Surmortalité vaccinale. Les preuves commencent à ne plus pouvoir être glissées sous les tapis élyséens

Dans le prolongement de mes articles précédents, notemment Surmortalité ou pas ? Vaccinale ou pas ? voici le point à la mi-février 2023 sur la surmortalité potentiellement attribuable aux injections Covid.

Synthèse de l'analyse des graphiques et des tableaux de ce site : http://caillou5310.free.fr/index_tx_cumules.php#tx_cum_15

Taux cumulés de décès quotidiens (Ensemble de la population)

Pour 100 000 h./ an

2018

910.46

2019

912.02

2020

992.19

2021

978.45

2022

992.90

Premier constat : La mortalité en 2022 rapportée à 100 000 habitants (donc en tenant compte de la pyramide des âges) est EGALE à celle de 2020 !!! Et en nette augmentation par rapport à 2021.

Chez les femmes                                                      

2018

884.72

2019

888.28

2020

959.37

2021

939.67

2022

965.18

 Chez les hommes

2018

937.95

2019

937.36

2020

1027.21

2021

1019.83

2022

1022.47

A noter que les hommes semblent toujours plus nombreux à décéder … Ce qui a toujours été le cas.

Voyons maintenant les détails par classe d'âge, et tout d'abord pour les décès pendant la première année après les naissance, donc moins de 1 an d'âge :

2018

338.52

2019

336.35

2020

317.87

2021

335.02

2022

346.80

Une remarque importante : la mortalité infantile en 2020 était nettement inférieure à celle des années précédentes (et suivantes), pour la simple raison que le nombre de naissances a chuté, du fait de l'incarcération et de la panique des populations à partir du début de la "guerre au virus" mi-mars 2020.

Mais elle est plus élevée en 2022 que les autres années. Et en augmentation par rapport à 2021. Et toujours supérieure chez les garçons.

En détail pour filles et garçons

 

Filles

Garçons

2018

303.81

371.57

2019

297.55

373.47

2020

295.29

339.46

2021

304.86

363.86

Pour les 0 à 4 ans révolus

 

Ensemble

Filles        

Garçons  

2018

22.50

20.64

24.30

2019

23.16

19.13

27.03

2020

19.80

17.63

21.89

2021

20.02

17.77

22.16

2022

24.51

22.45

26.48

Pour les 5 à 9 ans révolus :

             

Ensemble

Filles        

Garçons 

2018

7.04

7.20

6.89

2019

7.52

6.11

8.87

2020

6.72

5.55

7.84

2021

6.95

5.52

8.31

2022

8.62

8.13

9.09

Pour les 10 – 11 ans

             

Ensemble

Filles        

Garçons 

2018

7.99

6.41

9.51

2019

6.39

5.58

7.16

2020

7.20

7.15

7.26

2021

6.56

5.88

7.20

2022

8.62

6.85

10.31

Jusqu'à 11 ans, l'augmentation des décès est très importante.

Pour la catégorie suivante, 12 à 17 ans, la différence en 2021 par rapport à 2020 est très peu marquée, et de plus en baisse en 2022 chez les garçons mais en hausse nette chez les filles.

12 à 17 ANS

             

Ensemble

Filles        

Garçons

2018

15.55

10.80

20.07

2019

16.21

12.25

19.98

2020

15.33

10.18

20.23

2021

15.70

10.80

20.36

2022

16.15

13.11

19.03

 18 à 24 ans

                

Ensemble   

Femmes      

Hommmes

2018

39.17

19.92

57.82

2019

37.02

19.26

54.12

2020

37.66

20.61

54.00

2021

38.67

20.85

55.70

2022

41.52

23.39

58.83

Nous voyons ici que les jeunes adultes n'ont absolument pas été concernés par la paranoïa covid de 2020. Puisque nous étions en-dessous des chiffres de 2018. Par contre, en 2022, brusque et nette augmentation ! POURQUOI ???

25 – 29 ans

               

Ensemble

Femmes   

Hommes

2018

48.43

26.97

70.41

2019

50.16

26.88

73.88

2020

47.56

26.31

69.16

2021

48.86

26.97

71.10

2022

49.95

28.05

72.13

 Même constat que précédemment.

