toutes les années suivantes auraient été les années les plus chaudes jamais enregistrées!

La vérité, c’est qu’un citoyen perspicace n’a pas besoin des détails de la science pour s’apercevoir que quelque chose ne va pas du tout dans cette histoire. Un tel citoyen peut ainsi observer que toutes les prescriptions censées permettre de lutter contre le réchauffement climatique sont bien antérieures à leur lien avec celui-ci. Des politiques très similaires impliquant le contrôle du secteur de l’énergie et l’élimination du charbon ont été proposées il y a longtemps, à une époque où on les justifiait par les inquiétudes sur les pluies acides et les craintes d’un… refroidissement global.

Ce citoyen peut aussi se demander pourquoi ces prescriptions politiques insistent invariablement sur la nécessité de se focaliser sur un et un seul des nombreux éléments qui concernent cette problématique du réchauffement (à savoir les niveaux de CO2). Pourquoi les alarmistes n’accordent-ils pas la même attention à la question de l’adaptation ? D’une manière générale, une telle approche serait pourtant à la fois moins chère et plus flexible, en plus d’impliquer un mode d’action dans lequel les êtres humains sont particulièrement doués — la preuve en est que nous sommes capables de vivre dans des régions qui vont de l’Arctique à l’équateur.

Si ce citoyen sait compter, il peut aussi se rendre compte qu’aucune des politiques proposées n’aura d’impact significatif sur le climat, indépendamment de ce que l’on pense de la physique sous-jacente. En réalité, il s’agit de nous demander des sacrifices qui n’auront en tout état de cause qu’un effet purement symbolique. Ce sera un simple affichage de vertu.

Si notre citoyen était, en outre, familier avec la nature de la science, il pourrait savoir que la quasi-totalité des preuves soi-disant définitives justifiant la panique n'est pas réellement des preuves scientifiques. En réalité, une preuve (évidence) scientifique ne vaut que si elle permet des prévisions non ambiguës, et non pas simplement si elle nous est néfaste ou choquante. Certaines des soi-disant preuves sont à l’opposé de ce que la physique prévoit.

Notre citoyen pourrait également savoir que la « certitude » n’est pas la marque de la science.

Bien au contraire, celle-ci insiste sur la nécessité du scepticisme dans la recherche. C’est particulièrement vrai pour les sujets complexes et très jeunes tels que le climat, alors même que ceux qui se font les promoteurs du « problème climatique » affirment qu’ils savent avec certitude la cause du changement climatique, un simple bouton de contrôle qui serait le CO2.

Un gaz qui se trouve par ailleurs être essentiel à la vie.

Tous ces éléments convergent pour affirmer le caractère politique de la question. Les détails peuvent certes différer d’un endroit à un autre. Ainsi, aux États-Unis le climat est en grande partie une question partisane : la gauche soutient "la lutte contre le changement climatique" parce qu’elle croit en un renforcement du pouvoir de l’État, alors que la droite a tendance à être sceptique parce qu’elle croit en la liberté individuelle. En Europe, le problème semble plutôt lié à l’opposition entre concentration de pouvoir et souveraineté. Dans ces deux régions toutefois, l’alarmisme climatique a en commun d’être devenu un élément central du politiquement correct. La crainte de s’en démarquer semble être particulièrement forte parmi les « élites éduquées ».

La prétendue « crise climatique » n’est nullement une question scientifique, malgré toutes les tentatives d’invoquer la soi-disant « autorité » de la science. S’inquiéter des implications que l’on impute à des fluctuations si petites qu’elles en sont virtuellement impossibles à mesurer, ainsi qu’à de douteuses observations de fluctuations de la température moyenne à la surface du globe, est une pure bêtise. Argumenter dessus, c’est lui faire trop d’honneur.

 Il n’en est pas moins intéressant de savoir ce que la science nous dit. Rien dans les données aujourd’hui disponibles n’indique que quelque chose d’inédit est en train de se produire. Même le groupe de travail 1 du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) onusien — la seule partie du GIEC à s’occuper de science — reconnaît que les phénomènes tels que les sécheresses, les inondations, les ouragans, et ainsi de suite, ne montrent aucune tendance perceptible. Certes, en raison du fait que les observations disponibles sont relativement récentes, il y en aura toujours pour aller un peu vers le haut ou vers le bas, mais rien de tout cela n’est inhabituel, ni ne peut être lié de façon claire à une augmentation du CO2.

