Quelles sont aujourd'hui les perspectives d'avenir envisageables ?

J'ai publié plusieurs articles sur le thème de la géopolitique. Autrement dit le "jeu" de Monopoly planétaire (assaisonné d'un zeste de poker et d'échecs) qui se déroule désormais ouvertement sous nos yeux. Alors que jusqu'ici il n'était visible et actif que dans les coulisses des "pouvoirs" mais soigneusement dissimulé à la vue des populations.  

Pour tenter de comprendre ce qui se passe, il faut forcément remonter plus ou moins dans le temps. Puisque tous les évènements actuels ne sont que des conséquences des évènements passés. Pourtant, quel que soit le "point de départ" que l'on prend, on retrouve toujours les mêmes protagonistes.

Une notion de base, incontournable, est que toute la fausse pandémie du supposé Coronavirus millésime 19 n'a été provoquée que, et uniquement que pour dissimuler les vrais responsables de l'effondrement économique et social en cours. Et donner à la population un "responsable". Effondrement nécessaire à la mise en place d'un "nouvel ordre mondial". C'est en provoquant le chaos, que les énergumènes qui tirent les ficelles des marionnettes politiques viendront avec LEUR solution. Et seront accueillis comme des "sauveurs". Mais cette solution supposera le contrôle total de l'individu, dont les survivants du génocide vaccinatoire seront réduits à l'état de zombies, dénués de tout sentiment humain.

Vous croyez que j'affabule, que je suis conspirationniste ?

Alors, oubliez le temps de la lecture de ce document le matraquage télévisuel des grands médias. Et suivez le guide. Nous allons commencer par faire un grand bond en arrière de quelques millénaires.

Pour Pierre Hillard, "l'idéologie" qu'il existe un peuple "élu de Dieu" (excusez du peu) remonte au moins à la remise des tables de la loi divine à Moïse au Mont Sinaï. Il y a …. Un certain temps…

Cette "idéologie" aurait circulé plus ou moins "à bas bruit" pendant des millénaires avant d'être littéralement phagocytée par une plus ou moins obscure tribu Khazare entre Mer Noire et Caucase, vers l'an mille qui l'aurait reprise à son compte (cette tribu se situait géographiquement aux confins de la Russie tsariste de l'époque, près de la mer Noire, et en grande partie sur l'actuel emplacement de l'Ukraine).

Et ce seraient les descendants de ces khazars qui seraient aujourd'hui en train de mener la planète à sa destruction. Je précise ici qu'il n'y a aujourd'hui aucune certitude historique indéniable au sujet de l'histoire de ces Khazares. Impossible donc si on veut rester factuel, de valider cette thèse (ou fable selon d'autres). Ou au contraire de l'invalider. Une autre question qui est débattue sans vraiment de réponse nette, c'est l'origine des juifs Ashkhénazes, majoritaires depuis le 20ème siècle. Pour les Juifs Séfarades, il semblerait que leur origine remonte au Moyen-Orient, via l'Espagne.

Je précise ici qu'il ne s'agit en aucun cas de stigmatiser en aucune façon un peuple ou une religion, quelle qu'elle soit. Mais de s'en tenir uniquement à des faits. Vérifiables. Une chose est certaine et est vérifiable dans tous les traités historiques de tous les pays qui ont des archives écrites.  

Le "peuple juif" (hébreux) a été, de tous temps et dans tous les pays, plus ou moins rejeté. Au moins "parqué" dans des ghettos dans les plus grandes villes. Au même titre que les "Romanichels".

Officiellement, le peuple juif est issu de la région dite du Croissant fertile, entre les fleuves du Nil, du Tigre et de l'Euphrate. Les premières traces archéologiques de la population d'Israël remontent à environ 1200 ans avant notre ère.

Les Hébreux chassés d'Egypte. A propos de cet exode, il est infiniment curieux que tout un peuple, (selon la tradition biblique et le livre de l'Exode, il s'agirait de 600 000 FAMILLES !!!), qui fuit un pays ne laisse aucune trace dans les écrits historiques du pays qui l'a chassé, l'Egypte en l'occurrence. Ni alentours. Seul l'Ancien Testament le relate ! Avec moult détails …. Et depuis ils ont été chassés et persécutés quasi partout. POURQUOI ? Là aussi, aucune réponse claire sur ce point, pourtant crucial !

Pour ceux qui voudraient aller un peu plus loin sur l'origine du peuple juif voir ici.

Et aussi cet ouvrage écrit par Shlomo Sand, Historien, Professeur à l'université de Tel-Aviv, auteur de Comment le peuple juif fut inventé.

Revenons au 20ème siècle. Alors que les nazis hitlériens ont exterminé pendant la seconde guerre mondiale, selon le site du Mémorial américain de l'Holocauste environ 220 000 "tziganes", (chiffre très approximatif) pour les juifs on arriverait à 6 millions. Sachant que ces chiffres sont sujets à d'importants écarts selon les historiens. Pour les Tziganes (appelés aussi Roms) le nomadisme a toujours constitué un motif de rejet des "autochtones", quel que soit le pays.

