Origines et crimes du camp des mondialistes

Il existe une parenté idéologique évidente entre mondialistes et nazis. Entre d’une part, le génocide humain commis par Hitler et ses sbires et d’autre part, les crimes du camp mondialiste, même si en 2021, on n’utilise plus le Zyclon B. Et que bien sûr, les modes opératoires ne sont pas les mêmes. Mais, comme analyse Primo Lévi ” les nazis ont mis en place une industrie inédite : la fabrication de la mort de masse” (cf son livre : “Ainsi fut Auchwitz, témoignages 1945-1986”). Les mondialistes les ont suivis dans leur noire entreprise, entreprise rendue possible par l’incroyable indifférence opposée à leurs crimes.

1°) - Comment l’intellectuel collectif nazi est passé avec armes et bagages au service de l’Etat profond :Il existe une parenté idéologique évidente entre mondialistes et nazis. Entre d’une part, le génocide humain commis par Hitler et ses sbires et d’autre part, les crimes du camp mondialiste, même si en 2021, on n’utilise plus le Zyclon B. Et que bien sûr, les modes opératoires ne sont pas les mêmes. Mais, comme analyse Primo Lévi ” les nazis ont mis en place une industrie inédite : la fabrication de la mort de masse” (cf son livre : “Ainsi fut Auchwitz, témoignages 1945-1986”). Les mondialistes les ont suivis dans leur noire entreprise, entreprise rendue possible par l’incroyable indifférence opposée à leurs crimes.

1-1°) - Les nazis ont participé activement à la construction de l’Etat profond américain

Il existe une filiation idéologique incontestable entre le régime nazi et l’état profond américain, partie prenante du camp mondialiste. Ainsi après-guerre, 100 000 responsables nazis (chiffre donné par le sociologue Lars Jorgensen) ont travaillé pour la CIA : notamment les responsables de la firme allemande IG Farben. Ils ont participé directement à la construction de l’Etat profond américain.

Au cours des années 30, IG Farben était un laboratoire d’idées favorable à un super-État mondial, tout comme le camp mondialiste aujourd’hui. Bien avant ce perroquet de Jacquot Attali, IG Farben avait théorisé l’idée de gouvernance mondiale : mais elle s’était heurtée au refus de Hitler, pan germaniste. Après-guerre, la firme a vendu son concept d’état mondial à l’état profond américain, qui l’a reprise à son compte.

Mais ce n’est pas tout. Le livre d'Eric Branca intitulé “Le roman des damnés. Ces nazis au service des vainqueurs après 1945, édition Perrin, mai 2021”, fait le portrait de 12 nazis construisant l'État profond américain, l’OTAN après-guerre : Albert Speer, Walter Schellenberg, Reinhard Gehlen, Rudolf Diels, Otto Skorzeny, Ernst Achenbach, Kurt Kiesinger, Hjalmar Schacht, Friedrich Paulus, Wernher von Braun, Hannah Reitsch.

Il faut aussi avoir à l 'esprit la longue complicité existante entre Hitler, Goering et un certain capitalisme américain : les patrons des grandes firmes américaines : ITT, Ford, Général Motors. Les longs repas entre les patrons américains et "Monsieur Goering"(sic) tant admiré par ces derniers, comme le montre excellemment le livre de Jacques Pauwels : “Le mythe de la bonne guerre. Les Etats-Unis et la seconde guerre mondiale”, édition Aden Belgique, mai 2005.

Donc on voit comment l'intellectuel collectif nazi est passé avec armes et bagages au service de l'État profond. Et 50 ans après, personne ne moufte, considérant cette trahison des services secrets américains comme "normale", "allant de soi".

1-2° ) - Des nazis sont à l’origine de la construction européenne, la torture utilisée pendant la guerre d’Algérie.

-De la même façon, la construction de l’Union Européenne doit beaucoup à l’appui intellectuel d’anciens nazis :

Walter Hallstein, officier de la Wehrmacht, est envoyé pendant un an dans un camp de concentration américain. Après-guerre, il réussit à être l’architecte de la CECA (Communauté Européenne du Charbon et de l'Acier), puis Président de la Commission européenne.