La seule raison à l’inquiétude tient simplement à ce que les modèles (qui le plus souvent se trompent) suggèrent qu’il est « envisageable » qu’il y ait un problème. Il s’agit là d’une base extrêmement faible pour transformer toute la société, détruire le secteur de l’énergie, augmenter le prix de l’électricité tout en en réduisant la disponibilité, empêcher le développement des régions les plus pauvres du monde, gaspiller des milliards de dollars et favoriser la peur, voire l’hystérie.

La Friends of Science Society est un groupe indépendant de scientifiques, d'ingénieurs et de citoyens de la terre, de l'atmosphère et du soleil basés au Canada. Il célèbre sa 20 e année d'offre d'informations sur les sciences du climat. Après un examen approfondi d'un large éventail de documents sur le changement climatique, la Friends of Science Society a conclu que le soleil est le principal moteur du changement climatique, et non le dioxyde de carbone (CO2).

Climate Intelligence (« CLINTEL ») est une fondation indépendante qui opère dans les domaines du changement climatique et de la politique climatique.

Les commentaires de Greta ont terrifié des millions d'enfants et d'adultes dans le monde, mais lors d'un témoignage devant le Congrès américain le 21 avril 2021, Greta a déclaré qu'il  n'y avait « aucune science » derrière son commentaire ; ce n'était qu'une métaphore. À aucun moment, le WEF ou l'un de ses nombreux administrateurs de Big Tech et de magnats des médias ne s'est présenté pour s'excuser d'avoir fait peur aux citoyens du monde.

Le 20 janvier 2020, CLINTEL, le groupe de réflexion sur l'intelligence climatique basé aux Pays-Bas,  a envoyé une lettre à Borge Brende , président du WEF, appelant à un engagement sur la question de la prétendue « urgence climatique », écrivant :

"Malgré une rhétorique politique passionnée, nous exhortons tous les dirigeants mondiaux à accepter la réalité qu'il n'y a pas d'urgence climatique. Nous avons amplement le temps d'utiliser les avancées scientifiques pour continuer à améliorer notre société. En attendant, nous devrions aller vers l'adaptation ; cela fonctionne quelles que soient les causes [du changement climatique].

« Nous vous invitons également à organiser avec nous une rencontre constructive et ouverte entre des scientifiques de renommée mondiale des deux côtés du débat sur le climat. Un tel événement est conforme au principe sain et ancien selon lequel toutes les parties concernées doivent être pleinement entendues : Audiatur et altera pars .

Friends of Science a déclaré qu'au 17 août 2022, plus de deux ans et demi plus tard, CLINTEL rapporte qu'il n'y a eu aucune réponse.

CLINTEL possède une liste prestigieuse de climatologues, d'universitaires et de commentateurs du climat de plus de 1 123 signataires de la  Déclaration mondiale sur le climat . En bref, la Déclaration stipule qu'il n'y a pas d'urgence climatique, que les facteurs naturels ont plus d'influence que les émissions humaines sur le climat, et que nous avons le temps de nous adapter aux changements climatiques, qui peuvent être plus chauds ou plus froids.

A propos de la fonte des glaces du Pôle Nord, dans le "pays vert des Vinkings", le Groenland.

La fonte cyclique de l’inlandsis du Groenland a lieu sur une période annuelle très courte dont l’inauguration survient au début du mois de juin. Le gain de masse de surface de glace polaire, mesuré en gigatonnes (c’est-à-dire en milliards de tonnes, 1 Gt, ou 1 × 109 t, soit encore l’équivalent d’1 km3 d’eau), est simplement une fonction des chutes de neige. L’été est désormais commencé dans l’hémisphère nord (nous écrivons ces lignes le 21 juin 2022). En cette période de l’année, le pôle Nord est la région du globe qui reçoit et reflète le plus de rayonnement solaire, jusqu’à 30 % (lors du solstice d’été aujourd’hui) la quantité reçue et reflétée à l’équateur. Pour autant, la neige ne cesse de s’accumuler sur la calotte polaire arctique située au sud du pôle Nord, bien que le cycle saisonnier de fonte ait commencé depuis déjà plusieurs semaines. Dans la zone du pôle Nord proprement dite, y compris sa région méridionale comprenant le Groenland, les

températures ont été inférieures à la normale ces dernières semaines, persistant en dessous des valeurs climatiques déterminées à partir de la moyenne de référence de la période 1958-2002. Comme l’indique le graphique ci-dessous de

l’Institut météorologique danois (DMI) – représentant la courbe (rouge) des températures moyennes journalières de la zone arctique située au nord du 80e parallèle par rapport à la courbe (verte) des valeurs climatiques journalières compilées au cours de ladite période 1958-2002 –, elles commencent à peine à franchir le seuil du point de congélation (273,15 °K, 0 °C, indiqué par la ligne horizontale bleue).