Pour les Juifs, au moins dans certains pays où ils ont séjourné plus ou moins longtemps, ils se seraient acquis une réputation de "truands", prêteurs à gages, usuriers, etc. Alors que l'entraide était de rigueur dans leur communauté, hors de celle-ci, le "Goyim" (le non-juif) était (et est encore) juste bon à "tondre".

Ceci pour les temps plus ou moins moyenâgeux à contemporains.

Lorsque les échanges commerciaux étaient encore relativement locaux, ce fait restait relativement discret, en tout cas localisé. Alors que, depuis la prise de pouvoir de la bourgeoisie par la Révolution française, en 1789, (rappelons qu'il s'agissait pour les bourgeois de couper la tête à la royauté française (catholique depuis Clovis) – couper au propre comme au figuré - en utilisant le peuple, mais à l'unique bénéfice de ladite bourgeoisie) la communauté juive a vu apparaître des dynasties entières de banquiers. Pour ne citer que les deux plus connus, Rothschild (à Francfort puis à Londres – où il a fait fortune en manquant de peu de faire sauter la Banque d'Angleterre, puis Wallstreet) et Rockefeller, un petit peu plus tard aux Etats-Unis, qui a "assis" sa fortune sur le pétrole d'abord, puis sur la pharmacie chimique.

A noter qu'au début des années 1900, les banquiers anglo-saxons ont financé la révolution russe, à savoir Lénine et Trotsky. Dans ce cas, il s'agissait de faire tomber le tsarisme et au moins affaiblir la religion orthodoxe.

C'est à partir de là que tout s'accélère. Tous ces banquiers (tous juifs, ce n'est qu'un constat irréfutable) investissaient à tour de bras dans les nouvelles industries de la révolution industrielle. Aux Etats-Unis mais aussi sur toute la planète pour extraire les minéraux et autres produits indispensables. Comme le pétrole qui a fait la fortune de Rockefeller, qui a fondé la Standard Oil aux USA, puis les prémisses des pharmacies.

Ils s'enrichissent de telle façon, qu'actuellement en 2022, il n'est pas exagéré de dire que depuis lors, TOUTE la politique mondiale est au service de ces banquiers. Quasi de gré ou de force (via les "dettes"). Banquiers qui font la pluie et le beau temps en injectant de l'argent (sous forme de prêts) dans tel ou tel secteur. Ce ne sont pas nos Présidents et autres Assemblées qui dirigent, mais tout simplement ceux qui tiennent les cordons de la bourse.

Ce point est extrêmement important et à ne pas oublier.

Rien que dans les couloirs de Bruxelles, il y a actuellement (chiffres de 2019) 25 000 lobbyistes actifs !!! VINGT-CINQ-MILLE. Pour rappel un lobbyiste est une personne qui représente un groupe industriel, financier ou commercial qui cherche à faire "plier" les divers gouvernements dans le sens des intérêts qu'il représente.

D'un autre côté la Haute Cour de Justice Européenne est quasi contrôlée par Georges Soros, puisque plus de 22 juges sur 100 sont rémunérés directement par son ONG, l'Open Society Foundation. Cette fondation infiltre la plupart des gouvernements de la planète.

La "Justice" actuelle est faite par et pour ceux qui tiennent les cordons de la bourse.

Dans ce contexte, s'imaginer que changer un "pion" dans notre échiquier franco-français changera quelque chose, relève à mon sens de la plus parfaite utopie.

Aucun pays prétendu démocratique n'est épargné par cette gangrène.

Or, après la seconde guerre mondiale, les accords de Yalta (et ceux qui ont suivi) ont concrétisé le partage de l'ex-empire nazi et de son butin. Ce butin comprenait bien entendu au moins une partie de ce que les nazis avaient volé à leurs victimes, mais aussi, pour ne pas dire surtout, du matériel de guerre et des "savants". Mais ceci ne figure nulle part de façon très explicite.

Pourtant, un grand nombre de chercheurs allemands (pour ne pas dire tous) sont passés les uns à l'Ouest, les autres à l'Est.

A l'Ouest il s'agit de l'Opération Paperclip.

Les plus connus sont bien entendu Wernher von Braun et son frère Magnus von Braun.

A l'Est, ce fut le Département 7 qui fut chargé de l'opération.

L'ouvrage d'Eric Branca "LE ROMAN DES DAMNES – Ces nazis au service des vainqueurs après 1945 " est particulièrement explicite et documenté sur ce sujet.

Non seulement des banquiers d'origine juive allemande, polonaise ou d'Europe centrale se sont disséminés sur toute la planète, mais aussi toutes les "grosses têtes" scientifiques aussi. Qui ont été "récupérés" par les vainqueurs des nazis.

