Que pourrait-il se passer en cas de crash financier ? Et pourquoi celui-ci est inévitable ?

Un crash de l'euro et de la finance internationale est-il prévisible, et pourquoi ?

Comme toujours les avis sont partagés. Pourtant beaucoup d'indices ne sont pas réjouissants et devraient faire réfléchir... ceux qui le peuvent encore.

Tout d'abord deux liens :

Pourquoi le crash de l'euro aura lieu

Rachat de dettes par la BCE

Premier constat : Il semble y avoir une unanimité autour de la date de mars 2020. Date à laquelle, les rachats d'actifs pourraient cesser plus ou moins abruptement. Les raisons invoquées sont bien entendu diverses en fonction des sources.

Pour les principales : La quantité d'actifs (en fait, essentiellement des obligations d'état, donc des dettes) que des pays comme la Grèce, l'Italie, mais aussi le Portugal, l'Espagne et maintenant la France, tous largement surendettés à cause du "généreux" financement de la crise économique (alias covidienne), cette quantité d'actifs "pourris" sera tellement importante par rapport à celle des seuls actifs allemands (les seuls européens encore éventuellement remboursables, donc "fréquentables" au point de vue bancaire) que la Banque Centrale Européenne (BCE), ne pourra plus équilibrer son bilan. Certains économistes affirment clairement qu'à partir de mars 2022 il n'y aura plus un seul actif allemand à "se mettre sous la dent", donc à acheter.

Ce qui accélèrera forcément la chute de la valeur de l'euro, maintenue artificiellement par des manipulations financières telles que le Quantitative Easing (QE) et depuis début 2020 par le Programme d'urgence face à la pandémie (PEPP).

Dans tous les cas, commencerait alors une spirale infernale d'inflation galopante.

Voici deux liens particulièrement "instructifs" sur ce sujet.

(Nota : il ne s'agit ici pas de faire une publicité pour un parti politique, je suis totalement apolitique, mais c'est une source d'information économique particulièrement recommandable et juste pour quelqu'un qui essaie de comprendre…)

Voir :

Pourquoi l'euro est condamné

Sources et références UPR

Conséquences d'une inflation :

Si une inflation se déclenche maintenant, dans un contexte où tous les pays européens, pour ne par dire mondiaux (au moins "occidentaux", et dans une moindre mesure l'Allemagne) se sont endettés de façon si massive qu'il leur sera tout simplement impossible de rembourser quoi que ce soit, ne serait-ce qu'une infime partie des seuls intérêts comme jusqu'à présent, l'accélération de l'inflation risque très logiquement d'être d'une brutalité absolument inédite.

Connaître la date exacte, relève de la boule de cristal de Madame Irma…

En revanche, la situation économique de TOUS LES PAYS va se dégrader très fortement d'ici le printemps prochain. N'oublions pas non plus que l'Europe (et l'Euro) est une fabrication totalement initiée par les états profonds américains (Wallstreet, Rothschild, Rockefeller and C° pour faire court) mais aussi anglo-saxons (La City de Londres associée ensuite à Francfort via Bruxelles). Et ceci avec la complicité active des divers gouvernements des pays concernés, par le biais des "pions" placés aux postes clés. Voir ici au chapitre "Les Etats-Unis et la construction européenne" et "Les origines nazies de l'UE". Ainsi que les ouvrages de Pierre Hillard (liens en fin d'article).

Ce qui revient à dire que si l'Euro s'écroule, le billet vert (Dollar US) va lui aussi suivre le même chemin. (Déjà depuis longtemps sa valeur réelle est totalement artificielle, donc nulle). Ce qui ne laissera en lice que le Yuan chinois. Mais pourra-t-il "survivre" seul ou "adossé" au Rouble russe ? Bien malin celui qui pourra le prédire…

La guerre non pas sanitaire, mais financière, c'est à dire hégémonique dont l'enjeu est la domination planétaire par une "élite" auto-proclamée, se joue entre ces divers acteurs "souterrains" : américain, anglo-saxon, chinois, russe, pour les principaux.

La raison principale de la crise covid est une conséquence essentielle (avec d'autres) du bras de fer USA/Chine de ces dernières années. Entre ces deux acteurs, c'est le jeu du "Je te tiens, tu me tiens par la barbichette".

Car ni l'un ni l'autre n'avait JUSQU'ICI intérêt à faire plonger l'autre directement trop brutalement.

Les Chinois ont des réserves de dollar absolument faramineuses, qu'ils cherchent depuis longtemps à convertir en Or, qu'ils rachètent en grande quantité depuis longtemps pour donner une assise internationale à leur monnaie, et en valeurs immobilières à l'étranger. S'ils venaient à remettre brutalement sur les marchés financiers ne serait-ce qu'une faible partie de leurs avoirs en dollars, ce dernier s'écroulerait définitivement et irrémédiablement. Il fallait donc pour les américains, trouver un autre moyen plus "soft". Comme, par exemple une crise sanitaire qui mettra à genoux progressivement les économies concurrentes. La preuve, la Chine est aujourd'hui, au moins "officiellement" en parfaite santé, au moins économique. Elle produit toujours la majorité des masques et autres tests et fumisteries covidiennes. Sans compter tout le reste.