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En l’état actuel des choses, à l’encontre de l’intox réchauffiste toujours portée à reprendre du poil de la bête propagandiste en chaque début d’été, la surface de glace groenlandaise continue donc de gagner en épaisseur, avec une accumulation supérieure à la moyenne (suivant un schéma observé depuis 2017, à l’exception de 2019), comme en attestent les données observationnelles climatiques du Polar Portal en Arctique (enregistrant cette année des records de froid pour le mois de juin).

Le Polar Portal effectue des mesures journalières relatives aux conditions de surface de la calotte polaire du Groenland (analysant ses changements d’altitude, à la baisse ou à la hausse, selon les cycles de fonte ou d’épaississement de l’inlandsis), ainsi qu’aux conditions de la glace de mer constituant les banquises (analysant l’étendue ou la diminution de celles-ci).

Alors que nous approchons désormais de la fin de la saison des fontes arctiques, le bilan de l’anomalie de masse accumulée jusqu’à présent au cours de la période annuelle 2021-2022 établit que la couche glaciaire de l’inlandsis groenlandais continue de s’épaissir (depuis début septembre 2021) ; ce qu’illustre le deuxième graphique ci-dessous, en comparant trois courbes – bleue, grise et rouge – pour indiquer respectivement le bilan de la période annuelle en cours (courbe bleue), celui de la valeur moyenne de la période de 1981 à 2010 (courbe grise), et celui de la période annuelle 2011-2012 (courbe rouge) au cours de laquelle a été observée une augmentation, jusqu’ici inégalée, du taux de fonte la calotte arctique.

C’est bien la chaleur des courants d’eau océanique, sous double influence solaire (provenant d’en haut) et géothermique (provenant des sous-sols marins), qui contribue directement au processus cyclique de fonte des glaces arctiques, laquelle fonte n’a donc strictement rien à voir avec la quantité de CO2 présente dans l’atmosphère. La quantité de chaleur nécessaire pour faire fondre la glace de l’Arctique ne provient pas de l’air ambiant (dont la capacité thermique massique, en J K-1 kg-1, équivaut à moins d’un quart de la capacité thermique massique de l’eau à l’état liquide), dont la quantité volumétrique devrait autrement dépasser tout ce que l’on peut concevoir pour que s’exerce, selon les lois de la physique, le commencement d’une incidence notable sur l’épaisseur de la glace polaire.

L’absurdité de l’imposture du GEIC-isme climatologiste, particulièrement en ce qui regarde les phénomènes de fonte des glaces dans les régions polaires, doit être dénoncée inlassablement. Plus que jamais aujourd’hui, à l’heure où une telle fraude intergouvernementale est en train de provoquer une famine et une paupérisation d’envergure mondiale, en empêchant des centaines de millions de gens de subvenir à leurs besoins énergétiques et alimentaires fondamentaux… pour subvenir, à leur place, à ceux de la planète…

D'ailleurs à propos de la fonte des glaces, et de la supposée montée des océans qui submergerait toutes les régions côtières … on attend toujours, et comme Sœur Anne, on ne voit (heureusement !) rien venir.

Tout ceci, et c'est très loin d'être exhaustif, nous démontre à l'évidence que toute la thèse de l'alarmisme réchauffiste n'est qu'une énorme escroquerie dans la lignée de toutes celles qui se déroulent en ce moment même.

Un dernier point, (ou plutôt deux) qui devraient pourtant interpeler les moins "endormis" par la doxa, c'est d'une part :

  • L'inclinaison de l'axe de rotation de la Terre qui OSCILLE, ce qui veut dire que par exemple l'hémisphère nord sera plus ou moins rapproché du Soleil. Non seulement en Eté par rapport à l'hiver ce qui nous donne les saisons mais selon une périodicité beaucoup plus longue. Une excellente explication des cycles de Milankovitch se trouve ici.
  • D'autre part, le magnétisme de la Terre est très loin d'être stable. Les pôles Nord et Sud se sont à plusieurs reprises inversés dans le passé. Actuellement le pôle Nord semble "fuir" de plus en plus vite (environ 50 ans par an) de l'extrême nord canadien vers la Sibérie. Ce qui risque de se passer en cas de basculement des pôles risque d'être encore bien plus grave que ce que le GIEC nous prédit, et l'Être humain n'aura pas d'autre prise dessus que de s'adapter ou de suivre le même chemin que les dinosaures….

Après les mensonges, dissimulations et autres escroqueries de tout le narratif Covid, qui depuis maintenant trois ans a démontré qu'il ne s'agit que d'une manipulation visant à réduire l'humanité (survivante du génocide en cours) à l'esclavagisme le plus totalitaire qui puisse s'imaginer, nous avons la suite logique qui est en train de se mettre en place.