Un cas typique, est celui de Walter Hallstein, qui était parmi les conseillers juridiques personnels d'Adolf Hitler, puis, fait prisonnier, et enfin se retrouve parmi les pères fondateurs de l'Europe dont il a été le premier président de la Communauté Economique Européenne. (le lien Wikipédia nous donne la version "édulcorée" de la biographie de ce Monsieur) Il y a quelques années, Wikipédia présentait trois personnages comme étant les pères fondateurs de l'Europe : Walter Hallstein, Jean Monnet et Robert Schumann. Aujourd'hui, les "antécédents" de ces personnages n'étant pas trop présentables, on les a "noyés" dans une multitude d'autres personnes jugées plus "clean"…

Une chose importante à ne pas perdre de vue.

Les Etats-Unis actuels ont pour origine un flux migratoire européen, dont une majorité anglaise. Bien qu'il y ait eu aussi des Hollandais, des Suédois, des Allemands, quelques Huguenots français et dans le Sud des esclaves africains, quelques Espagnols, Italiens et Portugais. Treize colonies qui faisaient partie de l'Empire britannique ont décidé de déclarer leur indépendance et former ainsi les prémisses des Etats-Unis.

On passera sous silence, comme tous les médias officiels, le massacre systématique des indigènes peuplant à l'origine l'Amérique du Nord. Et qui ne peut être qualifié que de génocide. Mais comme les données démographiques manquent cruellement, il est impossible de l'estimer réellement.

La "culture" qui prévaut de l'autre côté de l'Atlantique est donc majoritairement anglo-saxonne. Même si les Français ont laissé quelques traces comme en Louisiane et la Nouvelle-Orléans. Et les Espagnols au Texas et au Mexique.

Petit à petit ce nouvel état colonial devient la première puissance économique, politique, idéologique et "guerrière" de la planète.

C'est l'état de la planète au tout début du 20ème siècle.

A la même époque, le monde s'enfonçait dans la première guerre mondiale. Je ne m'étendrai pas sur les causes profondes de celle-ci, mais je rappelle juste quelques points importants.

Pour les anglosaxons (Anglais et Américains), le "Saint Empire Romain Germanique" devenait trop puissant. Il fallait donc le "freiner".

Rappelons que le Premier Reich (Empire) s'étale de 962 à 1806.

Le Deuxième Reich de 1871 à 1918.

Entre les deux, l'unification allemande correspond au regroupement des Etats allemands, plus ou moins autonomes, au sein d'un même pays l'Empire Allemand autour du Royaume de Prusse, entre l'éclatement du Saint Empire Romain Germanique et le traité de Francfort, mettant fin à la guerre franco-allemande de 1870-71, c’est-à-dire entre 1806 et 1871.

Dans ce même intervalle il y a eu les tentatives Napoléoniennes d'étendre son empire vers l'Est et des bataille célèbres, Iéna, Tilsit, mais aussi Austerlitz et … Waterloo.

On voit donc, qu'au gré des Empires des uns et des autres, les frontières en Europe étaient extrêmement mouvantes.

Plus à l'Est, la Russie tsariste, à la fin des guerres napoléoniennes, a émergé comme une grande puissance. Elle a participé à la formation de la Sainte-Alliance, le 26 septembre 1815 à Paris, à l'inspiration du Tsar Alexandre 1er. Dans le but de raffermir les trois monarchies européennes victorieuses de l'empire napoléonien. Constituée dans un premier temps par l'Empire russe, l'Empire d'Autriche et le Royaume de Prusse, elle a été rejointe par la France (où la monarchie avait été restaurée) en 1818 et a été de fait appuyée par Londres. Puisque jusqu'aux années 1870, les banquiers londoniens ont été parmi les principaux financiers du Tsar !

À partir de la constitution de l’Empire allemand et de sa victoire sur la France en 1871, les banquiers allemands ont pris la place de Londres. Dès ce moment, l’Allemagne est devenue le principal partenaire commercial de la Russie. À la veille de la première guerre mondiale, 53 % des importations de la Russie provenaient d’Allemagne et 32 % de ses exportations lui étaient destinées. En revanche, au niveau financier, dès la fin du 19e siècle, les banquiers français ont supplanté les banquiers allemands. À la veille de la première guerre mondiale, 80 % de la dette externe russe étaient détenus par des « investisseurs » de France et la plupart des emprunts russes en cours avaient été émis sur la place de Paris.

Deux cartes valent mieux que de longs discours :

L'Europe en 1815, après le congrès de Vienne

leurope en 1815

Noter la taille de la Prusse (au nord) et de l'empire Austro-hongrois au centre.

Et l'empire Russe en 1905. (Carte suivante)

empire russe en 1905

A noter la taille démesurée, 22 millions de km²

A la fin du 18ème siècle, les Russes ne représentent plus que 53% d'une population estimée alors à 37 millions d'habitants. Au cours du premier tiers du 19ème siècle, ce pourcentage passe au-dessous des 50% et à la fin du 19ème siècle les Russes ne sont plus que 44% des 123 millions d'habitants de l'empire.

En février 1917, la première guerre mondiale "accouche" en Russie d'une révolution qui en quelques jours à peine contraint le Tsar Nicolas II à abdiquer.