Ancien Ministre de Pétain, Robert Schuman est frappé « d’indignité nationale », avant d’être le premier Président du Parlement européen, aujourd’hui idolâtré par Manon Aubry, comme “l’homme qui a fait l’Europe”.

Son ami Jean Monnet est un agent de la CIA.

C'était le trio des trois pères fondateurs de l'Europe. Pour la petite historiette, sur Wikipédia, le premier du trio, Walter Hallstein n'était pas très "présentable". Il a donc été "remplacé" sur l'encyclopédie en ligne par Paul-Henri Spaak, qui lui n'est arrivé que plus tard.

A propos du “corset européen”(sic), Madame Annie Lacroix-Rix n’hésite pas à parler de “IVème Reich” (sic). Sur Facebook, Dominique Kern a rédigé d’excellents articles, expliquant comment le projet d’Etats-Unis européens était un projet de Hitler, réalisé ensuite après-guerre par les ex-alliés.

-L’Etat profond américain n’est pas le seul à être fasciné par la culture nazie. ll en est de même de l’armée française. Dans son livre de mémoires “L’aventure incertaine”, édition du Félin, 1998, Claude Bourdet, “patron” du groupe de résistance Combat, lui-même “catho-gaucho” du PSU, dénonce avec âpreté la fascination intellectuelle des "zélites" politico-militaires françaises pour les nazis. Pourtant, ce sont souvent d’anciens résistants. Pourtant, elles torturent en Indochine et en Algérie, se comportant comme leurs anciens adversaires.

Un exemple entre mille : pendant la guerre d’Algérie, Robert Lacoste, Député-Maire SFIO de Bergerac, Gouverneur d’Algérie fait mettre le militant nationaliste algérien les deux pieds dans le ciment. Puis, d’un hélicoptère, jeter dans la Méditerranée. Toujours pendant la guerre d’Algérie, Alain Badiou, alors jeune militant du PSU, raconte comment on torture dans les commissariats Parisiens. On le voit : le même total mépris de la vie humaine. Faire le mal comme seule raison de vivre.

'-L’armée américaine n’est pas en reste : on n’a pas oublié la féroce guerre du Viet Nam contre le Viet Kong, et ses atrocités : Napalm, nuage orange, l’image de la petite fille courant brûlée vive, etc.

La fiche Wikipédia sur la guerre du Viêt Nam concède que “ce fut l’un des conflits les plus sanguinaires après la Seconde Guerre mondiale pour les civils, qui sont devenus les cibles majeures des guerres irrégulières.

Au début de ce conflit, les médias américains subissent la censure de Washington et de l’armée américaine. Cependant, après le massacre du village de Mai Lai et de nombreux massacres de populations civiles, les journalistes prennent conscience de la réalité sur le terrain et changent la tonalité de leurs articles. Plusieurs titres de presse émergent aux États-Unis afin de contester et d‘organiser les mouvements contestataires contre ces atrocités.”(sic), Wikipédia Fiche Guerre du Viet Nam.

Le fait aujourd’hui que, malgré l’interdiction de son gouvernement, le Pentagone participe financièrement à la fabrication du virus du Covid augmenté, au sein de labos P4, à des fins de guerre biologique, n’est donc jamais que la poursuite de la mort de masse, par d’autres moyens.

En effet, comme écrit Israel Adam Shamir : “Après que la recherche sur le gain de fonction a été interdite par le gouvernement américain en 2014, elle a été rapidement délocalisée au laboratoire de Wuhan.

La recherche a été discrètement poursuivie avec des subventions américaines provenant (en partie) du célèbre Dr Fauci via le non moins célèbre Peter Daszak et son EcoHealth Alliance, bénéficiaire d'une subvention de 39 millions de dollars du Pentagone. Le Pentagone est une grande organisation humanitaire connue pour son amour de l'humanité, n'est-ce pas ? S'ils ont envoyé autant d'argent à Wuhan, ils avaient sûrement notre bien en tête. C'est probablement par pure modestie qu'ils ont caché les subventions, via un réseau de transactions multiples, faisant passer l'argent d'une ONG à une autre jusqu'à atteindre sa destination finale à Wuhan”(sic) : cf “La boite de Pandore”, site l’Enclume et l’écume”).