Les Américains (America first est la devise de tous les présidents, y compris Trump !), eux, n'ont pas intérêt à laisser la main aux Chinois. Ils ont donc à l'évidence "favorisé" sinon initié cette fuite de supposé coronavirus (qui n'est probablement qu'un ramassis de débris cellulaires "assaisonné de divers poisons, pas trop toxique quand même, les semeurs respirent le même air que les supposées victimes …), de façon à pouvoir contrôler la suite des opérations, à savoir la prise de pouvoir mondial à travers l'écroulement des divers pays, à commencer par ceux qui les premiers ont cédé le plus à leur chantage.

Conséquences prévisibles pour les petits pions sur cet échiquier diabolique que nous sommes :

En préambule, un article assez bien rédigé sur le crash boursier de 1929.

Mais il faut être conscient que ce qui n'était "qu'un" crash boursier parti de Wallstreet en 1929, mais dont le but (caché) était en fait de provoquer la deuxième guerre mondiale, sera cette fois bien plus grave. Car l'objectif de l'issue ne sera pas de "corriger le tir" et redresser la situation par divers artifices pour revenir à la même situation que précédemment, nous y sommes, mais bel et bien de mettre en place une toute nouvelle société "d'esclaves" plus ou moins robotisés, tout en éliminant tous les inutiles (c'est en cours, ça a commencé en début d'année 2020, et accéléré grâce aux injections en début 2021).

Un simple parallèle financier à ne pas oublier : les deux principales banques allemandes, Deutschebank et Commerzbank sont actuellement en survie programmée, car en faillite dissimulée depuis de nombreuses années. En plus de la BCE (indirectement), de nombreuses banques étrangères (par exemple en France BNP-Paribas et Société Générale) rachètent des actifs pourris des deux fleurons allemands, sinon des secteurs entiers de ces "cadavres bancaires".

Triste anniversaire pour Deutschebank et Commerzbank

BNP rachète un secteur de Commerzbank

La BNP favorite de Berlin pour fusionner avec Commerzbank

Dans le seul pays dont l'économie fait semblant d'être encore présentable, c'est quand même un gros point d'interrogation de savoir que les deux premières banques du pays sont en quasi-faillite (cachée puisque le bilan est comme il se doit, maquillé). (L'article du Monde date de début 2020)

Donner précisément un "calendrier" des prochains évènements est bien entendu illusoire.

En revanche, poser les divers cas de figure qui auront le plus de probabilités de se produire est plus réaliste.

Dans une hyper-inflation (qui débute généralement lentement mais s'accélère ensuite exponentiellement), à partir du moment où elle n'est plus contrôlable, réduit à ZERO la valeur des monnaies concernées. N'oublions pas qu'étant donné la mondialisation actuelle, aucune monnaie n'est réellement à l'abri, même le Franc Suisse.

Ce qui veut dire que chaque "objet", à commencer par la sacrosainte baguette de pain gauloise, aura une valeur quasi infinie. Aussi longtemps que durera cette inflation.

Plus rien ne sera "achetable", donc vendable.

La priorité numéro un, dans toute la mesure du possible est de n'avoir aucun crédit, immobilier ou bien de consommation, voiture, etc., ni loyer !) Ce qui n'est déjà pas évident, surtout pour les jeunes foyers.

Si l'on a en revanche du "bien" (en espèces bancaires, placements, immobilier, etc.) la question qui se pose est : quoi faire ?

Acheter de l'or, de l'argent ou d'autres métaux précieux (PHYSIQUES, j'insiste sur ce point) permettra de retrouver une (peut-être) valeur en sortie de crise. A condition que la valeur de l'or ait encore un sens "après", ce qui n'est pas forcément évident. Et dans l'intervalle il sera plutôt difficile de limer une parcelle d'or de son lingot pour payer sa baguette de pain chez le boulanger. De même l'investissement en bourse est à fuir. Personne ne sait ce qui en restera "après".

Avoir un toit permet de se mettre à l'abri des intempéries, et de conserver une valeur dans un système économique analogue à l'actuel. Mais rien ne dit que nous serons encore propriétaires de notre logement "après". Le bruit court depuis plusieurs années de remplacer la taxe foncière par un "loyer" de son logement principal estimé à partir de sa valeur locative, alors qu'on ne le louera pas puisqu'on l'habite ! Un peu comme en Suisse depuis longtemps. On n'est plus propriétaire de son terrain, mais on le loue à l'état. En Suisse une fois on ne rembourse au plus qu'un pour cent de son prêt immobilier par année, ce qui fait qu'on n'en sera jamais propriétaire de son vivant. En Helvétie, ce sont donc les banques qui sont de fait propriétaires de la majorité des constructions et maisons particulières.