30 – 39 ans                                                                           

              

Ensemble

Femmes   

Hommes

2018

77.10

47.33

108.36

2019

77.54

48.04

108.62

2020

75.65

46.06

106.83

2021

78.16

47.06

110.89

2022

80.53

49.92

112.72

 Même constat

40 – 49 ans                                                                           

               

Ensemble 

Femmes  

Hommes

2018

184.80

129.54

241.33

2019

179.04

124.71

234.67

2020

182.76

124.89

242.12

2021

181.01

120.45

243.35

2022

178.65

119.71

239.57

Pour les 40 - 49 ans pas de surmortalité en 2022, Les hommes en 2021 sont légèrement au-dessus de 2020. Tandis que chez les femmes nous sommes au-dessus en 2020.

50 – 59 ans                                                                           

                

Ensemble

Femmes

Hommes

2018

455.69

310.94

607.58

2019

442.31

302.61

588.68

2020

450.69

306.97

601.11

2021

452.62

303.44

608.54

2022

440.74

298.89

588.81

Nette sous-mortalité en 2022. Par contre, ce qui est remarquable ici, c'est qu'en 2018 nous étions pour l'ensemble des hommes et des femmes AU-DESSUS de toutes les années suivantes.

60 – 64 ans

                

Ensemble 

Femmes  

Hommes

2018

819.52

521.33

1146.93

2019

809.10

528.87

1116.93

2020

833.31

541.08

1153.73

2021

838.50

556.52

1146.75

2022

818.91

538.58

1124.36

Légère sous-mortalité en 2022, niveaux très proches en 2020 et 2021, mais très peu significatifs par rapport à 2018 par exemple.                                                                                  

65 – 69 ans

              

Ensemble

Femmes  

Hommes

2018

1135.07

739.55

1579.58

2019

1125.97

734.54

1565.39

2020

1195.94

778.01

1666.58

2021

1222.23

800.91

1699.67

2022

1194.15

709.13

1643.45

 Les plus de 65 ans ayant été parmi les premiers à "bénéficier" de la protection vaccinale, il semble évident qu'en 2021 ils n'étaient pas plus protégés qu'en 2020... Et que l'ensemble de la population n'était pas plus protégée en 2022 qu'en 2020. Preuve de la faillite vaccinale.

70 – 74 ans

             

Ensemble

Femmes   

Hommes

2018

1605.19

1102.75

2186.71

2019

1596.97

1106.21

2164.81

2020

1716.36

1160.29

2361.43

2021

1745.68

1194.87

2386.39

2022

1734.92

1211.00

2347.11

A partir de 40 ans, la tendance de surmortalité en 2022 constatée chez les plus jeunes s'inverse progressivement.

Pour les plus anciens, nous voyons indiscutablement que les dégâts de 2020 ont été très importants.

De plus, comme la campagne d'injections a commencé en tout début de 2021 par les plus âgés, pour les 70 – 74 ans nous voyons la mortalité la plus importante au courant de cette année de vaccination 2021, talonnée de très près par 2022.

75 – 79 ans

             

Ensemble

Femmes  

Hommes

2018

2602.11

1919.70

3465.46

2019

2548.69

1868.47

3401.87

2020

2801.32

2032.97

3756.80

2021

2753.87

2007.84

3682.53

2022

2687.29

1981.62

3564.60

 Pour les plus de 75 ans, comme il fallait s'y attendre, c'est l'année 2020 la plus meurtrière, bien que pour les plus de 80 ans, 2022 se situe juste en-dessous.

Plus de 80 ans

             

Ensemble

Femmes  

Hommes

2018

8815.18

8205.96

9923.07

2019

8776.44

8215.03

9784.09

2020

9594.25

8905.72

10818.61

2021

9286.09

8631.93

10440.14

2022

9562.58

8997.32

10569.90

 Données françaises de mortalité néonatale.

Les nombres de naissances [1] et de décès [2] sont issues des données officielle de l'INSEE.

Le graphique des taux mensuels de mortalité néonatale, décès de la naissance à 28 jours, de janvier 2018 à septembre 2022 est représenté à la figure 1.

Les intervalles de confiance ont été calculés avec la loi de Poisson.

 Image1

Le taux de mortalité de référence 2018-2019 est de 2,69 décès pour 1 000 naissances (ligne verte).

La ligne rouge pointillée verticale indique le mois de mai 2021, mois où les personnes majeures ont été éligibles aux vaccinations anti covid19. Il est à noter que, dès le mois d'avril 2021, les femmes enceintes à partir du second mois de grossesse étaient prioritaires pour la vaccination.

