Surmortalité ou pas ? Vaccinale ou pas ?

Il devient de plus en plus évident que les injections censées nous protéger d'une grippe prétendue très dangereuse, commencent à apparaître en fait infiniment plus dangereuses que ce qui nous a été présenté comme grippe.

Les effets graves, hors décès, potentiellement attribuables à ces injections sont autrement plus difficiles à cerner étant donné leur diversité et le décalage temporel plus ou moins important, décalage derrière lequel se réfugient les vendeurs de ces produits. Ce point fera l'objet d'un article séparé.

Comme notre gouvernement ne publie pas les statistiques de décès en fonction du statut vaccinal, il faut donc essayer au moins d'estimer "l'ampleur éventuelle et possible des dégâts".

Comme les causes de décès sont multiples, une première approche est de comparer les statistiques de décès toutes causes confondues sur des périodes équivalentes et déterminer si à un moment donné il y a une sur- (ou sous-) mortalité qui pourrait être imputable à un évènement exceptionnel.

Mais pour ce faire, nous n'avons à notre disposition que des statistiques officielles. Qui hélas, n'ont une fiabilité que toute relative.

En supposant qu'elles ne soient pas trop manipulées ou au moins erronées ou incomplètes, une fois de plus, je me penche sur les chiffres publiés par l'Insee. Cette analyse de CHIFFRES BRUTS, doit donc ensuite être corrigée par la pyramide des âges pour pouvoir refléter un semblant de réalité.

Au sujet des réseaux sociaux, et sans vouloir minimiser en aucune façon la probable gravité des évènements actuels, il ne faut pas négliger l'effet de "loupe" produit par exemple par le décès d'un jeune sportif sur son terrain d'entraînement ou de match, mais répété à l'infini.  

Ce qui ne dispense en aucun cas du devoir absolu de questionnement sur les raisons de ces décès, anormaux puisque sans antécédents. Et ceci sans aucune réserve ni à priori. Empêcher ou pis, interdire un débat vraiment ouvert est dans ce cas indiscutablement dictatorial, et criminel si cela s'avérait.

Curieusement, la France n'a pas participé aux stats Euromomo certaines semaines, comme par exemple la semaine 52 de 2022. Pourquoi ? Mystère. Tout comme d'autres pays d'ailleurs qui n'y participent pas toujours ! Ce qui diminue forcément leur fiabilité !

Il semblerait que la France remonte à nouveau des données. L'avantage de ces statistiques Euromomo est qu'elles donnent les décès par tranches d'âge. Ce qui est déjà plus précis que celles de l'Analyse Insee. (Que je détaille plus bas)

Quoique pour avoir une vue la plus exacte possible, c'est par année d'âge que l'on peut par exemple estimer la mortalité néo-natale dans la première année.

Nous commencerons donc par celles d'EUROMOMO.

A savoir dans le cas d'Euromomo nous avons : 0 à 14ans, 15 à 44 ans, 45 à 64 ans, 65 à 74 ans, 75 à 84 ans et 85 et plus. En "prime" il y a aussi 65 ans et plus. Et aussi bien entendu, tous âges confondus.

D'autre part, il est possible de déplacer le curseur de la période à afficher.

Lorsque nous sélectionnons la période de la semaine 01 de 2021 jusqu'à la semaine 52 de 2022 ce qui correspond à l'intégralité de la période de vaccination, nous obtenons :

Pour les plus jeunes 0 à 14 ans :

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Il y a ici une nette "anomalie", surtout en fin de période. La plage grise représente la plage normale, la ligne pointillée inférieure la ligne de base et la ligne pointillée supérieure, l'augmentation substantielle.

Or depuis la semaine 20 de 2021, la courbe se maintient dans la partie "haute" de la "normalité" (zone grise), lorsqu'elle ne la dépasse pas très nettement, et peut donc être qualifiée d'anormale. Quelle est la part des grossesses non arrivées à terme ? Et de la mortalité néonatale ? Des décès dans les toutes premières semaines et mois ? Mystère …

A titre de comparaison, voici la période allant de la semaine 04 de 2017 jusqu'à la semaine 52 de 2019. Donc avant le covid-idioti-sme : Nous voyons que la moyenne de la courbe reste autour du pointillé de base .