Et c'est alors qu'apparaît un révolutionnaire Bolchevik sous le nom de Vladimir Ilitch Oulianov, dit Lénine.

Comme pour Hitler en Allemagne qui a cofinancé avec Londres "l'émigration volontaire" des premiers colons juifs en Palestine, se pose la question du financement du parti de Lénine, tout beau tout neuf.

Dans les coulisses, apparaît un certain Jacob Schiff, principal dirigeant de la banque Kuhn, Loeb & C° de New-York. Son correspondant en Europe était, Warburg. Ensemble ils ont financé la révolution russe. Sachant que Jacob Schiff en même temps, continuait la guerre qu'il avait déclaré aux Tsars russes, (les Romanoff). Il a initié l'abolition des accords commerciaux russo-américains de façon à affaiblir le dernier Tsar à l'entrée de la guerre de 1914. Puis à installer un gouvernement provisoire d'idéologues francs-maçons, supposés assez dociles aux consignes de la haute finance.

Lénine, qui se trouvait au moment de la révolution de 1917 en Suisse, était porteur de 40 millions en or fournis par Berlin pour lui permettre d'agiter les masses révolutionnaires. Le concours de Schiff rendait cette action décisive.

En ce qui concerne Leiba Bronstein, dit Léon Trotsky, il n'obtint que des subsides relativement peu importants. Il s'embarqua donc des Usa vers la Russie sans promesse formelle.

Après diverses péripéties, on arrive à octobre 1917. On ignore exactement le montant de l'intégralité des fonds mis à disposition de Lénine et Trotsky pour établir le régime soviétique. Mais on sait comment ces fonds leurs sont parvenus : le gouvernement américain a publié sous le titre "Paper relating to the Foreign Relations of the United States – 1918 – Russie (in three volumes). United States, Governement Printing Office, Washington 1931" les preuves de la collusion.

Ce document contient, notamment, le texte d'une dépêche adressée au bolchevik Raphaël Scholnickan, Haparanda, pour avertir le camarade Trotsky (qui venait d'être stupidement libéré sous caution) que la banque Warburg venait d'ouvrir un compte courant pour financer son entreprise.

Vous devinerez sans peine l'origine de ce compte lorsque vous saurez que les frères Warburg, qui dirigeaient à Hambourg la banque Max Warburg, étaient apparentés et associés à Jacob Schiff. Un des Warburg d'Amérique, Félix, était le gendre du ban­quier américain, tandis que l'autre, Paul, avait épousé la belle-sœur du potentat. La « construction du socialisme en Russie », pour parler comme l'Humanité, devenait une simple affaire de famille...

On sait la suite...

Un syndicaliste accuse.

La révolution triomphante établit le régime communiste qui dure encore et qui s'est maintenu, contre vents et marées, grâce à ces complicités financières internationales que Samuel Gompers, peu suspect d'antisémitisme puisque juif lui-même, dénonçait avec vigueur moins de cinq ans plus tard.

Après avoir stigmatisé l'attitude « cynique » des hommes d'Etat et des financiers, le fameux syndicaliste américain mettait direc­tement en cause un « groupe de banquiers germano-anglo-américains qui aiment à s'intituler financiers internationaux pour mas­quer leur vraie fonction ». Et il précisait : « Le plus important banquier de ce groupe et parlant au nom de ce groupe, né en Allemagne comme il se trouve, a envoyé des ordres à mes amis et associés afin que tous travaillent en faveur de la recon­naissance des Soviets » .

Les communistes et, avec eux, les « historiens » qui ont empli les colonnes des journaux et les pages des revues pour retracer les fameuses journées d'octobre 1917, ont été bien ingrats de ne pas citer l'homme qui avait travaillé avec tant d’acharnement à l'écrasement de la vieille Russie et à son remplacement par l'inquiétante U.R.S.S.

Le destin a voulu que ce ne soit pas le sanguinaire Trotsky qui prenne la succession de Lénine mais Staline.

Joseph Staline, de son vrai nom Iossif Vissarionovitch Djougachvili accède au pouvoir en avril 1922 jusqu'à sa mort. Après avoir éliminé ses principaux rivaux, à commencer par Trotsky.

Pendant le seconde guerre mondiale, l'URSS stalinienne est soutenue surtout matériellement par les "alliés" (Anglais et américains) pour faire face à Hitler.

On voit donc, qu'en fonction des intérêts des uns et des autres, les alliances se font et se défont.

De tous temps l'occident financier (Londres et Wall street) a cherché à renforcer son hégémonie sur le monde. Et c'est toujours le cas aujourd'hui.

Et si l'on fait le "bilan" de toutes les guerres dans lesquelles les USA étaient impliquées, elles n'en ont gagné réellement AUCUNE.