Nous observons les taux de mortalité dans la norme sauf pour les bébés nés en juin 2021, où le taux de mortalité néonatale est de 3,48 décès pour 1 000 naissances. Ce taux, hors de l’intervalle de confiance à 99,8 % est hautement significatif à 0,16 ‰ : soient 212 décès à moins de 28 jours pour 60 857 naissances vivantes, alors qu’environ 164 étaient attendus (intervalle de confiance à 99,8 % compris entre 125 et 203).

La mortalité néonatale (décès entre la naissance et 28 jours révolus) se décompose en

  • mortalité néonatale précoce: décès entre la naissance et 6 jours révolus
  • mortalité néonatale tardive: décès entre 7 jours et 28 jours révolus

Selon la même méthodologie, les graphiques représentant les taux de mortalité néonatale précoce (taux de référence = 1,83 / 1 000) et tardive (taux de référence = 0,85 / 1 000) sont présentés respectivement dans les figure 6 (annexe C) et 7 (annexe D).

Nous observons, pour la mortalité néonatale précoce, un pic hautement significatif pour les bébés nés en juin 2021 à 2,58 décès pour 1 000 naissances vivantes. Ce pic en dehors de l'intervalle de confiance à 99,8 % est hautement significatif à 0,029 ‰ : soient 157 décès alors qu'environ 112 sont attendus (intervalle de confiance à 99,8 % compris entre 80 et 145).

Aucun pic hautement significatif n'est constaté pour les mortalités néonatales tardives.

Nous pouvons en déduire que la mortalité néonatale excessive observée pour les bébés nés en juin 2021 est la conséquence de la mortalité néonatale précoce.

La mortalité néonatale précoce} a été décomposée en deux modalités :

  • mortalité à moins de 48h de vie
  • mortalité entre 2 jours et 6 jours révolus de vie

Selon la même méthodologie, les graphiques représentant les taux de mortalité à moins de 48h (taux de référence = 1,15 / 1 000) et tardive (taux de référence = 0,69 / 1 000) sont présentés respectivement dans les figures 8 (annexe E) et 9 (annexe F).

Nous observons, pour la mortalité à moins de 48h, un pic hautement significatif pour les bébés nés en juin 2021 à 1,69 décès pour 1 000 naissances vivantes. Ce pic en dehors de l'intervalle de confiance à 99,8 % est significatif à 0,12 ‰ : soient 103 décès alors qu'environ 70 sont attendus (intervalle de confiance à 99,8 % compris entre 45 et 96).

Aucun pic hautement significatif n'est constaté pour les mortalités entre 2 et 6 jours révolus. Nous observons néanmoins un pic en juin 2021, à la limite de la significativité à 95 %.

Ce pic de juin 2021 se retrouve bien entendu dans le graphique de mortalité infantile (décès entre la naissance et un an) de la figure 4 de l'annexe A. Il est significatif à 0,733 ‰. Il est la résultante des décès néonataux en phase précoce. En effet, il n'y a aucun pic significatif, en 2021, dans le graphique de la mortalité post-néonatale (décès entre un mois et un an) de la figure 5 de l'annexe B.

Nous pouvons en déduire que la mortalité néonatale excessive observée pour les bébés nés en juin 2021 est majoritairement due à la mortalité des nourrissons à moins de 48h.

Que s'est-il passé en France pour avoir, un taux aussi élevé de mortalité néonatale précoce des bébés natifs de juin 2021 ?

Pour la France, le pic d'excès de mortalité néonatale en juin 2021 correspond à la mortalité néonatale précoce et plus particulièrement à moins de 2 jours de vie. Ces informations ne sont pas disponibles pour l'Écosse et Israël.

La mortalité périnatale englobe la mortinatalité (mort in utéro) et la mortalité néonatale précoce (mort à moins de 6 jours révolus). Cette définition est censée refléter l'ensemble des problèmes obstétricaux. La mortinatalité et la mortalité néonatale précoce sont donc liés.

Les données complètes ne semblent pas disponibles. En France, nous ne disposons pas des mortinatalités mensuelles et en Écosse, les mortalités néonatales précoces ne sont pas accessibles.

L'étude de la mortalité périnatale est indispensable et serait un bon indicateur.