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Pour les petits curieux qui vont me dire : oui, mais en 2020, pendant l'affreuse pandémie ???

Voici : (et je pense que tout commentaire est inutile)

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Et pour avoir une vue encore plus large, voici la période de la semaine 04 de 2017 (donc fin janvier) à la dernière semaine de 2020, soit toute la période avant la valse des injections :

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A noter, car c'est important : les jeunes de moins de 14 ans n'ont ABSOLUMENT PAS été touchés non seulement par le supposé virus, mais des conséquences de la déclaration de guerre micronnienne !!!

Pour la classe suivante, les 15 à 44 ans :

Non seulement nous avons la même tendance en fin 2022, mais aussi le même pic fin 2021.

Ce qui interpelle aussi c'est la permanence de la courbe au-dessus de la ligne de base et aussi dans la partie supérieure et bien souvent largement au-dessus de la plage normale. Ceci depuis début 2021 !

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Pour la période de la semaine 04.2017 à 53.2020 :

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On voit ici qu'en hiver il y a une légère augmentation des décès, de même qu'en été pendant les fortes chaleurs. On voit très bien aussi le pic de mars-avril 2020, du même ordre de grandeur que les pics hivernaux précédents. Et la tendance haussière à la fin de l'année.

Alors que pour 2021 – 2022 la courbe est en permanence au-dessus de la normale, avant 2020 elle se trouvait AUTOUR de la normale.

Même commentaire pour les deux graphiques suivants, de 45 à 64 et de 65 à 74 ans, que pour les plus jeunes de 0 à 44 ans, mais les "anomalies" relevées sont ici très amplifiées. En début de période 2021, nous avons la mortalité hivernale habituelle. Là aussi nous sommes très au-dessus non seulement de la "normalité" de la zone grise, mais aussi au-dessus de l'augmentation substantielle.

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Pour la période de 2017 à fin 2020 :

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En dehors des périodes saisonnières la courbe reste dans la zone normale.

Les courbes sont les mêmes, seul le nombre de décès dans les deux catégories change.

Pour les plus anciens, au-delà de 75 ans, la courbe semble à priori plus "lisse, mais c'est le nombre de décès qui est plus important qui provoque cet effet d'optique (voir les chiffres de la colonne de gauche). Sauf pour les quelques semaines printanières, avant les périodes de forte chaleur, nous sommes aussi ici largement au-dessus de la normalité.

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Pour la période de 2017 à fin 2020 :

Ici par contre, en dehors de périodes saisonnières la courbe est dans la zone normale, voire sur la ligne pointillée de base !!!

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Les plus de 65 ans pour 2021 et 2022, donc pendant les campagnes d'injections :

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Et avant :

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A noter :

90 141 décès la semaine 51 de 2022

96 425 décès la semaine 14 de 2020 en pleine paranoïa covidienne !

Mais rassurez-vous braves gens, l'injection vous protège des formes graves !

Et inévitablement, la courbe de tous les âges confondues est le fidèle reflet du détail par catégories d'âge.

Il y a là donc à l'évidence une surmortalité européenne indiscutable sur ces deux dernières années de vaccination de masse, et ce d'autant plus que ces injections qui étaient censés protéger la population se sont avérées, de l'aveu même de leurs promoteurs de moins en moins efficaces. On est passé d'un taux de conte de fées de 95% lors du lancement marketing, à …. Rien. Zéro. Même les plus obstinés des vaccinalistes ont de plus en plus de mal à articuler que les formes graves seraient évitées. La forme la plus grave étant bien sûr le décès…

Nous voyons aussi dans ces courbes que le nombre de décès augmente avec l'âge. Ce qui a toujours été le cas.

Voici d'abord pour tous les âges la période vaccinale de 2021 – 2022 :

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Et toujours pour tous les âges, avant la période d'injection :

On voit très bien, qu'en dehors des pics saisonniers, tous les hivers et certains étés, la courbe se maintient au niveau normal, alors que depuis elle est largement au-dessus et ceci continuellement !!!