Le "prêt à penser" (avec interdiction de penser différemment, testé semble-t-il avec succès depuis 2020) ne sera plus seulement diffusé par les médias complices, mais directement inséré dans le cerveau et les cellules humaines. La 6G sera l'intégration directe de l'informatique dans le corps humain. Et contrôlable à distance.

De plus, cet abrutissement des masses constitue pour ceux qui l'organisent et le propagent une source de revenus à peine imaginable par le "commun des mortels". Le business Covid aurait rapporté jusqu'à fin 2022 la bagatelle d'environ 400 milliards aux fournisseurs de pompes funèbres. Et avec l'hyperinflation organisée, la "facture" ne va que s'alourdir. Jusqu'à devenir incontrôlable, ce qui permettra aux manipulateurs d'imposer LEUR solution. Avec la bénédiction des ouailles que l'on aura rendues amorphes.

Contrôler (donc manipuler les populations) a de tous temps été le principal objectif de tous les gouvernements. Dictatures ou démocraties. Aucune différence. Les premiers ayant au moins le "mérite" de ne pas se cacher, les seconds agissant de la façon la plus perverse qui soit en se présentant comme nos protecteurs et bienfaiteurs.

Quelles sont les possibilités de l'Être Humain d'échapper à cette tyrannie ?

La question doit et mérite d’être posée.

Je laisse à chacun le soin d'y apporter sa réponse.

La mienne est déductible dans les deux premiers liens ci-dessous, et je dois l'avouer n'est pas très optimiste …

Daniel Buob - Janvier 2023

Liens divers

http://collectif-federateur.org/index.php/articles2/societe/514-d-ou-venons-nous-et-ou-allons-nous

http://collectif-federateur.org/index.php/articles2/societe/516-d-ou-venons-nous-et-ou-allons-nous-suite

Climat Mensonges et Propagande :

https://mega.nz/file/cA80UBAL#tpNOV0A_4WS3y73AlGQ7XjxFM0M_zRy5K9e3bK7g73o

Le climat et la relation température-CO2. Un réexamen épistémologique du message des carottes glaciaires par Pascal Richet - Institut de Physique du Globe de Paris, 1 rue Jussieu, 75005 Paris, FranceTraduction d’un article publié dans History of Geo- and Space Sciences, 12, 97-110(2021) :

https://mega.nz/file/AZdV1SwS#Bda82D03G-rfapDiOSCP-RN089KXNBwCfm5P8OSEQPE

http://la.climatologie.free.fr/video/video1.htm

https://sciencepost.fr/contrairement-a-larctique-lantarctique-enregistre-une-banquise-proche-de-la-normale-en-septembre/

https://www.climato-realistes.fr/face-a-lalarmisme-climatique-la-science-est-impuissante/

https://www.infoclimat.fr/fr/cartes/observations-meteo/temps-reel/temperature/carte-interactive.html

https://www.meteo-temps-reel.fr/

http://polarportal.dk/en/greenland/surface-conditions/

https://arxiv.org/abs/0707.1161

Cycles de Milankovitch :

https://planet-terre.ens-lyon.fr/pdf/milankovitch-2005.pdf

Déplacement des pôles magnétiques :

https://www.notre-planete.info/terre/poles-magnetiques-carte.php

Informatisation de l'humain et contrôle mental :

http://collectif-federateur.org/index.php/articles2/science-sante/510-pourquoi-ces-rappels-d-injections-incessants-alors-qu-il-devient-evident-qu-ils-ne-protegent-de-rien-et-surtout-pas-des-formes-graves-des-elements-de-reponses

http://collectif-federateur.org/index.php/articles2/science-sante/504-l-emission-d-adresses-informatiques-mac-par-bluetooth-de-certains-vaccines-covid

http://collectif-federateur.org/index.php/articles2/science-sante/491-covid-gate-pfizer-gate-les-mensonges-eriges-en-systeme-de-controle-et-de-dehumanisation

http://collectif-federateur.org/index.php/articles2/science-sante/489-bluetooth-vaccins-et-controle-de-la-pensee

http://collectif-federateur.org/index.php/articles2/science-sante/459-bluetooth-et-vaccins-covid-qu-en-est-il-reellement

http://collectif-federateur.org/index.php/articles2/science-sante/460-bluetooth-graphene-et-vaccins-covid

http://collectif-federateur.org/index.php/articles2/science-sante/468-bluetooth-graphene-et-vaccins-covid-suite