Pour ceux qui ont des moyens suffisants, acheter de l'immobilier peut être une option, en restant dans la perspective actuelle. Comme nous n'avons en l'état actuel des choses aucune idée concrète de la façon dont nous pourrions sortir de cette situation sans prendre le maquis, difficile de donner des conseils précis.

Pour ma part, vendre une résidence secondaire actuellement n'a éventuellement de sens que si l'on envisage de réinvestir par exemple dans de l'or, MAIS à CONDITION de pouvoir retrouver une valeur ensuite. Que sera-t-elle réellement ? Tout dépend des cours de l'or…. Aura-t-il seulement encore une valeur si par exemple il n'y a plus qu'une monnaie électronique et un revenu minimum distribué généreusement par les esclavagistes ??? Puisque la "valeur" de cette monnaie électronique ne sera que celle que l'émetteur lui donnera. Dans le cadre du Great Reset de Klaus Schwab, c'est parfaitement plausible.

En fait nous avons les possibilités suivantes :

  1. Garder notre bien immobilier (surtout s'il s'agit de notre maison familiale et que nous avons la chance qu'elle soit intégralement payée), mais risquer de nous faire expulser en cas de refus de revenu minimum par exemple. Ou de confiscation pure et simple.
  2. Ou, s'il s'agit de biens immobiliers qui ne constituent pas notre habitation principale, garder notre bien, et risquer de nous retrouver dans le cas du 1.
  3. Vendre notre habitation principale, et nous retrouver tout de suite à la rue … Où vendre notre résidence secondaire, encaisser donc des liquidités aujourd'hui mais qui ne vaudront plus rien demain…
  4. Il est évident qu'avoir un crédit immobilier ou de consommation est à éviter dans toute la mesure du possible. Ce qui n'est pas forcément évident bien sûr.
    Plus que l'envolee des mensualités c'est surtout l'écroulement des banques par leur faillite qui est à craindre. Car elles vont "se payer" en empochant les avoir des comptes, même qu'ils sont de plus en plus faiblement garantis, et aussi en s'appropriant les biens dont ils ont avancé l'argent des prêts...
    Donc absolument à éviter chaque fois que c'est possible d'avoir un prêt en cours...par les temps qui courent ...

Et pour le moment, et ne rien arranger, le secteur immobilier, hors propriétés de luxe, est complètement bloqué (plus rien à vendre), car les propriétaires tentent de laisser passer l'orage.

Si l'on considère les lois de l'offre et de la demande, s'il n'y a plus d'offre, les prix devraient grimper, sauf que s'il n'y pas de demande, car plus personne n'ose s'endetter... le blocage est total.

Voici un article à première vue un peu plus optimiste, quoique tout à la fin l'auteur dit quand même "qu'il devient urgent de nous organiser pour échapper à un collapse subit et violent".

Sans pour autant nous préciser COMMENT nous organiser.

Comme très souvent, le titre d'un article est en contradiction avec son contenu… :

Pourquoi l'effondrement n'aura pas lieu

Comme cela est de plus en plus envisagé par différents groupes ou collectifs, créer des communautés autonomes sera peut-être un jour indispensable pour pouvoir survivre.

Dans quelles conditions réelles ? La suite de questions est quasi infinie …

Et les réponses possibles aussi.

A chacun, en fonction de sa situation et de ses contraintes personnelles de faire ses choix…

MAIS SURTOUT d'être prêt, vraiment, à changer complètement de modèle de société, pour revenir à l'essentiel, à réapprendre à vivre vraiment et donc à l'Humain. Ça, c'est inévitable.

"Ils" nous avaient bien prévenus que "Rien ne sera plus comme avant".

C'est la seule fois où ils n'ont pas menti.

Aussi longtemps que les psychopathes qui ont initié ce génocide n'achèvent (ne nous achèvent) pas complètement par leur folie…

Rappelons quand même pour être parfaitement réaliste, donc complotiste, que les plus "durs" des psychopathes veulent réduire la population à quelque chose entre 500 000 et 800 000 individus.

Il s'agit donc d'en éliminer environ 7 milliards.

Et dans quelles conditions pourront survivre ceux qui ne seront pas passés à la "moulinette"?

Une question de plus …

Autres liens :

Etat d'urgence, décrets d'application du pass sanitaire non publiés et diverses infos légales

Pourquoi nos gouvernements se savent pas comment gérer la crise actuelle

Les dessous géopolitiques de la crise actuelle

Illégalité du Vaccin Pfizer selon Brusa. Pourquoi c'est faux

Les vaccins covid, une immense manipulation organisée. Par la Docteure Nicole Delépine

Pierre Hillard Sionisme et mondialisme 

Pierre Hillard Atlas du mondialisme

Pierre Hillard Archives du Mondialisme

 

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