Si la première guerre mondiale ne s'est réellement jamais achevée, car elle a donné naissance à la période d'instabilité qui a suivi (crash de 1928-29) et à l'émergence d'Adolf le moustachu, ni la seconde, qui n'a été interrompue que grâce aux 26 millions de victimes russes sur le front russe de Stalingrad notamment,  (et non pas au seul débarquement allié en France) pour laisser ensuite la place à la Guerre dite froide, puis dissuasion nucléaire, puis terroriste et guerre bactériologique. Ni aucune des autres (Indochine, Afghanistan, Lybie, Irak, Syrie, etc…). Qui n'ont en fait servi qu'à essayer de déstabiliser un pouvoir en place jugé "pas assez coopératif" avec Washington pour le remplacer par un pantin plus "compréhensif" aux intérêts américains.

Un autre exemple de l'ingérence des anglo-saxons en France, et parfaitement documenté, concerne en France l'accession de Charles De Gaulle au pouvoir après la seconde guerre mondiale.

L'américain Roosevelt ne pouvait pas "puer" le grand Charles (qui chantait cocorico bien trop fort à son goût). Mais De Gaulle avait les faveurs de Londres et de Churchill. Qui l'y a accueilli. Alors que Roosevelt voulait installer le général Henri Giraud à la tête du gouvernement provisoire en France, car ce dernier était plus ouvert au "protectorat américain" et à l'instauration d'une monnaie d'occupation américaine dans les pays "libérés" du nazisme puis "contrôlés" et occupés par les américains. Grâce à une monnaie d'occupation, qui était imprimée et prête à être diffusée, l'AMGOT. Qui devait être instauré dans les anciens pays occupés, c.à.d. la France, l'Allemagne, l'Autriche, le Bénélux et l'Italie au moins. A noter, que l'Allemagne a, depuis la dernière guerre TOUJOURS été occupée par des bases militaires américaines. Dont plusieurs ont été "réactivées" depuis février 2022.

On voit dans ce "jeu" que les "alliés" (l'anglais Churchill et l'américain Roosevelt) n'étaient alliés que pour contrer le nazisme. Qui lui, cherchait à instaurer une Europe "aryienne" selon les délires hitlériens. Mais chacun voulait garder le contrôle à son avantage, une fois Hitler éliminé. Ce qui est encore le cas aujourd'hui. La "sortie" d'Europe de la Grande-Bretagne n'a pas d'autre but : redonner à Londres son indépendance vis-à-vis de Washington et de son satellite européen.

La City de Londres a toujours été en concurrence avec Wallstreet. Toujours.

Wallstreet manœuvre pour garder la prééminence du dollar, et de la monnaie numérique qui prendrait le relais.

Londres aimerait bien restaurer son ancien Commonwealth et la Livre Sterling, même numérisée.

Poutine semble nostalgique de la Grande Russie tsariste …

Sans compter la Chine, cheville ouvrière de toute la planète.

Et aujourd'hui, depuis le début des années 2000,  nous assistons à l'émergence de nouveaux "blocs" ou "alliances" qui risquent de mettre à mal, sinon à genou le Roi Dollar. Et l'ensemble de ses satellites.

Et qui compliquent sérieusement le Monopoly planétaire.

Nous avons d'un côté le bloc occidental (Anglais, Américains et leurs satellites européens) mais de l'autre, apparaissent de nouveaux "intrus" qui sont en train de mettre sérieusement de très gros bâtons dans les roues du club de Davos et du Grand Reset planétaire. Qui voudrait mettre en place un gouvernement mondial unique, à la sauce chinoise. En somme le capitalisme le plus débridé (pour les "élites") rejoindra le pire communisme (pour le peuple survivant). La boucle serait bouclée.

Ces intrus ont commencé à émerger vers 2011 par la création d'une alliance, celle des BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud). L'Indonésie, l'Argentine, l'Egypte et l'Arabie Saoudite ont aussi demandé d'y adhérer.

Ces pays, Russie en tête, plaident (schématiquement) pour un ordre mondial multipolaire. Au contraire du bloc occidental.

Or, en termes de population, le "poids" de ces BRICS est très loin d'être négligeable. Ensemble, ils représentent un total de plus de 3,332 milliards d'individus. Presque la moitié de la planète. (41%)

Alors que le noyau du monde occidental lui, (USA, Canada, Royaume-Uni et Europe) ne "pèse" que : 1,194 milliards d'individus. Soit environ un tiers des Brics.

Si l'on tient compte du fait que l'occident a exporté tous ses moyens de production en Chine, que la Russie détient la plupart des métaux rares nécessaires aux technologies de pointe, sans compter le trop célèbre Gaz, on est obligé de se rendre compte que l'occident ne fait plus le poids.

Et sans oublier que la Russie est un des premiers exportateurs mondiaux non seulement de gaz et de pétrole, mais aussi d'OR et autres métaux précieux, comme le titane, indispensable à la construction de chars d'assaut, ou d'avions furtifs !!!