Après-guerre, on voit donc comment la culture nazie infuse dans l'Etat profond, l'Union Européenne, les armées françaises et américaines. Comment les nazis, vaincus officiellement sur le papier sont en réalité les grands gagnants idéologiques dans les têtes des zélites de l’après-guerre.

2°) - Les mondialistes sont des meurtriers de masse :

2-1°) - Dès 2010, la Fondation Rockefeller n’annonçait-elle pas gaiement “des millions de morts” dans le cadre d’une grande pandémie ?

Comme explique Pierre Hillard : “Déjà vous avez eu un rapport de la Fondation Rockefeller en 2010, qui annonçait dans un chapitre intitulé : “état de verrouillage”, une pandémie mondiale entrainant des millions de morts. Conduisant à la mise en place de mesures autoritaires, liberticides dans les états.”(sic) (vidéo Youtube du 7 juillet 2021).

2-2°) - Afin de dégonfler la bulle mondiale, restaurer son taux de profit à la hausse, la finance internationale n’a-t-elle pas hésité à produire un à deux millions de morts du Covid, écrit le lanceur dalerte Israel Adam Shamir ?

“Glazyev, économiste de renom, a expliqué pourquoi les personnes à l'origine de la création d'un nouveau coronavirus ne se souciaient nullement du fait qu'il puisse se répandre dans le monde entier. Ils avaient besoin de dégonfler la bulle financière mondiale qui avait été gonflée par la Réserve fédérale américaine, la BCE, les banques d'Angleterre et du Japon au cours d'une décennie d'assouplissement quantitatif. Tout au long de la décennie, le volume de la masse monétaire en dollars a été multiplié par cinq, et celui de l'euro par quatre.

L'effondrement financier était inévitable. Grâce à la pandémie mondiale, la bulle s'est dégonflée de manière pacifique et gérable, sans aucun excès désagréable. Un ou deux millions de morts sont des dommages collatéraux raisonnables aux yeux des super-riches américains” (cf son article “La boite de Pandore”, publié sur le site “La plume et l’enclume”.)

2-3°) - Mais ce n’est pas tout. Toujours afin de dégonfler la bulle financière mondiale, la finance internationale sacrifie une partie de l’appareil productif français ? Générant un million de chômage et de pauvres, rien que pour l’année 2020, dans le cadre de l’arrêt brutal de l’économie consécutif aux trois confinements.

2-4°) - De même, confrontées à la concurrence de la Chine, pays plus productif qu’elles, les responsables occidentaux sacrifient froidement la petite-bourgeoisie, après avoir sacrifié hier les Classes populaires. Dans la plus parfaite indifférence ? Ce n’est pas moi qui le dis, mais le marxiste Vincent Jouysse dans un article récent :

Par conséquent, il faut voir le cocktail de mesures pseudo-sanitaires caractérisant « l’absurdistan autoritaire » non pas comme une formidable accumulation d’erreurs et d’incompétence, mais comme une volonté de démolition économique et sociale contrôlée. Pour les observateurs intelligents familiers avec les principes de l’économie politique, il s’agit d’une «volonté froide, calculatrice et délibérée d’éradiquer toute la classe moyenne de notre société ».(sic) (“Sur les rails du Grand Reset, le petit train de l’horreur”, article publié sur le site : Les 7 du Québec, juillet 2021).

Certes, la pandémie de covid n’a pas fait les dizaines de millions de morts escomptés par le gratin mondialiste lors du sommet d’octobre 2019. Il n’y a en a eu “que” un à deux millions, selon les chiffres d’Israël Adam Shamir. C’est sans doute dû au fait que les chinois du labo P4, ne maitrisent pas assez bien les techniques d’augmentation artificielle de la nuisance d’un virus. Tant mieux.