En France, durant la campagne de vaccination, dès le 6 avril 2021, les femmes enceintes à partir du second trimestre étaient prioritaires. A cette période-là, seules les personnes de plus de 70 ans pouvaient se faire vacciner. Le 12 avril, les personnes de plus de 55 ans ont pu se faire vacciner (AstraZeneca) et le 16 avril, les personnes de plus de 60 ans avec Pfizer et Moderna. C’est uniquement en mai que les personnes de 18 à 55 ans ont pu commencer à se faire vacciner. Beaucoup de personnes attendaient avec impatience le feu vert pour se faire injecter la « potion magique ». Y-a-t-il eu un afflux massif de femmes ayant déjà entamé leur second trimestre de grossesse, pressées, qui se sont fait vacciner dès cette période ?

Et si c’est le cas, y-a-t-il un lien avec le nombre excessif de bébés nés au mois de juin 2021 et décédés moins d'une semaine après leur naissance ? C'est une interrogation légitime. Nous manquons cruellement de données pour le savoir.

Pour ce qui est des naissances de bébés vivants ou non, l'Insee nous fournit les statistiques suivantes :

Sur la figure 1, représentant les nombres de naissances et d’enfants morts-nés annuels dans la France métropolitaine de 1901 à 2021, nous obervons dans la première moitié du siècle précédent une chute des naissances correspondant à chaque guerre mondiale. Nous voyons bien le grand boom des naissances vers 1945, après la seconde guerre mondiale, qui correspond à nos aînés de 75 ans. Nous observons ensuite des nombres de naissances vivantes plus ou moins stabilisés avec des hauts et des bas. Nous voyons aussi une baisse globale du nombre de naissances à partir de 1975. Depuis 2010, les nombres de naissances vivantes annuels sont en continuelle décroissance.

Quand aux nombres de bébés morts-nés, nous observons bien durant la première moitié du siècle dernier, une corrélation avec les nombres de naissances. Il est évident que plus, il y a de naissances, plus il y a de bébés morts-nés, tout comme plus il y a de personnes âgées, plus il y a de décès. Vers 1945, il n’y a plus de correspondance entre le nombre de naissances et le nombre de bébés morts-nés. Nous voyons clairement une chute progressive des nombres de bébés morts-nés jusqu’en 2000 quelque soit le nombre de naissances. Cela est la résultante de la création de la sécurité sociale, de la construction d’hôpitaux, de maternités, d’une meilleure prise en charge des femmes enceintes, de l’évolution de la médecine et des avancées technologiques.

Nous observons paradoxalement à partir de 2001 une hausse subite du nombre de bébés morts-nés. 

 Image2

La figure 2 représentant les nombres de naissances et d’enfants morts-nés de 1994 à 2020 en France entière nous offre un zoom de cette hausse de nombre d’enfants nés sans vie à partir de 2001. Cette hausse est due à un changement de codification des bébés morts-nés (2). Avant 2001, l’enregistrement d’un enfant sans vie ne pouvait se faire que si la grossesse avait duré plus de 26 semaines (196 jours d’aménorrhée, ou à proprement parler, 182 jours de gestation). A partir de 2001, le terme a été ramené à 22 semaines (154 jours d’aménorrhée, ou 140 jours de gestation) ou si le foetus fait plus de 500 gr. Ce changement de définition de l’accouchement d’un enfant mort implique donc une forte augmentation du nombre d’enfants morts-nés. Un pic de nombre d’enfants sans vie est aussi observé en 2009. Il s’agit sans doute de la nouvelle définition d'un enfant né sans vie de la circulaire du 19 juin 2009 (8). Elle offre aux parents qui le souhaitent la possibilité de pouvoir établir un acte d’enfant sans vie sur la base d’un certificat médical d’accouchement pour un foetus à partir de 15 semaines d’aménorrhé.

De 2014 à 2020, nous observons une très forte décroissance du nombre de naissances vivantes. Nous pouvons nous étonner que le nombre d’enfants nés sans vie ne diminue pas, mais reste stable. Il est possible d’emettre l’hypothèse que ce soit du à une dégradation de notre système de soins, à la fermeture de maternités et d'hôpitaux de proximité, à la désertification médicale, à la paupérisation de la population. Nous observons en 2021, une hausse des naissances vivantes, accompagnée d'une hausse d'enfants morts-nés.

Les données de l'insee s'arrêtent en 2022. 

Image3

Seule la mortalité néonatale précoce, donc des bébés décédés à moins de 6 jours révolus présente un pic significatif.