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Question incontournable :

Comment se fait-il que la mortalité augmente ces deux dernières années ? Alors que nous devrions être protégés ?

Ceci pour Euromomo

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Analyse des décès journaliers toutes causes selon les statistiques publiées par l'INSEE des années 2019, 2020, 2021 et 2022 (pour cette dernière année, seulement jusqu'au 23 décembre).

Commençons par 2019.

Celle-ci est une année de faible mortalité, après les années 2018 et 2015 qui ont été des années de plus forte mortalité hivernale. Années que les statisticiens appellent "années moisson".

La visualisation des courbes année par année a l'avantage de montrer les variations saisonnières habituelles et immuables.

Chaque année, il y a "pic" de décès en hiver, généralement en janvier-février qui tend à diminuer progressivement en mars pour atteindre un minimum en mai-juin.

Ensuite, en fonction des épisodes caniculaires plus ou moins marqués, nous assistons à un ou plusieurs pics généralement entre fin juin et mi-août. Pour 2019 nous avons un maximum de 1868 décès en été le 26 juillet.

Et en automne la courbe augmente de nouveau progressivement à partir de septembre jusqu'à fin décembre.

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Ceci est un cycle NORMAL et immuable. Vaccin ou pas vaccin. En hiver et par temps très chaud les personnes arrivées en fin de vie ou porteuses de pathologies lourdes ne pourront pas faire face à la demande énergétique supplémentaire pour maintenir leur homéostasie dans les limites voulues.

Passons à 2020, année du cataclysme du covidiotisme.

Nous voyons là un début d'année très calme, quasi anormalement calme, puisque le pic de janvier s'est tout de suite évanoui, et a diminué régulièrement jusqu'à mi-mars. En fait nous étions dans le prolongement de l'année 2019 de sous-mortalité, ce qui fait qu'en nombre de décès nous étions en début 2020 largement en-dessous des années précédentes.

C'est très exactement le 14 mars, jour de la fumeuse, pardon fameuse déclaration de guerre de notre cher président, que l'on assiste au début du pic printanier qui atteint une crête le 1er avril. Non ce n'est pas un sinistre poisson, puisque nous sommes passés de 1790 le 14 mars à 2800 décès journaliers le 1er avril. A noter que ce pic n'a eu lieu que dans certaines régions. Essentiellement la région parisienne, le grand nord et le grand est, les régions lyonnaise et marseillaise. Partout ailleurs : RIEN A SIGNALER, en région PACA par exemple, nous étions en-dessous des années précédentes jusqu'à la deuxième incarcération fin octobre…

Je ne reviendrai pas sur les causes de cet "exploit sinistre" largement documenté par ailleurs et qui n'a que très peu, sinon rien à voir avec la circulation d'un hypothétique virus, fut-il couronné.

Toujours est-il qu'après le 1er avril la décroissance est très rapide, quasi égale à la courbe montante, puisque le 1er mai nous nous retrouvons à 1539 décès journaliers. Cette fois nous trouvons un premier pic estival fin juin, puis deux autres fin juillet et début août.

C'est ensuite qu'il faut se remémorer "l'épisode" des masques (indisponibles jusque-là mais) qui sont devenus obligatoires à partir du 20 juillet 2020.

Le deuxième confinement à partir du 29 octobre voit la courbe atteindre son maximum le 7 novembre et se maintenir ensuite à un niveau très largement "anormal", et dû surtout et avant tout aux mesures semi-carcérales décrétées alors (2ème confinement).

Bilan 2020 : il serait particulièrement intéressant de savoir ce qui se serait passé, si RIEN n'avait été entrepris, en termes d'incarcération à domicile, élimination des anciens en Ehpad à coup de Rivotril et d'isolement, etc…

Toujours est-il que les excès de mortalité coïncident curieusement avec les mesures de "protection" les plus sévères.

En dehors de ces périodes restrictives : rien d'anormal à signaler par rapport aux années précédentes, malgré l'alarmisme constant de nos "autorités".

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La courbe de 2021 mérite elle qu'on si attarde.