Il n’en reste pas moins que les mondialistes sont des meurtriers de masse, sur le modèle des Kapos de Birkenau-Auchwitz. Leurs crimes sont moins visibles, mais ils existent tout autant. C’est ce qu’explique le marxiste Diégo Fusaro :

Le fait que, à la différence de celles provoquées par les totalitarismes du XXème siècle, les morts causées par les décisions aseptisées, impersonnelles et invisibles provenant du FMI, de la BCE, de la volonté des eurocrates et par les caprices théologiques du marché (faire monter le cours de la bourse) ne se voit pas. Cela ne signifie pas pour autant qu’ils n’existent pas (sic). (“L’Europe et le capitalisme. Pour rouvrir le futur”, édition Mimesis, 2016).

L’occultation forcenée de la question sociale dans les médias, et par les responsables politiques de “gôôche” comme Mélenchon, sa routinisation dans les têtes, où le chômage “va de soi”, est naturalisé, n’en font pas moins que le capital est dégoulinant de sang des pieds jusqu’à la tête, pour reprendre l’expression de Marx. Délocalisation forcenées vers les pays à main d’œuvre bon marché, fermeture systématiques des “canards boiteux”. Pillage éhonté de l’Etat social désormais raclé jusqu’à l’os, où les enveloppes sociales deviennent des “aides aux entreprises”, gavant les patrons déjà riches. Privant le plus démuni du petit contrat aidé qui lui permettait de survivre : le nombre de contrats aidés est passé de 2,650 millions en 2 000 sous Jospin à 100 000 sous Macron. L’enveloppe a été presque totalement liquidée dans l’indifférence générale, notamment de la “gôôche” dite critique de Mélenchon. Privant le plus démuni de la petite allocation logement, qui leur permettait d’avoir un toit : les gangsters du mondialisme ont du sang sur les mains : personne n’ose le dire.

Macron, bébé Clinton, est un gangster. Un homme sans foi ni loi participant de ce capitalisme criminel, parfaitement décrit et dénoncé par Jean-François Gayrot, commissaire de police, dans son ouvrage : "Le nouveau capitalisme criminel", préfacé par l'économiste atterré Paul Jorion.

Comme disait Al Capone : "le capitalisme est le racket légitime organisé par la Classe dominante"(sic))

Avec le capitalisme mondialisé, toute morale minimale a disparu. Place au triomphe des professionnels du Mal, vivant “pour” et “par” le mal. Place à la mise à mort sociale, psychologique et sanitaire du Peuple français, sans que personne ne moufte.

Conclusion :

Les crimes des mondialistes ne sont pas un coup de tonnerre dans un ciel serein, alors que nous vivions dans une “démocrate sincère”. Beaucoup d’institutions étaient déjà gangrénées par la culture nazie. Sa présence au sommet de nombreuses institutions a créé les conditions de possibilité intellectuelles de leurs crimes actuels, qui doivent beaucoup à la culture de mort des Kapos nazis. Sont au service de la même mort de masse. Sans aucune espèce de culpabilité. Au nom de la même volonté de puissance. Bafouant profondément toutes les vies humaines jugées “inutiles”. N’hésitant pas à mettre en place le plus brutal du système esclavagiste, dont toute l’histoire humaine a le souvenir.

En tout état de cause et avec le Covid, les mondialistes étaient prêts à tuer beaucoup plus, afin de diminuer la population mondiale, faciliter l’immigration de masse, en application du plan Kalergi.

Et on ne parle même pas des crimes de pédophilie mis en lumière par l’affaire Epstein.

Voilà pourquoi, il faut jeter par-dessus bord les mondialistes, si vous ne voulez pas qu’ils vous assassinent, vous et vos proches, d’une façon ou d’une autre.

Voilà pourquoi, il faut absolument soutenir le combat de Donald Trump (+ armées américaine, française, syrienne derrière lui) contre les bouchers mondialistes, et leur logique de mort triomphante. Leur seul slogan féroce : la mort, la mort toujours recommencée.