Que, tout comme la Chine, la Russie a reconstitué progressivement ses réserves d'or, ce qui donne une valeur intrinsèque à leurs monnaies (Rouble et Yuhan). Le Rouble est aujourd'hui, fin juillet, très largement au-dessus de son niveau du début de l'année. Avant "l'épisode" ukrainien…. Valeur que le Dollar US n'a plus depuis très longtemps. Vu la dette abyssale des Américains. Les Russes en 2021 avaient une dette de 302 millions de dollars, alors que celle de l'Amérique est estimée à 30 000 milliards de dollars.

On voit donc dans le calendrier depuis début 2020, que l'occident cherche à garder la main dans l'écroulement financier (et humain) qu'il a sciemment provoqué.

Et d'autres "intrus" viennent contester la suprématie américaine, en plus des BRICS, ce sont les Next Eleven"…

La "guerre" en Ukraine n'est qu'un faux nez, destiné à détourner l'attention des "mesures" qui seront prises à partir de cet automne. Tout comme la fausse pandémie du Covid, la guerre USA-OTAN / RUSSIE sert à créer un alibi et masquer les vrais coupables des mesures économiques drastiques à venir. Mesures prévues de très longue date. Si la guerre américano-russe par OTAN interposée n'est pas suffisante, on a sous le coude le "cas" de Taïwan et de la Chine qui ne demandent qu'une étincelle pour s'embraser, et amplifier le chaos visé.

De tous temps, les USA avaient "besoin" d'un "ennemi" désigné pour justifier le rôle de policier de la planète qu'ils se sont forgés. Pour justifier leur budget militaire faramineux. Et leur prééminence, militaire, économique et politique.

Et cette politique n'a pas changé d'un iota.

Après l'ennemi de l'ex URSS communiste dont l'anéantissement a commencé peu après l'épisode des missiles de Cuba, il y a eu le Viêt-Nam, puis l'Afghanistan, la Lybie, l'Irak, la Syrie. Toutes destinées à mettre en place des "marionnettes" à la solde des intérêts américains. Rappelons aussi que le Shah d'Iran était largement pro-américain… AMERICA FIRST, y compris pour Donald Trump !!!

Si "l'idéologie communiste" s'est en quelque sorte effondrée de l'intérieur, avec quelques éléments aidants extérieurs, comme l'embargo américain sur Cuba (et indirectement sur l'URSS), et surtout Tchernobyl en 1986, et finalement avec la politique (maladroite ?) de Gorbatchev avec ses fameuses "Glasnost" et autres "Perestroïka",  une trentaine d'années plus tard, nous assistons à l'effondrement de l'Occident.

Pour des causes, en somme, très proches. Puisque, rappelons-le l'idéologie communiste a été fabriquée de toutes pièces, via le financement de Lénine et Trotsky par ceux-là même qui aujourd'hui sont en train de provoquer sciemment l'effondrement de "l'occident", en espérant pouvoir retirer à temps les marrons du feu qu'ils ont allumé.

Ce qui est de moins en moins évident.

Il ne faut pas regarder le présent avec les yeux du passé, mais le passé avec les yeux du présent, sauf bien sur si l’on veut se condamner soi-même, comme beaucoup d’autres, à vivre un éternel retour… en aveugle, au sein même de la célèbre caverne platonicienne.

Car le futur ne se devine pas de façon linéaire, mais sur un mode cyclique, et dans une quasi non-superposition des situations du passé au présent. « On ne se baigne jamais deux fois dans le même fleuve », nous disait déjà en son temps le Philosophe grec Héraclite. C’est là un principe nietzschéen auquel on peut souscrire pleinement ICI, le seul qui vaille, y compris bien sûr en matière d’économie, et plus encore de géopolitique.

Tout au plus pouvons-nous pour les plus instruits (informés ?) d’entre nous, nous amuser au jeu des similarités, et en trouver ainsi quelques-unes, par exemple, aux crises économiques de 1929 et 2008.

Quant à l’étude des cycles, seuls les plus avertis peuvent s’y prêter, tant cette étude demande une gymnastique d’esprit dont bien peu d’humains sont capables. Car il nous faut défier alors les lois de la pesanteur de la pensée, pour rejoindre celles plus acrobatiques de l’apesanteur cosmique, et celles plus prosaïques de la politique. Ce n’est pas pour rien que Kondratiev, le génial russe découvreur des cycles long en économie, fut condamné par Staline à la déportation. Dans le même ordre d’idée et plus proche de nous, il ne fait pas bon d’être Banquier Central chez le turc Erdogan. Si l’on a le malheur de déplaire au Prince Sultan et à sa politique, une simple mesure procyclique en matière de taux d’intérêt peut vous amener au bagne à perpétuité.

Il ne faut donc pas regarder l’actuelle redistribution géopolitique des cartes en Europe, et dans le Monde, comme une résurgence de la guerre froide, avec à la clef, un retour des acteurs internationaux à une politique pure et dure de dissuasion nucléaire sous forme d’escalade en matière d’ogives.  Mais au contraire observer le tout, comme un glissement des "plaques tectoniques géopolitiques", c’est-à-dire une modification substantielle des rapports de force ayant donné à Poutine l’opportunité historique d’un changement des règles du jeu en vigueur dans le Monde depuis 1945, et son fameux Yalta, où déjà un certain Joseph Staline et ses plus de 20 millions de morts russes avaient été conviés.