Le pic hivernal est lui beaucoup plus marqué qu'en 2019 et surtout 2020.

Il faut se souvenir que les premières injections ont commencé, timidement il est vrai, les tous derniers jours de décembre 2020 puis en janvier 2021, et plus franchement en février, avec l'ouverture des premiers vaccinodromes. Ce qui est visible sur le graphique. Ensuite nous avons la décroissance habituelle, bien qu'en termes de chiffres nous sommes largement au-dessus des moyennes habituelles. En 2021, la décroissance s'arrête curieusement début mars, au moment même où la quantité d'injections augmente. La décroissance ne reprend que fin avril pour atteindre un minimum le 6 juin.

Ensuite, nous avons plusieurs pointes qui se suivent au rythme des incitations (sinon des injonctions) aux injections des différentes classes d'âge "éligibles", et l'apothéose de l'obligation annoncée le 12 juillet pour le 15 septembre pour les personnels soignants. Nous voyons la courbe prendre l'ascenseur à partir de début octobre. Avec une pointe au mois d'août, passeport vaccinal oblige pour tout le monde dans les transports et les frontières.

En fin d'année, le 27 décembre exactement nous atteignons les 2300, pas très loin des 2800 du 1er avril 2020 en pleine panique co(n)vidienne. Sans que cela ne semble émouvoir qui que ce soit. L'accusé restant bien entendu le méchant variant en circulation. La mise en question et à plus forte raison la mise en cause des injections étant formellement et dictatorialement interdite sous peine de mise … au pilori.

Cette année 2021 est donc indiscutablement, qu'on le veuille ou non, le reflet parfait des conséquences des incitations et des obligations vaccinales.

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Nous en arrivons à 2022.

C'est là que les choses deviennent de plus en plus "curieuses".

Puisque les populations les plus fragiles sont censés être protégées par deux sinon trois injections, il semblerait évident que le nombre de décès au moins n'augmente pas.

Or, c'est très exactement le contraire qui se produit, et ceci quasi pendant toute l'année 2022. Voir les différents pics sous les flèches lorsque de nouvelles catégories d'âge ont été généreusement invitées à passer à l'église de vaccinologie qui avait pour l'occasion dressé des barnums festifs un peu partout, et prendre religieusement et sagement en bon citoyen docile l'hostie vaccinale. Dans le but bien évidemment de protéger son entourage. Altruisme oblige. Alors que les opposants sont d'affreux égoïstes qui n'hésitent pas à tuer leurs proches par leur comportement irresponsable.

Non seulement en hiver en début comme en fin d'année le nombre de décès est supérieur, mais aussi en été où le pic de la mi-juillet est particulièrement marqué. Bien entendu les vaccinalistes/réchauffistes (ce sont les mêmes) nous rétorqueront que l'été a été le plus chaud depuis (s'ils osaient) la création du monde…

Argument qui pourrait être recevable "du bout des doigts" en été, mais en hiver ??? Ce devrait être le contraire !!! Si l'hiver est anormalement doux, ce qui est aussi le cas cet hiver 2023, le nombre de décès devrait diminuer ? En tous cas pas augmenter !

Etant donné que pour l'année 2022 les chiffres sont seulement publiés par l'INSEE jusqu'au 23 décembre, et que pour ce mois de décembre 2022 ils vont encore augmenter, si nous faisons les totaux jusqu'à cette date aussi pour les années précédentes nous en arrivons à ceci :

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Nous avons autant de morts en 2022 qu'en 2020 ALORS QU'IL N'Y A PAS EU LA DEFERLANTE DU PRINTEMPS 2020 !!!

Si l'on se base sur les chiffres précédents et que l'on complète la semaine manquante en 2022 entre le 24 et le 31 décembre, on obtient les chiffres suivants, plus proches des définitifs pour 2019 à 2021 et estimés pour 2022.

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Les pourcentages ci-dessus peuvent à priori sembler faibles.

Mais rapportés à la population totale de l'année considérée, on obtient en :

2022 : 0.27 % de 67 813 396 personnes = 183 096 décès excédentaires !!!