Lecture du graphique: pour les bébés nés au mois de janvier 2022, le taux de mortalité néonatale précoce est très proche de 1,6 bébés pour 1 000 naissances.

La droite verte horizontale indique le taux de mortalité néonatale précoce de janvier 20218 à décembre 2019. Il est de 1,83 bébés décédés décédés pour 1 000 naissances.

Le taux de mortalité néonatale précoce de mai 2021 à décembre 2022 est de 1.88 pour 1 000 naissances.

Ces deux taux de mortalité néonatales précoces, avant et après le début de la vaccination de masse des majeurs ne sont pas significativement différentes.

Nous observons néanmoins un pic hautement significatif inférieur à 1 ‰ de mortalité néonatale précoce pour les bébés nés au mois de juin 2021. En effet, il y a eu 157 nourissons, nés ce mois de juin, décédés, alors qu'environ 111 étaient attendus. La probabilité que le nombre de bébés décédès soit supérieur ou égal à 157 est de 0,029 ‰. Ce pic hautement significatif est majoritairement dû aux décès les 48 premières heures de vie (pic significatif à 0.114 ‰). Le pic de mortalité de 48h à 6 jours est lui proche de la significativité à 2,5%.

Qu'est-il arrivé aux nourissons nés ce mois de juin 2021. Beaucoup de bébés prématurés ? Effet délétère de la vaccination des femmes enceintes durant leur second trimestre de grossesse à partir d'avril 2021 ? Nous ne pouvons pas le savoir, n'ayant pas plus d'informations. Cette mortalité néonatale précoce en juin 2021 doit nous alerter.

Un second pic significatif à 2% est observé en décembre 2022. 130 bébés nés ce mois de décembre sont décédés à moins de 6 jours révolus de vie, alors qu'environ 108 décès étaient attendus.

Il est à noter que les dernières données ne sont pas encore bien consolidées. La mise à jour mensuelle de ce graphique nous indiquera l'évolution de cette mortalité néonatale précoce.

Image4

Voici aussi une synthèse du taux de mortalité en France pour 100 000 habitants, qui compare les variations entre la moyenne des taux de 2018 à 2021 et le taux de 2022, par catégories d'âges, de 0 à 59 ans.

(Cliquez sur l'image, vous aurez la possibilité d'agrandir le tableau)

Image5

La conclusion au niveau de la mortalité toutes causes confondues est incontournable :

Non seulement la vaccination ne protège pas, mais il devient de plus en plus certain qu'elle tue. Pas seulement de façon directe, puisqu'un décès brutal d'une personne ou d'un enfant qui ne présente aucun facteur de risque quelques jours après une injection (faussement présentée comme expérimentale) est hautement suspecte. Et de plus, lorsqu'elle ne tue pas directement, les effets néfastes sur la stérilité semblent catastrophiques, sans compter les décès induits, mais à plus long terme, en fonction de la "résistance" de chacun.

Les plus jeunes d'un côté, et les plus anciens de l'autre.

Et entre ces deux extrêmes, il y a l'avalanche d'infirmités induites, surtout semble-t-il chez les femmes et les jeunes sportifs, ce qui ne ressort pas des chiffres présentés ici bien évidemment.

Malgré que ces chiffres des instituts officiels peuvent être bidonnés volontairement (par exemple, tous les décès ne sont pas accessibles dans les fichiers consultables et téléchargeables par le public) et de toutes façons "involontairement" (du fait des méthodes de saisie de données plus qu'étranges de l'Insee par exemple), ce qui fait que les données présentées sont toujours "révisables", nous arrivons (hélas) a une vérité aveuglante : ces injections font très exactement (et très discrètement) le contraire de ce qu'elle prétendaient au départ. 

Et la question subsidiaire est inévitable : Est-ce volontaire ou non ?

Des statistiques de toxicité des divers lots de vaccins qui ont été utilisés en Amérique comme en Europe et ailleurs semblent démontrer qu'environ 11 à 12 % de tous les lots de vaccins sont impliqués dans la totalité des décès survenus brutalement dans les jours suivants l'injection, et de plus chez des personnes qui n'avaient aucune "prédisposition".

Voir ce lien pour plus de détails

Mais pour nos "protecteurs" (exterminateurs ?) ce n'est qu'une "coïncidence".

Mêmes constats en Allemagne

 Et au niveau mondial