Effet miroir inversé et rebondissement cyclique de l’histoire

La chute du mur de Berlin en 1989 n’a pas vu, comme l’a théorisé l’historien propagandiste Fukuyama, la victoire du modèle néolibéral sur le modèle socialiste. Mais c’est au contraire le modèle soviétique qui profitant de cette ouverture sur l’Occident, a muté en Social-démocratie et s’est métastasé peu à peu sur l’ensemble des Pays du Monde.

Et à ce propos, il y a un livre à lire, sorti à la même époque que "La Fin de l’histoire et le Dernier Homme " de Fukuyuma, il s’agit d’un livre apocalyptique et dystopique publié en 1990, au moment où donc l’ère soviétique était sensée s’achever. Le livre, intitulé « The Plot of World Government : Russia and the Golden Billion », a été écrit par un Russe nommé Anatoly Tsikunov sous le pseudonyme de A. Kuzmich.

Tsikunov a décrit une conspiration de la fin des temps contre la Russie, dans laquelle la riche élite occidentale a réalisé que le changement écologique et les catastrophes mondiales entraîneraient une concurrence accrue pour les ressources mondiales, rendant finalement le monde inhabitable pour tous sauf un milliard d’entre eux. Ces élites ont compris que la Russie, avec ses ressources naturelles, son immense superficie et sa situation septentrionale, devait être maîtrisée par tous les moyens nécessaires à leur propre survie.

Il s’agit d’une mise à jour moderne, centrée sur la Russie, des craintes de surpopulation mondiale. Le livre rassemble plusieurs des principaux topics de la Russie post-soviétique : la nécessité de défendre les ressources naturelles du pays contre un Occident prédateur, la démoralisation de la jeunesse russe par l’Occident, la destruction de l’économie russe, et la destruction de la santé publique. Le tout en un seul récit des plus convaincant. Une histoire qui combine également des éléments historiques (la Seconde Guerre mondiale, connue en Russie sous le nom de Grande Guerre patriotique) avec la science et la pseudo-science (déjà à l’époque).

Tsikunov est mort dans des circonstances peu claires un an après la publication de son livre, ce qui n’a fait que renforcer le mythe. Mais son idée a rapidement été popularisée par l’intellectuel russe antilibéral Sergey Kara-Murza qui a écrit, à la fin des années 1990, que le milliard doré correspondait à la population des « démocraties » à revenu élevé qui consomment une part injuste des ressources mondiales.

Plus de deux décennies plus tard, cette théorie est devenue monnaie courante au sein du gouvernement russe. De hauts responsables russes, tels que l’ancien président Dmitri Medvedev et le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov, l’ont publiquement évoquée à plusieurs reprises depuis le 24 février 2022. Plus inquiétante pour certains experts est la déclaration de Nikolai Patrushev, le moins connu mais puissant secrétaire du Conseil de sécurité, que certains considèrent comme un successeur potentiel de Poutine.

Dans une interview accordée au journal d’État Argumenty i Fakty, publiée en mai, il a déclaré que l’Occident pouvait parler de « droits de l’homme, de liberté et de démocratie », mais qu’il travaillait secrètement à la doctrine du milliard doré. Patrushev a suggéré que la pandémie de coronavirus était orchestrée par le milliard doré et a averti qu’une crise économique mondiale était créée pour « une poignée de magnats de la City de Londres et de Wall Street ».

L’isolement de la Russie après l’invasion de l’Ukraine n’est donc pas dû aux propres actions de la Russie, mais le résultat d’une inévitable conspiration mondiale menée contre elle.

Sous un aspect proprement cyclique on peut donc bien parler d’effet miroir, et de retour de balancier, dans ce qui semble se développer en Ukraine actuellement au sens eschatologique du terme.

La résultante de ce changement des rapports de force dans la géopolitique mondiale ne s’est pas fait attendre. Et ce qui apparaissait encore impensable il y a encore quelques mois, est devenu une réalité tangible et palpable : la Guerre ! Une sale guerre par procuration, qui dépasse le simple cadre de la guerre en Ukraine, puisqu’elle oppose désormais presque en conflit direct et eschatologique : Occidentaux et Armée russe. Poutine s’y était préparé, les Européens VISIBLEMENT PAS.