2021 : 1.02 % de 67 626 396 personnes = 689 789 décès excédentaires !!!

2020 : 0.52 % de 67 454 122 personnes = 350 761 décès en moins !!!

Bilan de 2019 à 2022 inclus :

(689 789 + 183 096) – 350 761 = 533 124 décès excédentaires soit 0.79 % de la population de 2022.

0.79 % de 67 813 396 habitants en 2022 représente 535 726 décès potentiellement imputables aux injections.

On a retiré des médicaments du marché pour bien moins que ça…

Et pourtant, on continue.

Et on généralise le procédé à toutes les injections.

Une chose est sûre, et visible sur Euromomo, il y a un très gros "problème" dans les classes d'âge les plus jeunes.

Dans tous les cas, la seule façon de clarifier la situation, serait que les chiffres de mortalité globale par rapport au statut vaccinal soient publiés.

Lorsqu'on met tout ensemble des stats de l'INSEE on obtient ceci :

De 2019 à 2022 inclus

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Pour améliorer la visibilité, si on masque 2020, on obtient ceci :

Donc pour les années 2019, 2021 et 2022

Où 2022 est en bleu (et s'arrête au 23 décembre)

On voit très nettement le pic de juillet consécutif aux menaces de suspension des soignants (dont nous avons l'insigne horreur d'être les seuls à continuer à les exclure).

2021 en brun

Et 2019 en jaune

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Pour ceux qui voudraient contester ces graphiques au prétexte qu'en raison du "Babyboom" les anciens sont de plus en plus nombreux et qu'il est donc normal que le nombre total de décès augmente, je répondrai : oui, MAIS.

Ceci n'explique EN AUCUN CAS la surmortalité des jeunes !!! Démontrée ci-dessus dans les statistiques d'Euromomo !

Pour info, toujours en se basant sur la pyramide des âges publiée par l'INSEE, on a le pourcentage suivant de personnes de plus de 75 ans (donc les babyboomers) :

2019 :  9.32 % soit 6 269 622 personnes

2020 :  9.43 % soit 6 362 915 personnes (+ 0.11% par rapport à l'année précédente)

2021 :  9.49 % soit 6 419 629 personnes (+ 0.06%           "                               "               )

2022 :  9.81 % soit 6 650 289 personnes (+ 0.32%           "                               "               )

 Constats inévitables :

Contrairement au discours de nos "protecteurs", la protection contre le supposé méchant cocotruc a lamentablement échouée.

Pis, les mesures dictatoriales imposées manu-militari (je rappelle la contredanse de 135€ pour les récalcitrants) ont été en bonne partie (sinon entièrement) responsables de "l'hécatombe" de 2020. Obliger des personnes saines à porter en continu une muselière un masque qui les oblige à réinspirer à longueur de journée ce que leur organisme essaie d'éliminer est un non-sens médical. Tout comme incarcérer toute la population et ne lui accorder des permissions de sortie, dignes d'Alcatraz (1 kilomètre de son domicile et pendant une heure autosignée) revient à l'affaiblir physiquement et psychologiquement de façon criminelle. Sans compter les injections obligatoires pour toute une catégorie de population. Encore au ban de la société aujourd'hui. Comme ont été au ban tous ceux qui ont refusé ces monstruosités.

Il est avéré maintenant et admis (par ceux-là même qui ont obligé les soignants à se faire injecter) que ces injections ne protègent de rien, même pas de formes graves (la forme la plus grave étant quand même le décès…).

Décès d'autant plus "curieux" que depuis peu "on" (gouvernement et médias aux ordres) a été obligé d'inventer la "mort subite de l'adulte" et autres "coïncidences". Coïncidences dont la vaccination est bien entendu exclue !!! Vu le nombre impressionnant de sportifs de haut niveau sans antécédent de santé qui décèdent brusquement sur le terrain de leurs exploits sportifs. Ou des journalistes et autres reporters qui s'écroulent devant caméras et micros. Tous vaccinés réglementairement pour pouvoir continuer à pratiquer leur sport ou leur profession. Après la mort subite du nourrisson due elle aussi non pas à un étouffement dans l'oreiller où autre phénomène de "bébé secoué", mais aussi due aux injections démentielles qui leur sont appliquées pendant leurs premiers mois de vie. Mais chuuuuuuuut, ne le répétez pas : c'est complotiste !