Car si du côté des Russes, on avait anticipé une économie autarcique désendettée, et libérée du Dollar, du côté des Européens et de leur Maitre américain, le moins que l’on puisse dire c’est que l’on nage aujourd’hui en pleine improvisation permanente. Rappelez-vous, n’était-il pas question il y a encore peu d’un pipeline gazier flambant neuf nommé Nord Stream 2 prenant sa source au cœur de la Russie pour alimenter une Allemagne prospère et dévoreuse d’énergie. Tout cela appartient désormais au passé, et les Atlantistes ont eu beau engager un humoriste à la tête de l’État ukrainien, il reste que les numéros des acteurs en compétition européenne sont de piètre qualité, et tiennent plus du stand up mal ficelé, que d’un scénario savamment écrit et préparé. Tout foire, des menaces aux sanctions, et ce qui devait être une grande victoire des Néoconservateurs américains et de leurs Vassaux européens, ressemble désormais à un fiasco aux conséquences immuables et potentiellement insurmontables, pour des systèmes économiques et politiques déjà dévastés par deux ans de fausse pandémie mal gérée.

L’Occident victime marxiste consentante de ses contradictions

Cerise sur le gâteau,  depuis plusieurs années les Occidentaux se trouvent travaillés en interne par les Forces socialistes issues du Forum de Davos. Dans un élan sans doute de suprême générosité, et toujours pour notre bien, les Mondialistes de Davos ont cru pouvoir profiter de la saine réaction des Russes à l’encerclement « otanien », et de la relative faiblesse de la riposte européenne au travers de sanctions suicidaires, pour faire avancer leur programme malthusien de Grand Reset. Ces Suppôts de Satan y ont vu une opportunité, tout comme le fut le Covid en son temps, pour affaiblir davantage les États-Nations, déjà fort mal en point et très endettés par les politiques économiques néokeynésiennes en cours.

Reste alors qu’une structure étatique qui chancelle sous l’effort de guerre, et une superstructure idéologique et culturelle qui détruit ce qu’il reste de ciment identitaire, au jeu des similarités dont il était question au début de notre texte il faut y voir là au sens marxiste du terme, une contradiction qui fut fatale en son temps à l’Empire soviétique, et qui s’annonce comme mortifère pour l’Empire états-unien, et par voie de conséquence pour l’Europe bruxelloise.

Reste à savoir maintenant, si libérés potentiellement de leur Occupant Américain, les Européens, ou du moins ce qu’il en restera, seront capables d’une vraie indépendance, et d’un rapprochement salvateur avec la Matrice russe.

Dans un discours prononcé cette semaine à Moscou, Vladimir Poutine a déclaré que le "modèle de domination totale du soi-disant milliard doré est injuste. Pourquoi ce milliard doré de la population mondiale devrait-il régner sur tout le monde et imposer ses propres règles de conduite ?"

"Le milliard doré divise le monde en personnes de première et de seconde classe et est donc essentiellement raciste et néocolonial", a déclaré Poutine mercredi, ajoutant que "l’idéologie mondialiste et pseudo-libérale sous-jacente commence à ressembler de plus en plus à un totalitarisme, freinant les efforts créatifs et la libre création historique."

La guerre en Ukraine est en quelque sorte devenue le symbole d'une lutte plus importante. L'Ukraine est le symbole de deux façons entrelacées de voir le monde. L'importance de cette guerre remonte très loin, comme évoqué plus haut, autour du premier millénaire, lorsque les barbares francs, imprégnés ensuite de l'éthique de l'Ancien testament d'un élu divin, à qui le monde était destiné à être "livré" par l'anéantissement de ceux qui résisteraient à la volonté divine, lorsqu'ils ont déferlé sur l'Europe occidentale. Ca qui a contribué à mettre fin à l'empire Romain et donné naissance au Saint Empire Romain Germanique (Carolingien).

À méditer vite, à nous les Européens, tant qu’il nous reste encore un peu de temps.

Et avant qu'il ne soit trop tard.

Concrètement et stratégiquement, aujourd'hui, la sécurisation du détroit de Kerch garantit à la Russie le transit maritime de la mer Noire jusqu'à Moscou et Saint-Pétersbourg, et ouvre ainsi la voie maritime stratégique entre la Mer Caspienne (via le canal Volga-Don), la mer Noire et la Méditerranée.

Le point important est que la Volga relie non seulement la mer Caspienne à la mer Baltique, mais aussi la route maritime du Nord Arctique, via la voie navigable Volga-Baltique. La Russie a donc pris le contrôle d'un système de voies navigables de 4800 kms qui relie l'Atlantique au Pacifique, en passant par les côtes russes de Sibérie et d'Extrême-Orient.

Il faudra une longue catharsis pour purger l'Europe de ses illusions de supériorité. Sa prétention à une lignée dérivant de la Rome antique relève plutôt de la propagande que de la réalité.

Finalement Moscou pourrait proposer à la croupe européenne un "accord de Minsk". Mais il est fort probable qu'il faudra du temps…

Nous sommes en train de vivre la naissance d'un "Nouveau Monde".

La civilisation dite "occidentale" est en train de s'effondrer, comme son miroir "oriental" s'est effondré au début des années 1990.

Ce qui ne peut se faire sans les douleurs de l'accouchement.

Et prendra beaucoup de temps.

Beaucoup de temps…

Beaucoup plus que neuf mois ...

 Et le "cycle" recommence, "l'Orient" semble renaître de ses cendres...

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