Depuis la mi 2021 le nombre de jeunes vaccinés qui décèdent brusquement d'un problème cardiaque ne cesse d'augmenter. Alors qu'ils n'avaient aucun antécédent. De même ceux qui abandonnent la compétition, ayant perdu une grande part de leurs possibilités.

Dans certains pays il est possible d'avoir le statut vaccinal des personnes décédées. En France, cette donnée relève du "secret-défense". Et pourtant cette statistique existe forcément, au moins chez les fabricants Pfizer et Moderna pour les plus répandus, puisqu'ils savent pertinemment ce qu'ils ont injecté et à qui. Défense des énormes intérêts en jeu. Et comme ce sont les gouvernements qui ont organisé le bal des vaccinodromes, les gouvernements savent donc tous au moins QUI a été injecté ou non.

Mais la bonne santé de la population n'a jamais été la priorité. Une personne qui n'a pas besoin de médicaments n'est pas rentable pour le système qui se dit de santé, et que j'appelle "système de la maladie organisée". Populace de sans-dents et autres bouches inutiles, depuis que l'on a exporté tous les travaux manuels en Extrême-Orient, jusqu'au ingénieurs et autres informaticiens, et que de plus, on cherche depuis plusieurs décennies à remplacer ces humains récalcitrants, grévistes, paresseux, absentéistes, et autres râleurs empêcheurs de s'enrichir en rond, par des robots. Robots hybrides, puisque l'on envisage avec la 6G d'intégrer directement l'informatique dans le corps humain, non plus sous forme de "puce" sous-cutanée ou injectée, mais en utilisant directement les cellules humaines comme des transistors. Transistor qui est l'élément de base de toute l'électronique actuelle. De nombreux brevets déposés pour certains depuis plus de 20 ans le prouvent.  

En passant, la 5G est l'étape précédente, avec le téléphone portable qui sert d'interface. En cours d'expérimentation actuellement.

Même si la fable covidienne risque de faire long feu, car de plus en plus de personnes expérimenteront par elles-mêmes dans les prochains mois et années le fait que les injections de les protègent de rien, mais qu'au contraire ils sont bien plus souvent malades "qu'avant", dans les cas les plus bénins. Et pour beaucoup, gravement, quand leurs proches, à qui ils auront peut-être conseillé d'aller se faire injecter seront décédés, parfois dans les jours suivants. La secte davosienne a dans ses tiroirs de nouvelles cochonneries à agiter sous le nez des naïfs pour les envoyer à l'abattoir. La variole du singe était une de ces fables, mais qui a fait flop.

Il est sérieusement prévu, étant donné le faible coût de fabrication des vaccins à mARN par rapport aux vaccins "classiques" à virus atténué ou tué, de faire tous les vaccins actuels avec cette technologie génétique, puisque là aussi, l'ARN fabriqué par les cellules du cobaye peut passer dans le noyau et modifier aléatoirement l'ADN dudit cobaye (c'est le principe de la transcriptase inverse).

Alors que l'on sait depuis plus de 20 ans, lorsque Pfizer (tiens, tiens !!!???) a fait des essais de vaccin mARN sur des chiens, contre la rage, que ces vaccins ne "marchaient pas", mais au contraire que les pauvres chiens tombaient …. comme des mouches.

A se demander donc pourquoi on cherche avec cette évidente obstination à l'injecter à l'être humain. Si ce n'est pour le supprimer à petit feu. En détruisant progressivement tout son "système immunitaire" et en le rendant incapable de se reproduire. Chose que de plus en plus de biologistes commencent enfin à dénoncer aujourd'hui.

Toujours est-il que ces injections constantes et dès le plus jeune âge, permettront d'avoir en permanence des nanoparticules de graphène dans notre corps (sous forme de "support lipidique"), pour arriver progressivement au contrôle total du "robot humain".

Sauf si ….

Janvier 2023

Daniel Buob